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Felin Pour L’autre: Agence de Rencontres Paranormales, #5
Felin Pour L’autre: Agence de Rencontres Paranormales, #5
Felin Pour L’autre: Agence de Rencontres Paranormales, #5
Livre électronique131 pages1 heure

Felin Pour L’autre: Agence de Rencontres Paranormales, #5

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À propos de ce livre électronique

Maya Zara est une femme bien en chair, dégouttée des hommes qui pensent qu'elle devrait se caser. Elle aime ses rondeurs et veut trouver quelqu'un qui les aimera aussi. Quand elle rencontre Gerri Wilder et s'inscrit dans son agence pour un rendez-vous avec un métamorphe, Maya n'a aucune idée de ce qui lui est réservé.

 

Noah Wright a le béguin depuis des mois pour sa voisine toute en courbes. Dommage qu'elle ait déjà un petit ami. Lorsqu'il laisse Gerri lui arranger une rencontre, il ne s'attendait pas à ce qu'elle lui présente la femme sur laquelle il fantasmait, tout autant que le jaguar en lui.

 

Maya vit un enfer à cause d'un ex trop collant et de sa famille de dingues. Les deux vont tout faire pour qu'elle et Noah se déchirent. Elle devra décider ce qu'elle veut vraiment vivre avec Noah pour ne pas passer à côté de l'amour avec le jaguar solitaire.

LangueFrançais
Date de sortie22 févr. 2022
ISBN9798201237400
Felin Pour L’autre: Agence de Rencontres Paranormales, #5
Auteur

Milly Taiden

Milly Taiden is the New York Times and USA Today bestselling author of numerous series, including the Paranormal Dating Agency, the Sassy Mates books, and the Federal Paranormal Unit novels. Milly loves writing sexy stories so hot they sizzle your e-reader. When her curvy humans meet their furry alphas, inhibitions give way to animal instincts—and carnal desire. Milly lives in Florida with her husband, children, and spunky dogs, Needy Speedy and Stormy. She is addicted to shoes, Dunkin’ Donuts, and chocolate and is aware she’s bossy. Visit her online at www.millytaiden.com.

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    Aperçu du livre

    Felin Pour L’autre - Milly Taiden

    CHAPITRE UN

    Noah Wright observait sa tentation quotidienne à travers les stores dans son bureau plongé dans l’obscurité. Comme à l’accoutumée, sa voisine avait ouvert la porte de son appartement, jeté ses clés sur son canapé en cuir et commencé à se déshabiller. Non, elle ne savait pas qu'il l'observait. En fait, elle n’avait probablement pas réalisé que ses rideaux étaient transparents. Si les lumières de son appartement avaient été éteintes, il n’aurait rien vu. Mais elles ne l’étaient pas. Elles étaient allumées. Pour le tenter. Le narguer.

    Il agrippa le stylo et la regarda enlever ses vêtements avec une efficacité et une vitesse naturelles qui paraissaient sexy malgré tout. Une fois en sous-vêtements, elle courut vers la salle de bains. Amaya Zara. Il l'avait rencontrée quand elle avait emménagé, il y a quelques mois. Il avait essayé d’ignorer l'instant où son odeur avait réveillé son jaguar. La bête se fichait de sa piètre tentative de maîtrise de soi. L'animal la voulait. Noah avait lutté contre son instinct et l’envie de prendre la déesse callipyge, de la déshabiller et de lécher son corps pulpeux tout du long.

    Malheureusement, cela ne risquait pas d’arriver. Maya avait un petit ami - une tête de nœud, qu’il avait vu reluquer chaque femme qu’il croisait. Noah n’avait pas essayé de débaucher sa voisine. Il respectait les relations des autres, même s’il savait qu’elle était la compagne qui lui était destinée. Il devrait attendre son heure. Mais son esprit chevaleresque ne l’empêchait pas de regarder Maya à travers ses rideaux transparents. La forme en U de l'immeuble lui permettait de voir dans son appartement, juste en face de lui.

    Le son de la musique venant de chez elle attira son attention. Les humains ne l'entendaient peut-être pas, mais il avait l’oreille assez sensible pour pouvoir l’entendre clairement. Il avait remarqué qu’elle écoutait souvent de la musique forte et qu’elle chantait faux, mais ça ne le dérangeait pas. Son absence d'inhibition l’attirait, au contraire.

    Effectivement, un instant plus tard, elle entra dans le salon vêtue d'un short moulant ses fesses et d'un débardeur. Elle aimait porter ça. Et il adorait la regarder les porter. Elle s'éloigna et entra dans la cuisine. Puis elle revint avec une bouteille d'eau. Au début, elle en prit une gorgée, mais une fois fermée, il réalisa qu'elle avait d'autres projets pour la bouteille d'eau.

    Elle la porta à ses lèvres comme un micro et commença à chanter en remuant les hanches au son de la musique. Il sourit. Elle était tellement mignonne. Ses longs cheveux noirs volaient d'un côté à l'autre à chaque secousse de sa tête. Il se mordit la lèvre inférieure, en regardant ses seins tendre le tissu du débardeur pendant qu'elle dansait. Il voulait voir disparaître le tissu agaçant. Idéalement, le déchirer avec ses griffes. Il ne l’avait pas encore vue complètement nue. Les rêves ne comptaient pas. Il en avait assez fait où il l’embrassait, la baisait et lui faisait des choses qui étaient probablement illégales dans certains États.

    Elle arrêta soudain de danser et se précipita dans sa chambre. Il baissa les yeux sur son érection avec dégoût. Une autre putain de soirée à se branler en imaginant sa pulpeuse déesse danser devant lui. Merde !

    Elle revint dans le salon et ouvrit sa porte, en tenant un portefeuille dans une main et y cherchant des billets. Un livreur de pizzas se tenant là lui tendit une boîte, prit l'argent et partit. Elle claqua la porte, posa la boîte sur la table et sourit. Le téléphone portable de Noah se mit à sonner. Un coup d’œil rapide à l’écran lui indiqua qu'il s'agissait de sa marraine, Gerri Wilder.

    Il ignora le téléphone et observa à nouveau Maya. Elle avait enlevé le peignoir qu’elle avait mis pour ouvrir la porte et dansait de nouveau, tout en mangeant une part de pizza. On aurait dit qu'elle chantait à la pizza.

    Son téléphone portable sonna encore. Il grogna et décrocha.

    — Bonjour Gerri.

    Il essaya de ne pas avoir une voix trop désagréable. Elle était la seule personne qui s’intéressait un peu à lui, après tout.

    — Noah. Je sais que tu détestes qu’on te dérange, mais c’est le jour de notre dîner mensuel. A moins que tu n’aies oublié ?

    Il jeta un coup d'œil à son calendrier et abaissa brusquement la tête.

    — J'ai oublié.

    — Je le savais, c'est pourquoi j'ai pris la liberté de réserver une table dans mon restaurant préféré.

    Il entendait bien qu’elle souriait en disant ça.

    — C’est bien, mais on peut toujours y aller un autre soir, dit-il en levant les yeux vers la fenêtre de Maya. Elle n'était nulle part en vue.

    — Foutaises ! Je meurs d'envie de te voir.

    Bien sûr que oui. Elle mourait d'envie qu’il s’inscrive à son agence de rencontres. Mais maintenant qu'il savait que Maya était la femme de sa vie, la dernière chose qu’il souhaitait, c'était que Gerri essaye de lui faire rencontrer qui que ce soit.

    — Moi aussi.

    Ce n'était pas un mensonge. Il l'aimait comme une mère. Elle l’avait aidé quand il était jeune et qu’il avait des ennuis. Elle s’était donné pour mission de veiller à ce qu’il fasse des études et qu’il ait un emploi. Il avait créé sa propre entreprise, grâce à elle.

    Il se leva et regarda la fenêtre avec envie. Maya n’était plus visible. Il ne voulait pas partir. Il préférait rester à la maison et travailler tout en regardant de temps en temps par la fenêtre. S'il n’avait pas de relations sexuelles rapidement, il serait d’une humeur massacrante. Il n'était pas question de coucher avec quelqu’un d’autre. Et à moins qu’elle ne se débarrasse de cette tête de nœud de petit ami, il ne savait pas comment cela allait arriver.

    Noah prit son whisky et but son verre d'un seul coup.

    — Tu sais, dit Gerri. Je vois bien qu’il y a quelque chose qui te tracasse. Tu n'as jamais été si tendu.

    Elle avait raison. Il était excité comme un bouc et la femme qu'il convoitait n'était pas dans les parages. Pire encore, elle ne savait même pas qu’il existait. Génial. Tout simplement génial.

    — J'ai beaucoup de travail.

    Elle leva les sourcils et porta son verre à ses lèvres. Après une pause pour boire un peu de son porto, elle soupira.

    — Je te connais, Noah. Tu es comme un fils pour moi. Non… elle leva la main. Il n’est pas nécessaire de me rappeler que nous sommes de différentes espèces. Je sais ça. Mais je t'aime quand même. Elle pinça les lèvres. Maintenant arrête de faire l’idiot et parle-moi.

    Ouais. C’était la Gerri qu’il connaissait et qu’il aimait : directe.

    — C’est rien.

    Elle fit signe pour qu’on leur amène l’addition.

    — Tu devrais savoir qu'il ne faut pas parler comme une femme avec moi.

    Il fronça les sourcils, baissant les yeux sur le morceau de gâteau dont il n’avait pris qu’une seule bouchée. En général, son appétit faisait peur, mais maintenant qu’il n’avait plus que Maya en tête, il ne voulait pas de nourriture. Il la voulait, elle. Il voulait faire l’amour.

    — Parler comme une femme ?

    — Le mot « rien » figure toujours dans le vocabulaire féminin. Arrête de me dire que tu n’es pas énervé.

    — Je ne suis pas énervé, murmura-t-il en repoussant l'assiette de gâteau.

    — Oh, alors qu'est-ce que tu as ?

    — Je suis frustré, admit-il. Il y a une différence.

    — Pourquoi ? Qu'est-ce qui ne va pas ? Dis-moi et laisse-moi t’aider, demanda-t-elle. C'était tellement Gerri. Elle ne proposait pas d’aide. Elle demandait la permission d’arranger tout ce qui n'allait pas pour lui. Elle était tellement surprotectrice.

    — Tu ne peux pas tout arranger, Gerri.

    Il arracha l’addition de la table avant qu'elle ne tente de la payer. Elle le faisait toujours, comme s'il était encore un enfant fauché qui vivait dans la rue. Ce n’était plus le cas. Il possédait maintenant un immeuble entier, bon sang. Et même plein d’autres propriétés. Il vivait dans cet immeuble, plutôt que dans une maison, parce qu’il représentait son succès, sa capacité à être sorti du caniveau et à devenir l'homme que Gerri comprenait qu'il était. Celui que personne d'autre ne pensait qu'il pourrait être. C’était le premier bien immobilier qu’il avait acheté, et vivre là-bas lui importait plus que vivre dans n’importe quel hôtel particulier.

    Elle leva un sourcil. Une lueur déterminée brillait dans ses yeux.

    — Je peux essayer. Et voir que mon filleul préféré est frustré me bouleverse.

    Il aboya un rire.

    —Tu n'as pas l'air bouleversée du tout. Gerri fronça ses sourcils délicats. On dirait plutôt que tu veux que je fasse quelque chose que je n’ai pas envie de faire. Mais tu n’as certainement pas l’air bouleversée.

    Ses yeux brillèrent sous l’influence de sa louve.

    —Tu es peut-être un gros méchant jaguar, mais je peux te mordre les fesses et je ne m’en priverai pas s’il le faut.

    Il n’osa pas répondre. C’était Gerri, la seule femme dont il s’était autorisé à se soucier. Il était hors de question qu'il l'énerve. Dès que la serveuse lui eut rendu sa carte, il se leva et aida Gerri à se relever.

    —Allez, ma belle. Tu

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