Cette Proposition Irrésistible Du Milliardaire - Tomes 4 à 6: Cette Proposition irrésistible du Milliardaire, #12

Par Analia Noir

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Lorsqu'on lui propose de travailler pour le richissime et célèbre Rafaelo Dimitri, Louise refuse immédiatement.

Ce milliardaire a une réputation de goujat impossible à gérer, et elle refuse tout net de renoncer à son indépendance !

Mais aussitôt l'offre déclinée, Rafaelo en personne la somme de rejoindre son entreprise.

Louise comprend alors qu'elle n'a pas le choix.

En effet, cet homme d'affaires si puissant – et hélas ! Tellement séduisant – a complètement le pouvoir de détruire sa réputation, et sa carrière avec.

Sans recours, elle va se résoudre à l'accompagner à Dubaï, mais elle part avec une promesse : ne pas tomber sous son charme, surtout pas…

• Langue: Français
• Éditeur: Analia Noir
• Date de sortie: 14 mai 2022
• ISBN: 9798201662745

Aperçu du livre

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Lorsqu’on lui propose de travailler pour le richissime et célèbre Rafaelo Dimitri, Louise refuse immédiatement. Ce milliardaire a une réputation de goujat impossible à gérer, et elle refuse tout net de renoncer à son indépendance ! Mais aussitôt l’offre déclinée, Rafaelo en personne la somme de rejoindre son entreprise. Louise comprend alors qu’elle n’a pas le choix. En effet, cet homme d’affaires si puissant – et hélas ! Tellement séduisant – a complètement le pouvoir de détruire sa réputation, et sa carrière avec. Sans recours, elle va se résoudre à l’accompagner à Dubaï, mais elle part avec une promesse : ne pas tomber sous son charme, surtout pas...

Allongée sur une banquette à l’arrière du jet privé, Louise enroulait négligemment ses cheveux roux autour de son index de la main droite, attendant patiemment que ce qu’on lui avait promis quelques minutes plus tôt lui soit livré. Les rayons du soleil, nullement obstrués par l’amas de nuages qui se trouvaient plus bas, tapaient directement dans le hublot et réchauffait son corps nu qui semblait d’ailleurs briller. Elle était complètement détendue, elle n’attendait plus que son amant. Rafaelo ne se fit, en vérité, pas attendre. S’allongeant sur le ventre devant elle, il engouffra sa tête entre ses cuisses et sortit sa langue. Louise crispa tout son corps, resserrant ses doigts sur la housse de la banquette en signe d’anticipation. Les coups de langues commencèrent et elle mordit immédiatement sa langue pour s’empêcher de crier tout de suite. Par réflexe, elle resserra encore plus ses cuisses et appuya de sa main droite, se redressant légèrement, sur la tête de Rafaelo qui manquait certainement d’oxygène mais elle n’en avait que faire. Ce qui comptait là, tout de suite, c’était de sentir la langue de l’homme d’affaires sur son sexe, précisément sur son clitoris, ce petit bouton de chair qui lui faisait tellement de bien. Le meilleur, c’était qu’il savait ce qu’il faisait pour lui faire du bien. Il passait ses mains fraîches sur l’intérieur de ses cuisses, tout en faisant en sorte le cœur de l’affaire. Le sexe en lui-même, reste bouillant de par sa langue et son souffle qu’il laissait passer entre ses lèvres pour stimuler au maximum les grandes et petites lèvres de sa vulve. À chaque coup de langue, Louise s’enfonçait un peu plus dans le plaisir à l’état brut, celui qui lui tournait la tête sans comprendre exactement d’où il venait. Tout ce qu’elle voulait, c’était qu’il ne s’arrête jamais.

Rapidement au bord de l’orgasme, Louise repoussa brutalement le milliardaire qui était pourtant bien parti pour achever son ouvrage. Elle se mordit la lèvre et le regarda dans les yeux, essayant de lui faire comprendre qu’elle voulait plus. Elle le tira par le bras pour le faire revenir sur cette banquette qui allait en voir de toutes les couleurs. Sans attendre, une fois qu’il fut de nouveau à genoux sur elle, la jeune femme se mit à quatre pattes, dos à lui, ses cheveux dispersés dans son dos. Essoufflée de cette première partie, elle savait qu’elle n’avait pas fini de s’épuiser. La grande main fraîche de Rafaelo appuya sur son dos pour l’obliger à se courber davantage et la pénétra d’un coup sec. Les coups de reins s’enchaînèrent, plus brutaux et intenses les uns que les autres et Louise baissa la tête pour se concentrer sur les sensations qui arrivaient au grand galop dans son corps. Elle sentait le pénis rentrer et se retirer pour s’enfoncer encore plus loin dans son vagin et ce rythme l’aurait presque bercée si elle ne ressentait pas autant de plaisir à se faire prendre comme ça. Et puis il fallait dire que le cadre était des plus extraordinaires parce qu’inattendu : dans un jet privé, quelque part entre les Émirats arabes unis et la France. Comment pouvait-elle ne serait-ce que penser à regarder par le hublot et profiter du paysage quand elle avait son patron et amant, Rafaelo Dimitri à sa disposition pour une demi-heure de plaisir intense ? Ce dernier se pencha progressivement vers l’avant à mesure qu’il accélérait ses va-et-vient pour venir poser ses paumes toujours aussi fraîches sur la pointe de ses seins, qui évidemment, se durcirent. Cette stimulation directe, couplée à la pénétration répétée, ne pouvait que faire du bien à Louise qui commençait à sentir un filet de sueur lui perler sur le corps.

Le reste du rapport fut quelque peu flou, parce que trop intense pour son corps. Elle se rappelait agripper de plus belle la banquette qui leur servait de lit, Rafaelo tenait fermement sa chevelure cuivrée pour la dominer encore plus, ce à quoi elle ne voyait – dans le cadre du rapport, du moins – pas d’inconvénient. Il lui faisait mal mais elle aimait ça, tant qu’il savait contrebalancer cette douleur avec du plaisir. Il montait comme une fusée vers son cerveau, elle sentait son sang ne faire qu’un tour dans son organisme. Elle se mit à crier, très fort, mais fut contrainte de se taire quand le milliardaire lui mit sa main devant sa bouche. Décidément, c’était une habitude. Elle comprit que bien qu’il n’y eut pas de mystère quant à leurs activités, au beau milieu de l’après-midi, à l’arrière d’un jet privé, il n’empêche qu’ils n’étaient pas tous seuls. Albert Butler était bien évidemment dans l’avion avec eux et il n’y aurait rien de plus gênant qu’il les entende, même si Louise n’était pas si naïve. Mordant carrément les doigts de son amant, elle se concentra pour ne laisser passer aucune émotion et laisser ces dernières prendre possession de son corps en silence. Elle sentait sa poitrine bouger dans tous les sens selon la façon dont Rafaelo agrippait son corps ; elle sentait également que ce corps ne supporterait pas longtemps qu’on le malmène ainsi, bien qu’elle soit habituée, maintenant. Son corps se fatigua très vite et évidemment, elle allait perdre au jeu de l’endurance face à lui qui semblait à peine essoufflé. Ne tenant plus, les muscles de ses