Véhicule de combat blindé: Évolution technologique et impact tactique dans la guerre moderne
Par Fouad Sabry
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À propos de ce livre électronique
Qu'est-ce qu'un véhicule blindé de combat
Un véhicule blindé de combat ou véhicule blindé de combat (AFV) est un véhicule de combat armé protégé par un blindage, combinant généralement mobilité opérationnelle et offensive et défensive. capacités. Les AFV peuvent être à roues ou à chenilles. Des exemples d'AFV sont les chars, les véhicules blindés, les canons d'assaut, les artilleries automotrices, les véhicules de combat d'infanterie (IFV) et les véhicules blindés de transport de troupes (APC).
Comment vous en bénéficierez
(I) Informations et validations sur les sujets suivants :
Chapitre 1 : Véhicule blindé de combat
Chapitre 2 : Chasseur de chars
Chapitre 3 : Véhicule de combat d'infanterie
Chapitre 4 : Infanterie mécanisée
Chapitre 5 : Artillerie automotrice
Chapitre 6 : Véhicule blindé à chenilles Warrior
Chapitre 7 : Panzergrenadier
Chapitre 8 : Guerre blindée
Chapitre 9 : Liste des véhicules militaires
Chapitre 10 : Liste des véhicules blindés de combat modernes
(II) Répondre aux principales questions du public sur les véhicules blindés de combat.
À qui s'adresse ce livre
Professionnels, étudiants de premier cycle et étudiants diplômés, passionnés, amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type de véhicule blindé de combat.
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Aperçu du livre
Véhicule de combat blindé - Fouad Sabry
Véhicule blindé de combat
Évolution technologique et impact tactique dans la guerre moderne
Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.
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Véhicule blindé de combat
Évolution technologique et impact tactique dans la guerre moderne
Fouad Sabry
Copyright
Véhicule © blindé de combat 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.
Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit ou par quelque moyen électronique ou mécanique que ce soit, y compris les systèmes de stockage et de récupération d'informations, sans l'autorisation écrite de l'auteur. La seule exception est celle d'un critique, qui peut citer de courts extraits dans une critique.
Couverture conçue par Fouad Sabry.
Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.
Table des matières
Chapitre 1 : Véhicule blindé de combat
Chapitre 2 : Chasseur de chars
Chapitre 3 : Véhicule de combat d'infanterie
Chapitre 4 : Infanterie mécanisée
Chapitre 5 : L'artillerie automotrice
Chapitre 6 : Véhicule blindé à chenilles Warrior
Chapitre 7 : Panzergrenadier
Chapitre 8 : La guerre blindée
Chapitre 9 : Liste des véhicules militaires
Chapitre 10 : Liste des véhicules blindés de combat modernes
Appendice
À propos de l'auteur
Chapitre 1 : Véhicule blindé de combat
Un véhicule de combat armé protégé par un blindage est connu sous le nom de véhicule blindé de combat (AFV) en anglais britannique et américain. Les VCB combinent généralement la mobilité opérationnelle avec des capacités offensives et défensives. Les VCB peuvent se déplacer sur roues ou sur chenilles. Les chars, les automobiles blindées, les fusils d'assaut, les armes automotrices, les véhicules de combat d'infanterie (VCI) et les véhicules blindés de transport de troupes sont quelques exemples de VCB.
En fonction de ses qualités et de son utilisation prévue sur le champ de bataille, les véhicules blindés de combat sont catégorisés. Les catégories ne sont pas universelles ; Les critères sont susceptibles de changer au fil du temps et divers pays peuvent classer le même véhicule de différentes manières. Par exemple, les véhicules de combat d'infanterie dotés d'un armement nettement plus important ont principalement remplacé les véhicules blindés de transport de troupes relativement légèrement armés dans une tâche comparable.
Les conceptions qui réussissent sont fréquemment modifiées pour un large éventail d'utilisations. Par exemple, le MOWAG Piranha, qui devait initialement être un véhicule blindé de transport de troupes, a été modifié pour servir d'affût de mortier, de véhicule de combat d'infanterie et de canon d'assaut, entre autres fonctions.
La voiture blindée, le char, le canon automoteur et le transport de troupes ont été parmi les premiers véhicules de combat blindés à être utilisés pendant la Première Guerre mondiale.
Des éléphants de guerre d'Hannibal aux inventions de Léonard, les stratèges militaires ont toujours cherché à augmenter la mobilité et la capacité de survie de leurs soldats. L'idée d'une unité de combat très mobile et blindée n'est pas nouvelle.
Avant le développement de moteurs à combustion interne suffisamment puissants au tournant du 20e siècle, les véhicules de guerre blindés n'étaient pas réalisables.
Fournir aux troupes une défense mobile et des armes est une vieille idée qui a été réalisée dans les véhicules de combat blindés modernes. Pendant des millénaires, les armées se sont engagées dans des combats avec des machines de guerre et des cavaleries équipées d'armures rudimentaires. Les concepts d'ingénierie et l'utilisation de ces créatures ont tenté de trouver un équilibre entre les besoins paradoxalement contradictoires de mobilité, de puissance de feu et de protection.
Afin de protéger leurs équipages des attaques ennemies, les engins de siège comme les béliers et les tours de siège étaient souvent blindés. Les armées grecques ont utilisé de telles constructions lors du siège de Rhodes. Polyide de Thessalie a créé l'hélépolis, une très grande tour de siège mobile, en 340 av. J.-C. (305 av. J.-C.).
Depuis l'Antiquité, le concept de véhicule de combat protégé existe. Le croquis du XVe siècle de Léonard de Vinci d'une plate-forme de canon mobile et protégée est fréquemment mentionné ; Les croquis représentent une structure conique en bois avec des ouvertures de canon à l'extérieur. Un système de manivelles et d'engrenages à cage (ou « lanterne ») serait utilisé par l'équipage pour faire tourner les quatre roues de la machine. Leonardo affirma : « Je construirai des chariots blindés qui peuvent résister aux attaques de l'ennemi. Il n'y aura rien qu'il ne puisse pas traverser." L'équipage humain aurait pu le transporter sur une courte distance, selon des copies modernes.
Vers 1420, pendant les guerres hussites, les forces hussites de Bohême ont créé des chariots de guerre, des chariots médiévaux tirés par des chevaux qui servaient également de forts de chariots.
Des fentes pour armes à feu ont été ajoutées aux côtés protecteurs de ces wagons massifs ; Ils avaient soit un canon, soit un groupe d'artilleurs et d'arbalétriers qui fournissaient une puissance de feu considérable, soutenus par une infanterie et une cavalerie légère brandissant des piques et des fléaux.
Les arquebuses lourdes montées sur des wagons étaient appelées arquebuses à croc.
Environ 3,5 onces de balle ont été transportées par ceux-ci (100 g).
La plupart des armées modernes possédaient des véhicules capables de transporter des soldats, de l'artillerie et des armes antiaériennes avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. La majorité des VCB modernes ressemblent à leurs ancêtres de la Seconde Guerre mondiale en apparence, mais ils ont considérablement amélioré le blindage, l'armement, les moteurs, l'électronique et la suspension. Le transport aérien de véhicules blindés est rendu concevable et pratique par la croissance de la capacité des avions de transport. Certains ou tous les véhicules lourds classiques utilisés par de nombreuses armées sont remplacés par des variantes aéromobiles plus légères, ayant souvent des roues à la place des chenilles.
Les premiers VCB contemporains étaient des voitures armées, qui précèdent le véhicule à moteur à bien des égards. Le Motor Scout a été créé par l'inventeur britannique F. R. Simms en 1898. C'était le premier véhicule jamais fabriqué avec un moteur à essence armé. Il était composé d'un quadricycle fabriqué par De Dion-Bouton avec une mitrailleuse Maxim montée sur la barre avant. Le conducteur avait une protection frontale limitée grâce à un bouclier de fer, mais il n'y avait pas de blindage de protection global.
Le Charron français, Girardot et Voigt 1902, qui a été dévoilé au Salon de l'Automobile et du Cycle à Bruxelles le 8 mars 1902, était un autre des premiers véhicules blindés de l'époque. Pendant la Première Guerre mondiale, les automobiles blindées ont d'abord été utilisées comme véhicules de reconnaissance en grand nombre des deux côtés.
Dans sa nouvelle « The Land Ironclads », publiée en 1903, H. G. Wells a prédit que des machines de guerre imparables inaugureraient une nouvelle ère de guerre terrestre, tout comme les navires de guerre cuirassés à vapeur avaient mis fin à l'ère de la voile.
La vision littéraire de Wells s'est réalisée en 1916 lorsque le British Landship Committee a utilisé des véhicules blindés révolutionnaires pour mettre fin à l'arrêt à la Pyrrhus de la Grande Guerre. Le char était destiné à être un véhicule blindé capable de traverser le terrain tout en étant attaqué par des mitrailleuses et de répondre avec des mitrailleuses montées et de l'artillerie navale. Ces premiers chars britanniques de la Première Guerre mondiale ont traversé le terrain boueux et creusé et les tranchées de la bataille de la Somme grâce à des chenilles qui avaient une pression au sol nettement inférieure à celle des véhicules à roues.
Le char est finalement devenu une arme capable de couvrir de grandes distances à des vitesses beaucoup plus rapides que l'infanterie et l'artillerie au fur et à mesure que la technologie progressait. Une grande variété de VCB spécialisés ont été développés, en particulier pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), afin de fournir les forces qui combattraient aux côtés du char.
Vers la fin de la Première Guerre mondiale, le véhicule blindé de transport de troupes, utilisé pour transporter les soldats d'infanterie sur les lignes de front, a été développé. Il était devenu évident lors des premières actions des chars qu'un contact étroit avec l'infanterie était nécessaire pour tenir le terrain gagné par les chars. Alors que les troupes à pied étaient exposées au feu ennemi, elles ne pouvaient pas non plus être transportées dans un char en raison des conditions difficiles (chaleur extrême, air vicié). Le lieutenant G. J. Rackham a été chargé de créer un véhicule blindé capable de combattre et de transporter des troupes ou des fournitures en 1917. Seuls trois chars Mark IX avaient été achevés au moment de l'armistice en novembre 1918, et seulement 34 en tout ont été fabriqués par Armstrong, Whitworth & Co.
Pendant l'entre-deux-guerres, diverses classes de chars ont été développées. La tankette a été conçue comme une variante portable pour deux personnes avec la reconnaissance comme utilisation principale. La tankette Carden Loyd, créée en 1925 par Sir John Carden et Vivian Loyd, a été la première du genre à être largement utilisée. L'armée royale italienne a utilisé des tankettes pendant la guerre civile espagnole (1936-1939), l'invasion italienne de l'Éthiopie (1935-1936) et presque partout ailleurs où les soldats italiens ont participé à la Seconde Guerre mondiale. Les tankettes étaient utilisées par l'armée impériale japonaise dans les combats dans la jungle.
La première artillerie automotrice, le porte-canon britannique Mark I, est entrée en service en 1917. Il avait un puissant canon de campagne et était basé sur le premier char, le Mark I britannique. Le canon Birch (1925), créé pour la brigade expérimentale de combat motorisée britannique, a été le développement significatif suivant (la Force mécanisée expérimentale). Celui-ci installait un canon de campagne sur un châssis de char qui pouvait tirer la trajectoire standard de l'artillerie ainsi que des obus antiaériens.
La majorité des principales nations militaires ont créé de l'artillerie automotrice pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s'agissait notamment d'armes installées sur un châssis à chenilles, souvent celui d'un char qui n'était plus en service ou qui avait été remplacé, et d'une superstructure blindée pour protéger le canon et son équipage. L'obusier de 25 livres a été monté de manière improvisée sur un châssis de char dans la première version britannique, « Bishop », ce qui a considérablement réduit les performances du canon. Le Sexton, plus pratique, a pris sa place. Les ingénieurs allemands ont produit un grand nombre d'armes antichars automotrices blindées légères en utilisant des équipements français qu'ils avaient acquis, leurs propres châssis de chars légers obsolètes (Marder II) ou des châssis ex-tchèques (Marder III). Ceux-ci ont conduit au développement de chasseurs de chars mieux défendus construits sur le châssis de chars moyens comme le Jagdpanzer IV ou le Jagdpanther.
Pendant la Première Guerre mondiale, l'arme antiaérienne automotrice a fait sa première. Le canon antiaérien britannique QF de 3 pouces de 20 cwt et le canon antiaérien allemand de 88 mm ont été montés sur des camions et déployés contre les chars britanniques avec un succès remarquable sur le front occidental. Le canon Birch pouvait être surélevé pour être utilisé comme artillerie anti-aérienne bien qu'il s'agisse d'une pièce d'artillerie polyvalente montée sur un châssis blindé à chenilles. Basé sur le châssis du char léger Mk.E 6 tonnes/tracteur Dragon Medium Mark IV, Vickers Armstrong a créé l'un des premiers SPAAG, avec un canon Vickers QF-1 « Pom-Pom » de 40 mm. Au début de la guerre, les Allemands avaient des half-tracks cargo avec un seul canon AA de 20 mm ou 37 mm monté sur les Sd.Kfz. 10/4 et 6/2, respectivement.
Le Katioucha soviétique et d'autres lance-roquettes remontent à la fin des années 1930. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les véhicules blindés de combat armés Panzerwerfer et Wurfrahmen 40 ont servi d'artillerie à roquettes automotrice de la Wehrmacht. Les lance-roquettes multiples modernes ont souvent des châssis de camion ou de char qu'ils peuvent conduire eux-mêmes.
Un char de combat principal est généralement construit pour résister aux tirs d'autres canons de chars et de missiles antichars, tandis que les véhicules de reconnaissance légers sont souvent blindés « au cas où ». Le degré de protection du blindage entre les VCB varie considérablement. Bien qu'un blindage plus lourd offre une meilleure protection, il réduit également la mobilité d'un véhicule (pour une puissance moteur donnée), limite sa capacité à être transporté par avion, augmente les coûts, consomme plus de carburant et peut restreindre les endroits où il peut aller. Par exemple, de nombreux ponts peuvent ne pas être en mesure de supporter le poids d'un char de combat principal. Le blindage en acier est remplacé par un blindage composite, qui est plus solide pour un poids donné et permet aux chars d'être plus légers tout en offrant une protection égale ou supérieure à celle du blindage en acier. Plusieurs véhicules disposent de systèmes de protection active en plus du blindage, permettant au VCB de se défendre contre les projectiles entrants.
Selon la fonction du véhicule et la probabilité d'une agression, le niveau de protection varie également considérablement d'un véhicule à l'autre. Par exemple, un char de combat principal aura généralement un blindage plus épais en haut et en bas du char et moins de blindage sur les côtés de la caisse. Le blindage le plus lourd se trouve généralement à l'avant de la caisse et de la tourelle. D'autres véhicules, comme la famille MRAP, peuvent inclure un blindage incliné substantiel sur le fond de la caisse comme défense principale contre la menace posée par les EEI.
Pour le transport d'infanterie, la reconnaissance ou les tâches spécialisées, les VCB de moindre importance peuvent simplement être armés d'un canon automatique ou d'une mitrailleuse (ou rien du tout), tandis que la grande artillerie automotrice transportera des obusiers, des mortiers ou des lance-roquettes. Ces armes peuvent être fixées directement au véhicule, montées sur un pivot ou logées dans une tourelle ou une coupole.
L'anneau de tourelle d'un VCB doit être plus grand au fur et à mesure que l'arme subit du recul. Un véhicule plus grand est nécessaire pour un anneau de tourelle plus grand. Les tourelles des véhicules amphibies sont souvent placées au milieu du véhicule pour l'empêcher de gîter d'un côté.
La stabilité de la tourelle est une compétence cruciale car elle permet un tir mobile et réduit la fatigue de l'équipage.
Les types de moteurs à pistons les plus courants pour les VCB modernes sont les moteurs à essence ou diesel. Les turbines à gaz ont été utilisées plus récemment. Étant donné que les moteurs à essence offrent un rapport puissance/poids élevé, ils étaient généralement utilisés dans les premiers VCB. Cependant, parce que l'essence était si inflammable, ils n'étaient plus populaires pendant la Seconde Guerre mondiale.
La majorité des VCB modernes sont propulsés par des moteurs diesel, qui ont un rapport puissance/poids inférieur à celui de leurs homologues à essence. Cependant, la technologie moderne, comme l'utilisation de la turbocompression, aide à surmonter ce problème.
À la fin du 20e siècle, les moteurs à turbine à gaz (turbomoteurs) ont gagné en popularité en raison de leur rapport puissance/poids élevé. Cependant, en raison de leur faible efficacité énergétique, certaines armées reviennent maintenant aux moteurs diesel (c'est-à-dire que le T-80 russe utilisait un moteur à turbine à gaz, alors que le T-90 ultérieur n'en a pas). Un exemple célèbre de char à turbine à gaz est le M1 Abrams américain.
Célèbres véhicules de guerre blindés de l'après-Première Guerre mondiale à nos jours.
Le char est un VCB tout-terrain doté d'une artillerie capable d'effectuer presque toutes les tâches sur le champ de bataille et d'engager les forces ennemies avec un tir direct en mode d'assaut frontal. Une configuration de conception standard et mature est depuis devenue un modèle largement reconnu, malgré le fait que de nombreuses configurations aient été essayées, notamment au début des premiers « jours d'or » expérimentaux de la construction de chars. Celui-ci dispose de plusieurs systèmes d'armement secondaires répartis dans tout le monde et d'un canon de char principal ou d'un canon d'artillerie positionné dans une tourelle entièrement rotative au sommet d'une coque de véhicule à chenilles.
En termes de philosophie, un char est par définition une arme offensive. Il s'agit essentiellement d'une casemate ou d'une minuscule forteresse qui peut se déplacer vers l'ennemi car il s'agit d'une enceinte protectrice avec au moins une position de canon (bien qu'il s'agisse de fortifications statiques de nature purement défensive). C'est pourquoi il a une utilité offensive. Le char sert psychologiquement de multiplicateur de force et remonte le moral des soldats qu'il soutient.
Les chars étaient divisés en deux catégories : la taille et la fonction.
Char léger sans pilote Ripsaw M5
Char léger allemand Panzer II de la Seconde Guerre mondiale