Canoë de guerre: Naviguer sur les lignes de front de la guerre navale

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce que le canoë de guerre

Une embarcation semblable à un canot qui est destinée et équipée pour être utilisée dans la guerre est connue sous le nom de canoë de guerre. Les canoës de guerre peuvent être vus sous diverses formes dans de nombreuses cultures différentes à travers le monde. À l'époque contemporaine, des modèles similaires sont devenus un sport, et le terme « canoë de guerre » peut faire référence à une forme spécifique de canoë utilisée pour la course en eau calme.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Canoë de guerre

Chapitre 2 : Kayak

Chapitre 3 : Aviron (sport)

Chapitre 4 : Canoë

Chapitre 5 : Bateau-dragon

Chapitre 6 : Kayak en eau vive

Chapitre 7 : Courses de bateaux

Chapitre 8 : Canoë en eaux vives

Chapitre 9 : Bateau à balancier

Chapitre 10 : Canoës du nord-ouest du Pacifique

(II) Répondre aux principales questions du public sur le canoë de guerre.

À qui s'adresse ce livre

Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs et ceux qui veulent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type de canoë de guerre.

 

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 22 juin 2024

Aperçu du livre

Canot de guerre

Naviguer sur les lignes de front de la guerre navale

Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.

Un milliard de connaissances

Canot de guerre

Naviguer sur les lignes de front de la guerre navale

Fouad Sabry

Copyright

Canoë © de guerre 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.

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Couverture conçue par Fouad Sabry.

Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.

Table des matières

Chapitre 1 : Canot de guerre

Chapitre 2 : Kayak

Chapitre 3 : Aviron (sport)

Chapitre 4 : Canot

Chapitre 5 : Bateau-dragon

Chapitre 6 : Kayak d'eau vive

Chapitre 7 : Course de bateaux

Chapitre 8 : Canoë en eau vive

Chapitre 9 : Bateau à balancier

Chapitre 10 : Canots du nord-ouest du Pacifique

Appendice

À propos de l'auteur

Chapitre 1 : Canot de guerre

Une embarcation semblable à un canoë qui est destinée et fournie pour être utilisée à la guerre est connue sous le nom de canot de guerre. Les canoës de guerre peuvent être vus dans une variété de formes dans de nombreuses cultures différentes à travers le monde. À l'époque contemporaine, de tels modèles ont été adaptés en tant que sport, et le terme « canoë de guerre » peut désigner une forme spécifique de canoë utilisée pour les courses en eau calme.

En Afrique, en Australie, en Amérique et en Europe, les canots de guerre étaient utilisés pour transporter des troupes et des fournitures, ainsi que pour engager des objectifs sur terre. les archives du XIVe siècle mentionnent de nombreux peuples d'Afrique de l'Ouest utilisant d'énormes bateaux de combat dans les eaux intérieures, dont certains mesuraient jusqu'à 24 mètres de long et transportaient plus d'une centaine d'hommes. Bien que les preuves de batailles de canoë contre canoë en haute mer soient rares, ces batailles sont mentionnées dans les archives. Le bateau de guerre était normalement construit à partir d'un seul énorme tronc d'arbre, le cotonnier à soie étant particulièrement efficace à cet égard. L'intérieur a été fouillé et sculpté à l'aide du feu et de divers instruments à main. Afin d'éviter que le traitement par le feu ne provoque une expansion excessive pendant qu'il était effectué, des entretoises et des haubans ont été utilisés. L'écoulement de la sève, qui fonctionnait comme un conservateur contre les insectes nuisibles, était une autre fonction du feu. Il y avait des canoës d'une largeur intérieure de sept à huit pieds (2,1 à 2,4 mètres), ce qui permettait de fournir des sièges pour les rameurs ainsi que des commodités telles que des cheminées et des chambres à coucher.

Le bouclier, la lance et l'arc étaient les armes standard qui étaient portées par les guerriers à bord. À l'époque de la poudre à canon, il n'était pas rare que de minuscules canons en fer ou en laiton soient positionnés à l'avant ou à l'arrière des navires. Cependant, la puissance de feu qui pouvait être fournie par ces sites et ces armements n'était pas particulièrement efficace. D'une manière générale, les mousquetaires qui étaient chargés de fournir des tirs pour couvrir les expéditions de raid avaient plus de chance. Dans la plupart des cas, la stratégie consistait à manœuvrer à proximité de la plage, à tirer des armes, puis à se retirer rapidement en pleine mer afin de recharger avant de se précipiter avant de répéter le cycle. Un certain nombre de conflits importants ont eu lieu dans les lagunes, les criques et les lacs d'Afrique de l'Ouest, y compris des batailles de canoë contre pirogue. Les principales missions consistaient à transporter des troupes et des fournitures.

Le canot de guerre est un sport qui est principalement pratiqué au Canada, certaines équipes venant également de la région nord-ouest des États-Unis. Bien qu'il ne soit pas sanctionné par la Fédération internationale de canoë, il est néanmoins une composante essentielle de la majorité des programmes de courses de clubs de canoë au Canada. En vérité, le canot de guerre était un sport populaire à Vancouver, en Colombie-Britannique, avant l'année 1922, lorsque les grands rassemblements d'Autochtones ont été rendus illégaux. Le mot « canot de guerre » provient des grands canots utilisés par les peuples autochtones à des fins militaires. Le sport du canoë de guerre connaît une renaissance parmi les groupes autochtones à l'heure actuelle, malgré le fait qu'il y ait eu très peu d'engagement avec les équipes non autochtones.

Un barreur, souvent appelé barreur, est responsable de la direction d'un canot de guerre, qui peut accueillir quinze pagayeurs. Il y a des cas où le canot de guerre est appelé C-15 sur les calendriers des régates, où la lettre « C » représente le mot « canoë ». Pour pagayer, les pagayeurs s'agenouillent sur un genou tandis qu'ils sont disposés à sept sur le côté et quelque peu décalés les uns par rapport aux autres. Le barreur est positionné à l'arrière du bateau, ses mollets étant soutenus par un joug placé entre eux. Lorsqu'ils pagayent sur un canoë de vitesse, les pagayeurs de gauche s'agenouillent sur leur genou gauche et vice versa. Le pagayeur qui est devant eux, qu'ils soient à droite ou à gauche, sera celui qui donnera le coup. Le bois est le matériau le plus couramment utilisé dans la construction de bateaux ; cependant, certains bateaux plus récents peuvent être en fibre de verre. La plupart des courses seront de 500 mètres ou 1000 mètres. Il est possible d'utiliser des pagaies en bois ; Cependant, les pagaies en fibre de carbone sont de plus en plus courantes en raison de leur poids moindre, ce qui se traduit par une puissance et des performances accrues.

En raison du fait qu'il permet à un nombre considérable de membres de course d'un club d'être dans le bateau en même temps et de courir ensemble, le canoë de guerre est considéré comme un événement de prestige lors des régates où il est disputé. Dans le contexte d'un sport qui est normalement centré sur les réalisations individuelles, il s'agit d'une compétition d'équipe importante. Les équipages masculins et féminins, ainsi que les équipages mixtes, participeront aux courses. Les équipages seront sélectionnés dans le groupe d'âge approprié, tel que Bantam, junior et maîtres, entre autres.

En général, un canot de guerre sera plus rapide qu'un bateau-dragon sur une distance donnée. Cela est dû au fait que la coque d'un canoë de guerre est plus étroite et n'a pas la forme caractéristique en « W » des coques de bateaux-dragons. De plus, la construction d'un canoë de guerre est plus légère et la position à genoux permet une course plus puissante et plus complète que la position assise utilisée dans les bateaux-dragons.

Le canot de guerre : une perspective historique et militaire

Introduction

Les canots de guerre, qui faisaient autrefois partie intégrante des stratégies navales de diverses cultures, représentent une intersection fascinante entre l'innovation maritime et la science militaire. Des navires élégants et agiles des Polynésiens aux formidables canoës de guerre des tribus amérindiennes et des royaumes africains, ces bateaux n'étaient pas de simples outils de transport mais de puissants instruments de guerre. Cet article explore l'importance historique, la construction, l'utilisation tactique et l'héritage durable des canots de guerre dans le contexte de la science militaire.

Importance historique

Les canots de guerre ont une histoire riche à travers de nombreuses cultures, chacune adaptant la conception de base à ses besoins géographiques et tactiques uniques. En Polynésie, les pirogues de guerre à double coque, connues sous le nom de « waka taua » dans la culture maorie, étaient des chefs-d'œuvre d'artisanat, capables de traverser de vastes distances océaniques. Ces navires étaient cruciaux dans les voyages au long cours des Polynésiens et étaient souvent utilisés dans les conflits intertribaux.

De même, les tribus amérindiennes, en particulier celles du nord-ouest du Pacifique et de la région des Grands Lacs, ont développé de grands canots de guerre finement sculptés. Les tribus haïdas et tlingits, par exemple, construisaient d'énormes canots à partir de rondins de cèdre, qui étaient essentiels pour les raids et la défense. Ces canoës n'étaient pas seulement fonctionnels ; c'étaient aussi des artefacts culturels, ornés de sculptures qui avaient une signification spirituelle.

En Afrique, les pirogues de guerre du royaume du Dahomey et du delta du Niger étaient vitales pour contrôler les cours d'eau et mener des assauts amphibies. Ces navires ont joué un rôle clé dans la dynamique du pouvoir et les stratégies militaires de la région.

Construction Techniques

La construction de canots de guerre était un processus sophistiqué, mêlant ingénierie et art. Les matériaux et les méthodes variaient considérablement d'une culture à l'autre, mais partageaient des principes communs de durabilité, de vitesse et de maniabilité.

Pirogues de guerre polynésiennes

Les pirogues de guerre polynésiennes, telles que le waka taua, étaient généralement fabriquées à partir de gros troncs d'arbres indigènes comme le totara ou le kauri. Le processus de construction consistait à évider les bûches, à les façonner avec des herminettes et à les assembler avec des attaches en fibre de coco. Ces canoës comportaient souvent des stabilisateurs ou des doubles coques pour plus de stabilité en haute mer. La proue et la poupe ont été sculptées de manière élaborée, servant à la fois à des fins décoratives et fonctionnelles en renforçant la structure.

Canoës de guerre amérindiens

En Amérique du Nord, la construction de canots de guerre variait selon les régions. Dans le nord-ouest du Pacifique, des tribus comme les Haïdas et les Tlingits utilisaient de grandes bûches de cèdre, qui étaient évidées et cuites à la vapeur pour agrandir la coque. Ces canoës pouvaient mesurer jusqu'à 60 pieds de long et étaient capables de transporter des dizaines de guerriers. Les canots étaient souvent peints et sculptés de motifs totémiques, symbolisant l'héritage clanique et les croyances spirituelles.

Dans la région des Grands Lacs, les canots d'écorce de bouleau étaient plus courants. Ces canots étaient légers et agiles, idéaux pour naviguer sur les nombreux fleuves et lacs. L'écorce de bouleau était tendue sur un cadre en bois et cousue avec des racines ou des tendons, puis scellée avec de la résine pour les rendre imperméables.

Pirogues de guerre africaines

En Afrique de l'Ouest, en particulier dans le delta du Niger, les pirogues de guerre étaient fabriquées à partir de grands troncs d'arbres et pouvaient accueillir jusqu'à 100 guerriers. Ces canots étaient souvent équipés de boucliers de protection et de plates-formes pour les archers ou les mousquetaires. Les techniques de construction mettaient l'accent sur la vitesse et la capacité de naviguer dans les eaux peu profondes et profondes, ce qui les rendait polyvalentes pour différents scénarios de combat.

Utilisation tactique dans la guerre

Les canots de guerre étaient au cœur des stratégies militaires des cultures qui les employaient. Leur conception et leur utilisation reflétaient les doctrines tactiques uniques