Kimchi 360°: Recettes véganes italo-coréennes excellentes pour la digestion

Par Mauro De Luca

Un chef italien et sa femme coréenne, qui lui apprend la médecine asiatique traditionnelle et la nourriture curative, font naître une nouvelle fusion culinaire : saine, naturelle, probiotique, fait-maison, et souvent crue : Kimchi 360° révèle des recettes originales telles que les lasagnes au kimchi et les kimchi jaune, vert et violet qui sont plus doux. Un mariage unique de goût, d'enthousiasme et de passion pour une longue vie d'amour et de mélange culturel.

• Langue: Français
• Éditeur: Mauro De Luca
• Date de sortie: 6 nov. 2020
• ISBN: 9781393708421

Aperçu du livre

SOMMAIRE

SOMMAIRE

INTRODUCTION

MON HISTOIRE

UNE HISTOIRE D’AMOUR CORÉO-ITALIENNE

RETOUR AUX RACINES (VÉGÉTALES)

UN STYLE RÉVOLUTIONNAIRE

MES INGRÉDIENTS

KIMCHI ROUGE

KIMCHI JAUNE

KIMCHI VERT

KIMCHI VIOLET

MAYONNAISE AU KIMCHI

PAIN GRILLÉ AU KIMCHI

HOUMOUS AU KIMCHI

KIMCHI WRAP

RIZ À LA VAPEUR

INARI AU KIMCHI

KIMBAP AU KIMCHI

BIBIMBAP AU KIMCHI

LASAGNES AU KIMCHI

CAPRESE AU KIMCHI

KIMCHI ET FASULE

LA PYRAMIDE

KIMCHI ET TOFU

PAIN DORÉ

BRUSCHETTA AU KIMCHI

KIMCHI & PASTÈQUE

POMODORO (SAUCE TOMATE)

PECORINO AU KIMCHI CRU

TOURTE AU KIMCHI

COCKTAILS AU KIMCHI

Kimchi Negroni

Margarita au Kimchi

Mojito au Kimchi

Cocktail au kimchi pour la flore intestinale et le foie

Mot final de l’auteur

Remerciements

INTRODUCTION

Si vous m’aviez dit, quand j'étais un jeune garçon grandissant en Toscane, qu’un jour je serai un chef gérant un restaurant à Londres, spécialisé dans la fusion culinaire végane Coréo-Italienne, je ne vous aurais jamais cru.

D’abord, ce n’est que depuis peu que je me vois comme un chef, même si j’ai toujours été intéressé par la cuisine. Ensuite, je ne savais pas ce que végan voulait dire — ou pourquoi quelqu’un voudrait le devenir. Enfin, je n’aurais même pas été capable de trouver la Corée ou même l’Asie sur une carte, y compris jusqu’au début de l'âge adulte. La géographie n’a jamais été mon point fort.

Pour résumer, j’aurais cru que cette idée de devenir un chef de fusion végane Coréo-Italienne était pura pazzia. Folie pure ! Et je dois admettre que d’une certaine façon, ça l’est.

A posteriori, cependant, je peux aussi voir que c'était ce à quoi j'étais destiné. Et après avoir longtemps lutté pour trouver mon chemin dans la vie, je me rends maintenant compte que, de beaucoup de façons, j’ai toujours été sur cette voie.

Écrire ce livre est une extension de ce chemin, car même si cuisiner est mon métier, ma vraie passion est de partager joie et épanouissement avec les autres. J’apporte ainsi mes recettes au-delà de mon restaurant chaleureux de Brick Lane, dans les cuisines du monde entier et chez vous,

Ciao,

Mauro

Portrait of Mauro, chef and author of this book.

MON HISTOIRE

J’ai toujours été fasciné par les cuisines. Tout petit déjà, j’aimais jouer avec la dinette de ma cousine Francesca, avec toutes ces marmites, casseroles et ustensiles miniatures. Nous avions l’habitude de créer des plats à base de terre et de feuilles, que nous servions avec une grande fierté à nos parents. Après ça, je passais autant de temps que je pouvais dans la cuisine pour recueillir des ingrédients et des connaissances. Je me rappelle examiner ma grand-mère Maria qui faisait des lasagnes chaque dimanche. Je me rappelle aussi collecter les petits poissons que les pêcheurs jetaient le long du rivage en été, pour ensuite les préparer en soupe que je partageais avec ma famille.

Portrait of elderly Italian lady, dressed in elegant blazer and pearl necklace.

Mais la personne qui m’a le plus transmis les joies créatives de la cuisine, c’était ma mère, qui n’avait que rarement besoin de s’aventurer loin du réfrigérateur pour concocter des repas délicieux avec ce qu’elle trouvait dedans. J'étais tellement intrigué par la magie de la cuisine que quand j'étais un jeune homme, je disais souvent à mes parents que je ne rentrerais pas à la maison pour dîner, afin de pouvoir rentrer juste après qu’ils aient mangé pour me préparer mon propre repas. Comme ma mère, je commençais sans plan, sans recette particulière en tête. Je me contentais de ce que je pouvais trouver, utilisant seulement mes mains et ma créativité.

Des années plus tard, j’ai commencé à réaliser que cuisiner n'était pas juste un intérêt, mais une passion. Un certain Nouvel An, j'étais chez mon ami Massimo, dans une belle villa du Chianti avec une vue stupéfiante sur Florence. En début d'après-midi, nous avions commencé à préparer le dîner dans sa cuisine luxueuse, avec des couteaux tranchants, des instruments luisants et des tiroirs qui cachaient toutes sortes d’ustensiles. Nous nous sentions comme des enfants au carnaval, libres de faire autant de tours de manège que nous voulions, de blaguer et