Campagne des Dardanelles: Stratégies, sacrifices et tournant de la Première Guerre mondiale

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce que la campagne des Dardanelles

Les opérations navales de la campagne des Dardanelles ont eu lieu contre l'Empire ottoman pendant la Première Guerre mondiale. Des navires de la Marine royale, de la Marine nationale française, de la Marine impériale russe et de la Marine royale australienne ont tenté de forcer un passage à travers le détroit des Dardanelles, une voie navigable étroite de 66 km de long reliant la mer Méditerranée à la mer. de Marmara et de la mer Noire plus au nord.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Opérations navales dans la campagne des Dardanelles

Chapitre 2 : Dardanelles

Chapitre 3 : Campagne de Gallipoli

Chapitre 4 : Débarquement au cap Helles

Chapitre 5 : Chronologie de la campagne de Gallipoli

Chapitre 6 : HMS Canopus (1897)

Chapitre 7 : HMS Ocean (1898)

Chapitre 8 : HMS Irrésistible (1898)

Chapitre 9 : HMS Majestic (1895)

Chapitre 10 : Cuirassé français Bouvet

(II) Répondre au public principales questions sur la campagne des Dardanelles.

À qui s'adresse ce livre

Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs et ceux qui veulent aller au-delà connaissances ou informations de base pour tout type de campagne des Dardanelles.

 

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 31 mai 2024

Aperçu du livre

Campagne des Dardanelles

Stratégies, sacrifices et tournant de la Première Guerre mondiale

Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.

Un milliard de connaissances

Campagne des Dardanelles

Stratégies, sacrifices et tournant de la Première Guerre mondiale

Fouad Sabry

Copyright

Campagne © des Dardanelles 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.

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Couverture conçue par Fouad Sabry.

Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.

Table des matières

Chapitre 1 : Opérations navales dans la campagne des Dardanelles

Chapitre 2 : Les Dardanelles

Chapitre 3 : Campagne de Gallipoli

Chapitre 4 : Débarquement au cap Helles

Chapitre 5 : Chronologie de la campagne de Gallipoli

Chapitre 6 : Le HMS Canopus (1897)

Chapitre 7 : HMS Ocean (1898)

Chapitre 8 : HMS Irresistible (1898)

Chapitre 9 : HMS Majestic (1895)

Chapitre 10 : Le cuirassé français Bouvet

Appendice

À propos de l'auteur

Chapitre 1 : Opérations navales dans la campagne des Dardanelles

Pendant la Première Guerre mondiale, des actions navales de la campagne des Dardanelles (17 février 1915 – 9 janvier 1916) ont été menées contre l'Empire ottoman.

Des navires de la marine royale, de la marine nationale française, de la marine impériale russe (Российский импераорский флот) et de la marine royale australienne ont tenté de pénétrer de force dans le détroit des Dardanelles, une voie navigable étroite de 66 kilomètres de long reliant la mer Méditerranée à la mer de Marmara et à la mer Noire au nord.

L'expédition navale a été déjouée par la défense ottomane, en particulier leurs mines navales. Les Alliés envahissent la péninsule de Gallipoli afin de nettoyer la région de l'artillerie ottomane avant de reprendre les opérations navales. De plus, les Alliés ont tenté de faire passer clandestinement des sous-marins à travers les Dardanelles pour attaquer le commerce ottoman dans la mer de Marmara.

L'embouchure du détroit mesure 3,7 km de large et comporte un fleuve rapide qui se jette dans la mer Noire. La distance entre le cap Helles et la mer de Marmara est d'environ 66 kilomètres (41 miles), ce qui est obscurci par les hauteurs de la péninsule de Gallipoli et les collines inférieures de la côte asiatique. Le passage s'élargit sur 8,0 kilomètres jusqu'à la baie d'Eren Keui, le point le plus large du détroit à 7,2 kilomètres, puis se rétrécit sur 18 kilomètres jusqu'à Kephez Point, où la voie navigable mesure 2,82 kilomètres de large, puis s'élargit jusqu'à la baie de Sari Sighlar. Le détroit est à son point le plus étroit à 23 kilomètres en amont, de Chanak à Kilid Bahr à 1 500 mètres, où le canal se dirige vers le nord et s'élargit sur 6,4 kilomètres jusqu'à Nagara Point. À partir de ce point, le canal s'incurve vers le nord-nord-est sur les 37 kilomètres restants jusqu'à la mer de Marmara. Les Ottomans appelaient les défenses maritimes des Dardanelles des deux côtés de la voie navigable, des approches égéennes à Chanak, des « forteresses ». Seules les défenses de l'embouchure du détroit et de l'extrémité nord de la baie de Kephez à Chanak ont été construites en 1914. La nature des défenses des Dardanelles était connue des Britanniques et des Français jusqu'à la fin octobre 1914, mais après le début des hostilités, il est devenu plus difficile de recevoir des informations sur les améliorations des fortifications ottomanes.

Au tournant du XXe siècle, l'Empire ottoman avait la réputation d'être l'homme malade de l'Europe.

En octobre 1914, à la suite d'un incident survenu le 27 septembre au cours duquel l'escadre britannique des Dardanelles a capturé un torpilleur ottoman, le commandant allemand des fortifications des Dardanelles a fermé l'entrée, renforçant l'idée que les Ottomans étaient pro-allemands.

En 1914, le maréchal Lord Kitchener planifia un débarquement amphibie dans la ville syrienne d'Alexandrette pour séparer la capitale de la Syrie, de la Palestine et de l'Égypte.

En août 1914, les défenses extérieures se composaient de deux fortifications à l'extrémité de la péninsule de Gallipoli et de deux fortifications sur la côte asiatique. Les forts possédaient 19 canons, quatre d'une portée de 14 kilomètres et les autres de 5,5 à 7,2 kilomètres. Quatre obusiers de campagne ont été retranchés à Tekke Burnu (cap Tekke) du côté européen, suivis d'une brèche de 10 milles (16 kilomètres) jusqu'aux défenses intermédiaires de Kephez Point, qui avaient cinq ouvrages défensifs sur la rive sud et un sur la rive nord. Les fortifications ont été construites pour protéger un champ de mines, qui en août 1914 consistait en une ligne de mines s'étendant de Kephez Point à la rive européenne. Fort Dardanos était la structure la plus importante, avec deux canons navals modernes de 6 pouces et dix minuscules canons à tir rapide avec boucliers. À Narrows, les défenses intérieures étaient équipées des canons les plus lourds, ainsi que d'obusiers légers mobiles et de canons de campagne. Cinq forts ont été construits du côté européen et six du côté asiatique, chacun