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Bears in the Woods (Edition française)
Bears in the Woods (Edition française)
Bears in the Woods (Edition française)
Livre électronique232 pages3 heures

Bears in the Woods (Edition française)

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À propos de ce livre électronique

Le chalet isolé qu'a loué Jim Traynor est exactement ce dont il a besoin : il est calme et tranquille, ce qui est parfait pour venir à bout de la rédaction de son dernier roman et lui fournir peut-être suffisamment d'inspiration pour commencer à écrire une nouvelle saga. Il y a même un petit chien adorable du nom de Buster pour lui offrir une douce distraction. Cependant, les propriétaires de Buster lui procurent une distraction d'un tout autre genre. La détermination de Jim à se concentrer sur son travail ne l'empêche pas de donner vie à de délicieux fantasmes, mais chacune de ses entrevues avec Julian et Michael ne fait qu'accroître son désir.

 

Julian et Michael se sont construit une merveilleuse vie ensemble. Jusqu'à l'arrivée de Jim, qui va tout remettre en question. Julian est immédiatement attiré par le tranquille écrivain et est bien conscient du lien qui s'intensifie chaque jour entre eux. Michael ressent la même attraction magnétique, mais reste hanté par le passé : ils ont déjà emprunté cette voie. Et Michael ne laissera pas Julian avoir à nouveau le cœur brisé. Il s'efforce de résister, mais chaque nuit qui passe, il tombe amoureux de Jim aussi intensément que Julian.

 

Les deux hommes savent que Jim ne pourra les blesser que s'ils le laissent entrer dans leurs vies. Le problème, c'est que Jim semble déjà s'y être fait sa place. Et que le jour viendra où il devra faire un choix.

 

Mais cette fois, combien de cœurs finiront brisés ?

 

Les ours décrits dans cette histoire sont des humains, rien de plus. Toute ressemblance avec les shifters ours, même s'ils sont poilus, est purement fortuite.

LangueFrançais
ÉditeurK.C. Wells
Date de sortie10 nov. 2023
ISBN9781916853157
Bears in the Woods (Edition française)
Auteur

K.C. Wells

K.C. Wells lives on an island off the south coast of the UK, surrounded by natural beauty. She writes about men who love men, and can’t even contemplate a life that doesn’t include writing. The rainbow rose tattoo on her back with the words 'Love is Love' and 'Love Wins' is her way of hoisting a flag. She plans to be writing about men in love - be it sweet and slow, hot or kinky - for a long while to come. If you want to follow her exploits, you can sign up for her monthly newsletter: http://eepurl.com/cNKHlT You can stalk – er, find – her in the following places: Email: k.c.wells@btinternet.com Facebook: www.facebook.com/KCWellsWorld KC’s men In Love (my readers group): http://bit.ly/2hXL6wJ Amazon: https://www.amazon.com/K-C-Wells/e/B00AECQ1LQ Twitter: @K_C_Wells Website: www.kcwellswrites.com Instagram: www.instagram.com/k.c.wells BookBub: https://www.bookbub.com/authors/k-c-wells

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    Aperçu du livre

    Bears in the Woods (Edition française) - K.C. Wells

    Text Description automatically generated

    Bears in the Woods

    Copyright © 2021 K.C Wells

    TOUS DROITS RÉSERVÉS

    Artiste de couverture : Meredith Russell

    Photos de Ben Fink Productions

    Le contenu de couverture est uniquement utilisé à des fins illustratives et les personnes décrites sont des modèles.

    Traduit de l’anglais par Manon Tutin

    Relecture et corrections : Lily Karey

    Copyright © 2021 K.C Wells

    Avertissements :

    Bears in the Woods est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les évènements sont soit le produit de l’imagination de l’auteur, soit utilisés fictivement, et toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, des événements ou des lieux serait une pure coïncidence.

    TOUS DROITS RÉSERVÉS. Aucune partie de cet e-book ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit, ni par aucun moyen, électronique ou physique, sans la permission écrite de l’éditeur. Ce livre ne peut être copié dans quelque format que ce soit, vendu ou même transféré d’un ordinateur à un autre afin de le mettre sur un site de téléchargements de livres en ligne, que ce soit gratuitement ou à titre payant. De telles actions sont illégales et violent les lois du Copyright.

    Attention :

    Ce livre a un contenu qui pourrait être offensant pour certaines personnes et est destiné à un public adulte et mature. Il décrit un langage graphique, des relations sexuelles explicites et des situations d’adultes.

    Les marques mentionnées dans ce livre appartiennent à leurs propriétaires respectifs et sont reconnues en tant que telles.

    Résumé

    Le chalet isolé qu’a loué Jim Traynor est exactement ce dont il a besoin : il est calme et tranquille, ce qui est parfait pour venir à bout de la rédaction de son dernier roman et lui fournir peut-être suffisamment d’inspiration pour commencer à écrire une nouvelle saga. Il y a même un petit chien adorable du nom de Buster pour lui offrir une douce distraction. Cependant, les propriétaires de Buster lui procurent une distraction d’un tout autre genre. La détermination de Jim à se concentrer sur son travail ne l’empêche pas de donner vie à de délicieux fantasmes, mais chacune de ses entrevues avec Julian et Michael ne fait qu’accroître son désir.

    Julian et Michael se sont construit une merveilleuse vie ensemble. Jusqu’à l’arrivée de Jim, qui va tout remettre en question. Julian est immédiatement attiré par le tranquille écrivain et est bien conscient du lien qui s’intensifie chaque jour entre eux. Michael ressent la même attraction magnétique, mais reste hanté par le passé : ils ont déjà emprunté cette voie. Et Michael ne laissera pas Julian avoir à nouveau le cœur brisé. Il s’efforce de résister, mais chaque nuit qui passe, il tombe amoureux de Jim aussi intensément que Julian.

    Les deux hommes savent que Jim ne pourra les blesser que s’ils le laissent entrer dans leurs vies. Le problème, c’est que Jim semble déjà s’y être fait sa place. Et que le jour viendra où il devra faire un choix.

    Mais cette fois, combien de cœurs finiront brisés ?

    ––––––––

    Les ours décrits dans cette histoire sont des humains, rien de plus. Toute ressemblance avec les shifters ours, même s’ils sont poilus, est purement fortuite.

    Contents

    Chapitre 1

    Chapitre 2

    Chapitre 3

    Chapitre 4

    Chapitre 5

    Chapitre 6

    Chapitre 7

    Chapitre 8

    Chapitre 9

    Chapitre 10

    Chapitre 11

    Chapitre 12

    Chapitre 13

    Chapitre 14

    Chapitre 15

    Chapitre 16

    Chapitre 17

    Chapitre 18

    Les Hommes du Maine (série)

    À propos de l’auteur

    Titres

    Chapitre 1

    — Alors, vous avez des questions ?

    Jim Traynor se tourna vers Dave, l’homme jovial qui lui avait fait visiter son chalet.

    — Je ne pense pas. Mais si c’est le cas, à qui dois-je m’adresser... à vous ou aux propriétaires ?

    Dave s’esclaffa.

    — Ce sera moi. Vous trouverez mon numéro là-dedans, dit-il en désignant la grande pochette verte posée sur la table basse.

    Il jeta ensuite un coup d’œil à Jim.

    — Vous êtes ici pour les sports d’hiver ?

    Jim frémit intérieurement à cette idée. Faire du sport signifiait être en contact avec des gens.

    — Non, je suis simplement en quête de paix et de tranquillité.

    Dave fronça les sourcils.

    — Eh bien, vous allez être servi. C’est l’un des dix chalets que j’entretiens, et jusqu’à maintenant, vous êtes le premier locataire.

    C’était de mieux en mieux.

    — Vous avez beaucoup d’endroits à explorer, juste devant le pas de votre porte. Il y a le lac Pine Mountain, Sonora, les grottes Mercer, et la porte ouest du Parc national de Yosemite se trouve seulement à trente-cinq kilomètres d’ici.

    Dave sourit de nouveau.

    — Vous aurez véritablement l’embarras du choix.

    Jim n’avait aucunement l’intention de faire du tourisme, pourtant il se força à faire bonne figure et à sourire. Lorsque Dave n’obtint pas de réponse, il se racla la gorge.

    — D’accord. Il est temps que je vous laisse vous installer. Vous savez comment me joindre si vous avez besoin de moi.

    — Oui. Et merci.

    Jim le conduisait déjà à la porte. Dave s’arrêta sur le seuil.

    — Est-ce que ce qu’on m’a dit est exact ? Vous êtes ici pour un mois ?

    — C’est exact.

    Dave soupira.

    — Mec, vous devez vraiment aimer la solitude.

    Tu n’as pas idée.

    Dave sortit sur ces dernières paroles, et Jim verrouilla la porte derrière lui. Il poussa un soupir de soulagement. Maintenant, il était temps pour lui d’explorer cet endroit. Il avait une liste mentale d’exigences, et jusqu’à présent, le chalet cochait toutes les cases. Il y avait le Wi-Fi, certes merdique, il fallait l’admettre, mais cela suffirait à peu près. Il y avait également une cafetière, ce qui était obligatoire à ses yeux. La petite table à manger lui servirait de bureau, et s’il voulait obtenir une vue inspirante pendant qu’il travaillait, il pourrait s’installer sur le petit balcon du salon qui donnait sur les bois. Cela dit, il aurait besoin de porter plusieurs couches de vêtements, parce que le mois de décembre à Yosemite était synonyme de neige et de températures très fraîches.

    Puisqu’il agissait toujours de manière pratique, il avait apporté sa propre rallonge électrique, au cas où il aurait besoin de brancher son ordinateur portable et qu’il n’y avait pas de prise disponible à proximité. Il avait même pensé à apporter sa propre réserve de café si, Dieu l’en préserve, il n’aimait pas la marque que le petit magasin à proximité offrait.

    Le salon était entièrement recouvert de pin, tout comme le reste du chalet. Il n’y avait pas beaucoup de meubles, seulement un canapé et un fauteuil, une table basse, une petite table à manger et deux chaises près de la fenêtre, ainsi qu’une télévision. Dans la partie cuisine, il n’y avait pas grand-chose non plus, mis à part une cuisinière, un évier et un micro-ondes, ainsi que la précieuse machine à café, bien entendu. Pour ce qui était du chauffage, il y avait un poêle à gaz.

    Du moment que Jim avait un endroit où travailler, se laver et dormir, il savait qu’il serait heureux ici.

    Il entra dans la salle de bain, qui comportait une baignoire et une douche, puis dans la chambre. Encore une fois, cette pièce était très peu meublée : un lit king size, une grande commode et une chaise. Mais c’était tout ce dont il avait besoin. S’il avait voulu baigner dans le luxe, il aurait choisi un autre endroit.

    Le chalet était simple, avec son charme rustique, et parfait pour ses besoins.

    Il retourna dans la pièce principale, ouvrit les portes menant au balcon et sortit. Il contempla les arbres recouverts de neige et inspira une grande bouffée d’air froid et pur.

    Il était à des lieux de San Francisco. Dieu merci.

    Il n’avait fait que très peu d’arrêts durant son trajet de quatre heures. Yosemite n’était qu’à environ deux cent soixante-dix kilomètres de chez lui, toutefois Jim ne se rappelait pas de la dernière fois où il avait parcouru plus de trente kilomètres. Le GPS sur son téléphone avait essayé de le faire passer par des chemins pittoresques, mais Jim avait préféré les ignorer. Il voulait simplement atteindre sa destination, au diable les sites touristiques.

    Les lieux touristiques signifiaient la présence abondante de touristes, même en hiver.

    Jim soupira.

    Je suis en train de me transformer en vieux type ronchon.

    Il se mit à sourire. Il était parfaitement capable de vivre avec cette idée. Les seules personnes avec qui il traitait régulièrement étaient son propriétaire et son agent, et seulement si c’était absolument nécessaire. S’il voulait interagir avec des gens, il le faisait à travers Gary et Mick, ses fantastiques inspecteurs.

    Les personnages de fiction battaient haut la main les gens faits de chair et de sang.

    Son estomac se manifesta, Jim retourna donc à l’intérieur pour trouver son sac à dos, où il avait rangé quelques barres protéinées. Il devait encore aller faire ses courses, pour rapatrier tous les produits de première nécessité dont il aurait besoin durant son séjour. Il ouvrit son sac et y plongea la main, ses doigts effleurant le carnet qu’il avait apporté et qui contenait de nombreuses pages vierges criant à l’idée d’être griffonnées de ses idées.

    Mais ses idées avaient été un peu... insaisissables jusqu’à maintenant.

    Est-ce que c’est ça ? C’est à ça que ressemble le syndrome de la page blanche ?

    Si oui, c’était une première pour lui.

    En dix années d’écriture, il n’avait jamais été à court d’idées, pourtant, en ce moment, il avait l’impression d’effectuer une traversée du désert, d’être dépourvu de repères ou de quoi que ce soit d’autre qui pourrait réanimer l’étincelle de créativité dont il avait désespérément besoin. Ça ne pouvait pas continuer comme ça. Il avait un roman à finir pour l’amour de Dieu.

    Celui où il laissait Gary et Mick tirer leur révérence sous le soleil couchant après des années à résoudre des crimes fictifs. Non pas qu’il n’y ait pas eu quelques discordes à ce sujet avec Valérie York, son agent. Si ça ne tenait qu’à elle, Gary et Mick continueraient à résoudre des crimes jusqu’à leurs quatre-vingts ans.

    Jim s’écroula dans le canapé confortable en choisissant d’oublier ses courses pour l’instant. Il ne pouvait pas blâmer Valérie de vouloir que la série continue. Après tout, le nom de Dayton O’Connell lui avait été attribué. Personne ne savait qui était Jim Traynor. Trois sorties par an, régulières comme des horloges, et vingt d’entre elles classées dans les meilleures ventes du New York Times.

    Oui, il pouvait aisément comprendre pourquoi elle ne voulait pas que cette histoire s’arrête définitivement. Mais Jim en avait assez. Il désirait écrire autre chose. Quelque chose de différent.

    Le seul problème c’était qu’il ne savait absolument pas quoi.

    Il soupira à nouveau.

    L’épicerie. Les écrivains ont aussi besoin de manger, pas vrai ?

    Chercher de nouvelles idées allait devoir attendre.

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    Mon Dieu, ce que c’est calme ici.

    Après le bruit et l’agitation constante de San Francisco, le silence lui faisait l’effet d’un choc. Sauf qu’il ne s’agissait pas vraiment de silence. Lorsqu’il se tenait sur le balcon et observait l’obscurité, et il faisait vraiment sombre ici, peu à peu, les sons commençaient à filtrer : le vent dans les arbres, la nuée de hiboux et l’agitation tout autour de lui de (espérons-le) petites créatures inoffensives. Comme ses yeux s’habituaient à la pénombre, il leva la tête et inspira profondément.

    Les étoiles...

    C’était comme si les cieux avaient été parsemés de poussière et que chaque moucheture et chaque grain brillait et brillait encore, certains plus grands et plus étincelants que d’autres, tous extrêmement terrifiants. Jim fixa la vaste voûte céleste au-dessus de lui, se sentant aussi insignifiant qu’une fourmi. Puis il se rendit compte que, aussi sombre que soit le ciel, il y avait des formes plus foncées où aucune étoile ne pouvait être aperçue : le contour des arbres. Jim se rappela alors des vers de Robert Frost dans son poème La Montagne et, pour la première fois, il comprit ce que le poète voulait dire.

    Se sentant humble, il retourna à l’intérieur et referma les portes derrière lui. Il s’assit sur le canapé, un verre de vin à proximité, et fixa l’ordinateur portable posé sur la table face à la fenêtre. Il n’avait pas écrit un seul mot de la journée, mais ce n’était pas surprenant, compte tenu du temps qu’il avait passé sur la route, à faire ses courses et à déballer ses achats. Le vrai test aurait lieu le lendemain matin.

    Vais-je me réveiller comme tous les autres matins de ces derniers mois, en redoutant ma journée ?

    Jim ne savait pas ce qui n’allait pas chez lui. Il savait simplement que chaque fois qu’il s’asseyait devant son ordinateur portable, les mots ne venaient pas. Ce qui était un comble puisque tout ce qu’il avait, c’était son plan brut pour le livre, un plan qui ne lui ressemblait pas.

    Valérie s’attendait déjà à avoir le manuscrit sur son bureau. Au moins, ses appels trois fois par semaine avaient été réduits à un, elle avait insisté pendant trois semaines avant de se rendre compte que cela n’avait aucun effet sur lui. Mais lorsqu’elle lui avait fait une remarque spontanée sur le fait de s’éloigner de son quotidien pour trouver l’inspiration, Jim avait entraperçu une lueur d’espoir au bout du tunnel.

    S’éloigner du quotidien. Mais de quoi ?

    Cette partie était difficile. Loin des complications, des conneries, du bruit et de la parade sans fin de mauvaises relations qui le mettaient dans tous ses états. Ce n’était pas ses relations, Jim savait qu’il valait mieux ne pas se mêler à un tel gâchis, mais celles qui l’entouraient, qui envahissaient son espace et remplissaient ses médias sociaux. Il n’avait pas le temps pour ça. Les émotions ? Tout ce que ça lui faisait, c’était saper son énergie. Les relations physiques ? Il n’en avait pas besoin, parce que de telles relations allaient souvent de pair avec de nombreux bagages, et il n’avait besoin de rien de tout cela. Non, ce qu’il voulait, c’était du temps pour pouvoir réfléchir, pour pouvoir respirer.

    Il devait se vider l’esprit en attendant de retrouver l’inspiration.

    Le chalet lui avait semblé être la solution idéale. Jim avait effectué des recherches, ignorant les grandes stations balnéaires comprenant des aires de jeux pour les enfants, des salles de musique, des cours de danse... Il voulait de la solitude. La paix.

    Et aussi peu de gens que possible aux alentours.

    Lorsqu’il était tombé sur les chalets de Yosemite, il avait été réellement intrigué. Ils variaient en taille, mais ce n’était pas important, parce que tout ce qu’il désirait était suffisamment d’espace pour lui-même. Après tout, il n’était pas là pour les vacances. Petit plus, les chalets étaient à l’écart les uns des autres, lui assurant de l’intimité.

    C’était parfait.

    Elles appartenaient à Julian et Michael Ingram. Il y avait une photo du couple sur le site Internet. Ou en tout cas, il avait estimé qu’il s’agissait là d’un couple, à en juger par leurs alliances assorties. C’était un beau couple, peut-être dans le début de la cinquantaine, avec des barbes désormais plus grisonnantes que noires et des yeux perçants qui avaient attiré l’attention de Jim. Il n’était pas certain de savoir s’ils vivaient sur place, puisque ce n’était pas mentionné, mais il supposa que non, si Dave entretenait les lieux.

    La première pensée de Jim lui apporta un sourire. Laquelle ? Qu’il y avait des ours dans les bois. La suivante fut d’espérer qu’ils n’étaient pas le genre de propriétaires susceptibles de passer à l’improviste simplement pour s’assurer qu’il allait bien.

    Il sirota son vin, son attention immédiatement attirée sur le carnet qu’il avait placé sur la table basse. Il était posé là, à

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