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Viviane - 5 nouvelles érotiques et excitantes
Viviane - 5 nouvelles érotiques et excitantes
Viviane - 5 nouvelles érotiques et excitantes
Livre électronique109 pages1 heure

Viviane - 5 nouvelles érotiques et excitantes

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À propos de ce livre électronique

Viviane a presque vingt ans de plus qu'Alexander, mais elle est très attirée par ce beau jeune homme à la peau sombre qui a manqué de la renverser avec sa voiture. Mais il est bien trop jeune pour elle ! Quand, un soir, elle trouve un gros bouquet de roses devant sa porte, elle craque et lui propose de dîner avec elle. Leur désir est plus fort que leur différence d'âge...Cette intégrale est composée des nouvelles suivantes :Viviane Señora Alicia Tavares Dans un bar du centre-villeMaliwan Viola, un été à la mer -
LangueFrançais
ÉditeurLUST
Date de sortie10 août 2021
ISBN9788726916058

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    Aperçu du livre

    Viviane - 5 nouvelles érotiques et excitantes - Camille Bech

    Viviane - 5 nouvelles érotiques et excitantes

    Original title :

    5 exciting stories by Camille Bech

    Translation by LUST

    Copyright © 2021 Camille Bech and LUST, an imprint of Saga Egmont, Copenhagen

    All rights reserved

    ISBN : 9788726916058

    1. E-book edition, 2021

    Format : EPUB 3.0

    Tous droits réservés. Cette œuvre ou partie de cette œuvre ne peut être reproduite, stockée ou copiée, sous aucune forme et aucun but que ce soit sans la permission écrite préalable de l’éditeur, ni ne peut circuler au sein d’une compilation ou avec une autre couverture que celle de sa publication originale et dans des conditions différentes que celles imposées par l’éditeur d’origine.

    Viola, un été à la mer

    Une nouvelle érotique

    Il n’était que 9 heures passées et pourtant le soleil brillait déjà et le ciel était complètement dégagé. Bent décida de boire son café matinal sur la petite terrasse avec vue sur la mer et les dunes de sable.

    Il avait fait tout le trajet de Copenhague à Søndervig pour préparer à la vente la maison de campagne.

    Lise et lui avaient divorcé quatre mois plus tôt et aucun d’entre eux ne souhaitait conserver la maison dans laquelle ils avaient passé leurs vacances avec les enfants depuis plus de quinze ans.

    Lise avait rencontré quelqu’un d’autre et, même s’ils n’avaient peut-être pas eu le mariage le plus merveilleux du monde, il en était très attristé.

    Elle avait quitté leur maison commune à Østerbro, le quartier Est de Copenhague, et il vivait maintenant seul avec l'aîné de leurs garçons dans une maison à moitié vide.

    Il resterait dans la maison jusqu'à ce que Danny en parte et ensuite il chercherait un appartement plus petit dans le même quartier. De toute façon, que ferait-il d'une grande maison alors qu'il était la plupart du temps au bureau ?

    Il essayait de voir le côté positif de sa vie… il n'y avait pas beaucoup de monde sur la plage à cette saison et les seules personnes qu’il pouvait apercevoir étaient un homme promenant son chien et un couple âgé en tenue de jogging.

    Il fallait qu’il peigne la balustrade autour de la terrasse avant l’arrivée de l'agent immobilier le lendemain. La plupart des meubles allaient rester dans la maison et il ne lui restait que quelques objets personnels à ramener à Copenhague.

    Il ne savait pas encore comment il allait rendre à Lise ce qui lui appartenait ; il n’avait aucune envie d’aller à sa nouvelle adresse et de se retrouver peut-être, par la même occasion, forcé de serrer la main à son nouveau compagnon Henning.

    Il se leva pour débarrasser la table et c’est à ce moment-là qu’il l'aperçut. Elle était allongée dans une des dunes non loin de la maison, elle était nue et il put apercevoir son corps bien en chair lorsqu’elle se leva pour retirer le sable de sa jambe.

    Elle avait sûrement au moins le même âge que lui, ce qui voulait dire la mi-quarantaine. Penchée en avant pour ôter le sable de ses pieds, sa poitrine volumineuse pendait sensiblement.

    Elle avait des cheveux blonds mi-longs ; ceux-ci flottaient légèrement dans la brise matinale.

    Il ne pouvait pas la quitter des yeux, peut-être parce qu'il n'avait pas vu de femme nue depuis longtemps, ou peut-être tout simplement parce que, comme la plupart des hommes, il aimait voir des femmes nues.

    Il se mit sur la pointe des pieds afin de mieux la voir et retint son souffle lorsqu’il la vit se caresser les seins d’une manière qui donnait à penser qu’elle aurait éventuellement besoin d'un homme.

    Elle les serra fort et bientôt elle commença à bouger le bas du corps tout en se cambrant légèrement.

    Il resta sans voix… Bon sang, elle était allongée là, dans les dunes, en train de se caresser. Il n'y avait pas plus de vingt mètres d’écart entre eux et il pouvait observer le mouvement de ses courbes arrondies qui suivaient la cadence de son excitation.

    Son pénis réagit presque immédiatement, il le saisit et sa respiration devint plus forte.

    La femme écarta ses cuisses bombées et commença à frotter énergiquement son clitoris tout en plongeant sa tête en arrière dans le sable.

    « Oh putain », marmonna-t-il assez fort en la voyant rentrer ses doigts dans sa chatte. Il hésita un instant puis ouvrit son jean et laissa son sexe respirer l'air matinal.

    Elle se cambra violemment et la forme que faisaient ses lèvres laissait penser qu’elle gémissait légèrement.

    Cela ne prit pas beaucoup de temps avant qu’elle ne commençât à se caresser vigoureusement. Sa poitrine se balançait d’un côté et de l’autre quand soudainement il la vit s’immobiliser et le son d’une femme satisfaite arriva jusqu’à ses oreilles.

    Elle avait terminé, il pouvait le voir à sa façon de s’allonger. Elle était heureuse et pouvait maintenant se concentrer sur ce pourquoi elle était venue : prendre un bain de soleil.

    Il était toujours debout, son pénis à la main. Il bandait toujours, alors, il s’assit dans son fauteuil, puis ferma les yeux et poursuivit ce qu’il avait commencé d’entreprendre en repensant à la scène à laquelle il venait d'assister.

    Ce dont il avait été témoin plus tôt le matin lui revint à l’esprit à plusieurs reprises pendant la journée, mais il réussit finalement à terminer de peindre la balustrade.

    Ce n’était pas tous les jours qu’on avait la chance d’assister à un tel spectacle ! En fait, malgré toutes ces années de mariage, il ne se souvenait pas avoir jamais surpris Lise en train de se masturber. Il doutait d’ailleurs qu’elle fasse ce genre de choses.

    Lise était maigre, rien à voir avec la femme qu’il venait de surprendre… et il y avait quelque chose d’assez excitant chez les femmes un peu fortes, quelque chose d’un peu vulgaire peut-être.

    Il se serait bien porté volontaire pour lui caresser les seins ; elle aurait pu l’aider avec autre chose en échange.

    Cette pensée le fit bander à plusieurs reprises et, lorsqu’il eut terminé avec la balustrade, il alla s’allonger sur le lit et relâcha la pression en se masturbant une fois de plus.

    C’était la première fois depuis son divorce qu’il s’autorisait à être sexuel. La séparation d’avec Lise et ses deux plus jeunes enfants avait tellement occupé son quotidien que sa libido avait été inexistante.

    Il lui manquait quelques courses pour le repas du soir et il décida alors de marcher les deux kilomètres qui le séparaient de la supérette. Cela lui ferait du bien ; étant représentant commercial, il passait la plupart de sa journée assis en voiture et, le reste du temps, de retour au bureau, assis sur une chaise.

    Il fredonnait. Il ferma la porte de la maison à clé et commença à descendre le chemin de terre.

    Il arriva en sueur, il faisait plus chaud qu’il l’aurait cru. Il jeta deux bouteilles d’eau dans son panier pour le chemin du retour.

    Il s’approchait des caisses lorsqu’il l’aperçut. Elle faisait la queue et s’apprêtait à mettre ses achats sur le tapis roulant.

    Il resta immobile un moment et la regarda : elle était plutôt belle et légèrement plus jeune que ce qu’il avait cru plus tôt en la voyant, peut-être le début de la trentaine seulement. Elle portait une robe noire, probablement parce que cette couleur amincissait.

    Sa poitrine bombée était bien enveloppée dans le tissu fin de sa robe et on pouvait voir ses fesses se balancer légèrement tandis qu’elle avançait plus en avant vers la caisse.

    Il se dépêcha de payer ses achats et de sortir de la boutique, il voulait pouvoir l’apercevoir une fois encore.

    Elle se dirigea vers sa place de parking et ouvrit sa voiture. Il resta debout. Elle descendit la vitre et s’essuya le front avec une serviette. Elle aussi avait très chaud.

    Il reprit le chemin du retour et se demanda comment faire pour découvrir quelle maison était la sienne. La suivre aurait été un peu too much.

    Il mangea sur la terrasse et admira son travail, la balustrade avait bien meilleure allure maintenant et, à plusieurs reprises, il faillit regretter sa décision de vendre la maison.

    C'était agréable d'être seul, surtout après le spectacle matinal dont il avait profité.

    Juste au moment où il s’apprêtait à rentrer, il l’aperçut. Cette fois elle se trouvait un peu plus bas et se dirigeait vers

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