Le petit ami milliardaire

Par Jan Springer

Lorsque la célèbre décoratrice d'intérieur Lily Tiffany reçoit une clé incrustée de diamants avec une invitation dans une île privée, elle est à la fois nerveuse et excitée. Son sexy petit ami milliardaire, Ryland Walton, souhaite assouvir un sombre désir;  la partager avec un autre homme...

Autres livres en français par Jan Springer: Délices Comestibles, Le Petit Ami Milliardaire, Prise Par Lui, Mise à nue pour lui.

Le Key Club - 1. Ménage  2. Le Ménage De Marley  3. Un joyeux ménage de Noël  4. Le ménage de Sophie

• Langue: Français
• Éditeur: Spunky Girl Publishing
• Date de sortie: 14 mai 2019
• ISBN: 9781386815679

Aperçu du livre

Reconnaissance des marques de commerce

L’auteur reconnaît le statut de marque et les propriétaires de marque mentionnées dans cette œuvre de fiction :

Louis Vuitton : Louis Vuitton Malletier, S.A.

Dom Perignon: Moet Hennessy USA, Inc

Note de l’auteure

Ceci est une œuvre de fiction. Les personnages, les lieux, les situations et les événements présentés dans ce livre sont purement imaginaires et ne ressemblent en rien à une personne réelle, vivante ou décédée, ni à un événement, à un lieu ou à une situation.

Chapitre un

Lily Rose Tiffany haleta alors que le plaisir l’enveloppait.

— Ryland, s’il te plaît ! cria-t-elle.

Les sensations qu’il créait avec sa bouche étaient si intenses que ses cuisses tremblaient et son ventre frémissait. Elle le voulait en elle, qu’il la possède. Mais il ignorait ses demandes. Au lieu de cela, il gloussa contre sa chatte puis sa bouche chaude fondit sur son clitoris.

Elle passa la main dans les cheveux soyeux de Ryland, enfonça ses ongles dans son cuir chevelu et agrippa sa tête entre ses cuisses largement écartées. Le bout de sa langue chaude cingla son clitoris sensible puis il tira sa chair tendre.

Il était sévère avec elle ce soir et elle savait pourquoi. C’était arrivé quand il avait voulu la partager avec un autre homme. Mais elle ne voulait pas y penser pour le moment. Elle voulait qu’il lui fasse l’amour.

Il était aussi tendu qu’elle. Patient. Il se retenait. Elle pouvait le voir dans la façon dont ses muscles ondulaient sur son dos bronzé et dans la manière dont ces muscles se contractaient dans ses larges épaules alors qu’il la tenait fermement par les hanches comme il se régalait d’elle.

La tension sexuelle était dans l’air dès le moment où il l’avait laissée pénétrer plus tôt dans son penthouse de luxe à Manhattan, au vingtième étage. Elle avait pris conscience de son besoin de sexe dans ses pas rapides, tel un prédateur alors qu’il la saisissait et l’emmenait dans sa chambre.

Lily ne s’attendait pas à ce que Ryland revienne de son voyage d’affaires en Chine avant quelques jours. Elle ne s’était pas préparée pour lui. Elle ne portait pas de maquillage. Pas de négligé sexy. Juste sa nuisette en dentelle confortable.

Il n’avait pas dit bonjour. Ne s’était pas comporté de la même manière que d’habitude en se demandant comment était sa meilleure et unique femme ce soir. Il la regardait avec des yeux bruns remplis de désir et de sexe à-la demande qui la faisaient frissonner d’excitation. Il lui avait ordonné de s’asseoir sur le lit et de lui écarter les cuisses comme les ailes d’un aigle.

Elle avait le souffle coupé tandis qu’il la regardait retirer sa culotte et sa chemise de nuit. Puis elle monta sur le lit, s’allongea et lui ouvrit les jambes.

Alors qu’il se tenait au pied du lit, se postant entre ses cuisses, il avait enlevé sa veste de costume noire, dénoué sa cravate noire de Louis Vuitton et enlevé sa chemise blanche chatoyante pour tout replier soigneusement sur une chaise à proximité.

Son menton et ses joues normalement bien rasés étaient ombrés. Il ôta son pantalon serré et son sous-vêtement noir soyeux. Il semblait rempli de désir — ses muscles de la mâchoire tremblaient sous le contrôle de soi, son corps était tendu, sa respiration lourde et rauque.

Sa longue verge sortit directement de ses cuisses alors qu’il montait sur le lit puis plongeait la tête entre ses jambes. Elle adorait la façon dont les cheveux hérissés frottaient ses cuisses sensibles lorsqu’il enfouissait son visage plus profondément dans sa chatte trempée.