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L'amour est si loin ... Sous notre nez!!!
L'amour est si loin ... Sous notre nez!!!
L'amour est si loin ... Sous notre nez!!!
Livre électronique273 pages5 heures

L'amour est si loin ... Sous notre nez!!!

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À propos de ce livre électronique

L'amour est si loin ... Sous notre nez!

A la recherche de l'amour, beaucoup confond l'attraction physique au sentiment. Julia pense que seul le plaisir physique remplit la condition de l'amour et elle a non seulement les atouts et la volonté répondre à tous ses désirs. Carla est celle dont la conversation et la collaboration paraît une relation saine et satisfaisante. Ce sentiment est la progression logique après l'amitié et la confidence.

Maxime fait face avec Julia ayant une arme à la main demandant l'amour! Peut-on forcer un sentiment? Est-ce que le sentiment ne se résume qu'à l'acte? Entre deux flammes, Maxime doit choisir prudemment s'il ne veut pas y laisser la peau et survivre.

LangueFrançais
Date de sortie4 juin 2013
ISBN9781301482832
L'amour est si loin ... Sous notre nez!!!
Auteur

Stanley Quoquillon

I work in the Information Technology field most of the time. Writing has been a hobby for a long time. My first book was silly project that started with only 3 chapters, to the few who read it, I was constantly harassed about the rest of the story. Some of the readers were really interested in knowing how Julia end up and or was mad against her. So here is the complete project, you will have a good reading! Je travaille dans le domaine de la technologie de l'information la plupart du temps. L'écriture est un passe-temps que j’ai depuis longtemps. Mon premier livre était un projet stupide qui a commencé avec seulement 3 chapitres. Pour ceux qui l'ont lu, j'étais constamment harcelé à propos du reste de l'histoire. Certains lecteurs et lectrices étaient vraiment intéressés à savoir comment Julia se retrouvait et d’autres étaient terriblement en colère contre elle. Alors voilà le projet complet, j’espère que vous aurez une bonne lecture !

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    Aperçu du livre

    L'amour est si loin ... Sous notre nez!!! - Stanley Quoquillon

    NOTE DE L’AUTEUR

    Je n’ai pas la prétention de vous proposer un roman à l’eau de rose qui se termine en ‘‘ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants’’ ou encore un de ces livres à vous faire perdre du temps mais simplement une histoire où vous pourrez tirer vous-même vos propres conclusions. Il y en a pour tout le monde : la vie fait si bien les choses, elle vous cache de ces simples vérités. Ces dernières se laissent bien découvrir, mais c’est à nous de faire preuve de sagesse et d’intelligence pour faire de ces leçons, des principes de vie, nos alliées pour une vie plus saine et épanouie.

    Il y a des choses cachées dans les lignes qui vont suivre, quand vous les lirez, faîtes usage de votre cerveau, en vous posant des questions sur le pourquoi et le comment des choses, faites des parallèles sur votre entourage, voyez ce livre comme une ouverture sur certaines expériences et sur la vie.

    Je veux tout d’abord remercier ma douce princesse adorée, Nancy L... Sans elle, ce livre n’aurait pas pu voir le jour. Elle a toujours été là pour m’encourager et me donner ses idées. Je veux aussi faire preuve de gratitude envers tous ceux et toutes celles qui, directement ou indirectement, m’ont inspiré pour l’histoire, les amis et amies qui m’ont soutenu, encouragé dans la réalisation de ce livre.

    Je veux complimenter d’une façon particulière et spéciale tous ceux et toutes celles qui m’ont aidé dans la pré-lecture, la correction et leurs suggestions sur le manuscrit.

    AVERTISSEMENT

    « Ce roman est inspiré de plusieurs expériences réelles, qui sont, peut-être, arrivées dans le passé ou dans le futur. Pour tous ceux et celles qui se demanderaient est-ce une histoire vécue ? Je ne crois pas que je dois tout vous dire sur ce sujet. Vous êtes libre de tirer vous-mêmes vos propres conclusions pour deviner si c’est la vérité ou pas. J’ajouterais simplement qu’il y a une bonne partie qui sort de la réalité. »

    « Toutefois, mon souhait serait que les lecteurs et lectrices soient âgés de plus de 13 ans, ou plus mature mais je sais que malgré tout ce que je pourrais dire, faire ou mettre en place, ce livre pourrait malheureusement tomber entre les mains non désirées, c’est pourquoi vous comprendrez la raison de ce qui va suivre. Il y a certaines scènes qui sont très explicites, j’ai essayé tant bien que mal d’en diminuer le contenu juste pour éviter de susciter certaines formes de pensées et dans d’autre cas j’ai totalement passé sous silence des développements trop imagés. »

    « Je l’ai fait pour atténuer le côté explicite mais pour la compréhension de certaines parties du livre, certains détails étaient nécessaires pour la narration des évènements. Donc, je crois vous avoir mis au courant. Pour ceux qui sont de natures sensibles qui, je sais qu’il faut de tout pour faire un monde, malgré la diminution des descriptions explosives, pourraient s’en offusquer, je vous demande déjà mille pardons. Je pense que j’aurais droit à votre indulgence. »

    CHAPITRE I

    « Souvent nous pensons trouver ailleurs ce qui des fois n’est pas si loin que nous le croyions. Ce qui est le plus important dans cette vie est de savoir ce que l’on veut, d’être prêt à faire l’effort nécessaire pour y arriver. J’ai lu dans un livre que beaucoup de personnes planifient avec minutie leurs emplettes dans le magasin du coin mais il laisse au bon vouloir du hasard et des autres la planification de leurs vies. »

    « Je vais vous expliquer comment moi, Maxime, j’en vins à faire une découverte et une sagesse qui m’assurèrent une quiétude d’esprit dans les affaires de cœurs. Réussir ne couvre pas un seul aspect de la vie mais toutes les facettes. Ainsi, on peut réussir admirablement dans les finances, mais avoir une vie de couple minable, on peut avoir beaucoup de succès dans son boulot, mais ne jamais disposer d’un minimum de paix et de ressources en énergie. Bref, réussir dans la vie et surtout réussir sa vie. »

    L’AMOUR EST SI LOIN… SOUS NOTRE NEZ !!!

    « Je t’aime, je veux vivre avec toi, » dit Julia.

    « Tu dis m’aimer mais comment m’aimes-tu, femme ? » ajouta Maxime

    « Mais je n’ai pas d’explication à te donner, » répliqua Julia, « tu ne peux pas penser que je ne ressens rien pour toi. »

    « Je n’en ai aucun doute à ce sujet, mais la question, que je me pose, est: de quel amour que dis-tu m’aimer, femme ? » Posa Maxime

    « Je ne te comprends pas, que veux-tu dire par là ? » Interjeta Julia.

    « Tu dis m’aimer, mais cela ne te pose pas un problème de traîner tes fesses par-ci et par-là ? Cela ne te dérange pas de ne pas m’écouter et de n’en faire qu’à ta tête ? Cela ne te pose aucun problème de me tromper avec tout le monde ? J’aimerais que tu me dises comment penses-tu m’aimer, femme ? Tu n’es qu’une égoïste ! Tu ne penses qu’à ta petite personne ! » Exclama Maxime.

    « Mais j’ai changé !!! Je ne pense pas comme avant, tu ne m’as pas regardé comme tous les autres mecs me regardent. Tu m’as donné confiance en moi, tu m’as regardé comme une personne, un être différent. Les hommes me regardent en conquête, en maitresse, en objet de plaisirs. Tu m’as considérée comme nul ne m’a jamais considérée, tu m’as appris à donner un sens à ma vie, ma parole, mes actes, mes pensées, mes choix dans la vie. Tu m’as donné un goût délicieux à ma vie. Je ne peux aussi nier que tu es le plus merveilleux des amants qu’il m’a été donné de connaître, tu as du charme et une manière de procéder qui ne saurait jamais laisser indifférente aucune femme. Quand je suis près de toi, je me sens femme. » Déclara Julia.

    ‘C’est une déclaration assez flatteuse qu’une femme aux mœurs légères peut dire à un modeste homme comme moi,’ pensai-je. Mais ce n’est pas ce n’est vraiment pas le moment !!!

    « Tu dis que tu as changé, mais moi je ne veux pas faire partie de ta vie, plus jamais, Femme » Répondit Maxime.

    « Tu me condamnes à vivre sans toi, à continuer sans jamais trouver un type comme toi, tu me pousses à vivre comme un zombie à t’attendre, » annonça-t-elle dans un ton de tristesse, « donc puisque je ne peux pas t’avoir pour moi seule alors Carla ne va pas non plus en profiter. Il n’y aura pas de mariage !!! »

    Comme pour joindre les paroles à l’acte? Elle se précipita vers son sac qui était par terre pour extirper une arme, un colt 38. Elle la pointait vers ma direction.

    ‘Mon instinct de conservation me disait de mettre les jambes à mon cou, car cette effrontée pouvait bien me passer à l’infinitif ! Peut-on raisonner une folle ? Mais si je cède à la panique, je vais certainement y passer’

    «Comment ? Qui t’a dit que nous allions nous marier plutôt que prévue ? Qu’est-ce que tu as à la main ? ... Mon Dieu... Une arme ! »

    ‘J’étais face à cette femme qui disait m’aimer, qui m’avait fait connaître de toutes les persécutions et souffrances. Maintenant s’était transformée en bourreau ou en une sadique vengeresse !!!’ Pensait Maxime.

    CHAPITRE II

    ‘Des fois, on voudrait que tout recommencer par le tout début, juste pour avoir le comportement adéquat. Mais dans la plupart des cas, on ne réagit pas comme il le fallait à l’instant qu’il le fallait. Ainsi moi, je croyais que dès qu’une femme me plaisait physiquement ou m’attirait d’une certaine façon, je pensais que l’amour devait être aussi rendez-vous, par la suite, je me rendis compte que l’amour avec le plus grand A n’est pas quelque chose que l’on rencontre facilement. Je comprends pourquoi une personne est dans la tristesse et la peine quand il a croisé l’amour sur son chemin. Là, je parle pour ceux et celles qui l’ont déjà rencontré.’

    ‘Je ne vais pas vous faire une définition de l’amour, vous le saviez peut-être déjà. Le vrai conseil que j’aimerais vous donner si vous avez un acte à poser, une parole à dire ou quelque chose à faire, prenez le temps de calculer le pour et le contre avant de le faire. Il y a peu de gens arrivés à comprendre que chacun de nos actes a logiquement une conséquence. A toute action, il y a une réaction, à toute cause, il y a une conséquence. Il vous sera salutaire et qui sait cela pourra vous donner une longueur d’avance sur des problèmes qui pourraient être évités si on avait simplement pris un instant pour réfléchir à ce geste, cette parole ou cette action.’

    AU TOUT DÉBUT

    ‘Je vais vous dire comment cela a commencé, une aventure qui m’est arrivée la dernière fois, mais je me pose encore la question: Comment ai-je pu me tromper sur une vérité si visible ? Je pense vous mettre au courant de celle-ci a la fin de mon récit. Si des fois je fais des interruptions ou donne des opinions c’est ma façon, vous n’êtes pas obligé d’être d’accord avec moi. Je vis seul dans une maison qui est l’héritage de mes parents. Mes parents vivent à Vancouver. J’ai deux frères et une sœurs. Bref, c’est pour vous donner une idée de l’ambiance actuelle de ma famille. Nous sommes tous très indépendants l’un de l’autre, ceci c’est très bien puisque c’est la façon dont nos parents nous ont élevés. Mes parents sont à l’âge de retraite. Ils passent leur temps à se chamailler pour des broutilles, mais l’important, c’est qu’ils s’aiment dans leur vieillesse comme ils s’étaient aimés dans le passé.’

    ‘En guise de description, ma maison ou plutôt celle de mes parents est une jolie construction que mon père avait tracé les plans. C’est une bâtisse bornée au nord par une autre maison, au sud par la rue, à l’est et à l’ouest par les maisons des voisins. Sa superficie s’étend sur trois cent trente sept mètres carres et demi, agencée de la manière suivante quinze mètres de long sur vingt deux mètres de large. La maison occupe la moitié du terrain, l’autre partie a un amandier, deux manguiers, des papayers, des broussailles. La clôture qui entoure la propriété, à l’arrière et du mur du jardin et celui à près de la maison, mesure de deux mètres et demi de haut, le mur donnant sur la façade de la maison, ne fait qu’un de haut. Ce dernier a deux barrières : une grande donnant sur la remise où ma sœur parquait sa voiture, une petite barrière prolongée par une allée en béton bordée de part et d’autre par de l’herbe. Cette allée donnait sur la salle de réception de la maison. L’édifice avait cinq chambres à coucher : Une chambre principale qui était occupée par nos parents quand ils vivaient avec nous. Elle est toujours fermée, a sa propre salle de bain, les quatre autres chambres étaient respectivement occupées par les enfants quand tout le monde était là, étaient desservies par des salles de bain pour chaque paire de chambre. Si vous demandez ou ils sont ? Hé bien ! Je vais vous dire maintenant. Mon frère était allé passer des vacances avec mes parents et là bas, il avait rencontré une femme et... vous connaissez la suite, il s’était établi et ils se sont mariés. Aux dernières nouvelles, ils attendaient leurs premiers nés. Mon second frère est un cas dont je ne saurais trop élaborer dessus puisque c’est un pigeon voyageur dont je ne connais la destination, tantôt il est avec mes parents tantôt il traverse vers les Etats Unis, menant je ne sais quel commerce. Concernant ma sœur qui vit encore avec moi, elle est comment dire une personne avec qui je me chamaille quelque fois, elle me précède dans le classement. Elle est comme la personne en charge de la maison en l’absence de nos géniteurs’

    ‘Je continue ma description des lieux, je dois vous dire que je ne suis pas très bon en description, comme on dit une image parle toujours mieux que mille paroles. J’espère que votre imagination comblera les trous que j’aurais laissés. L’aire, conduisant aux chambres, était reliée avec une salle de distribution à l’étage, c’est là qu’aboutissait l’escalier venant de la cuisine d’en bas. En bas, le garage communiquait avec l’office-dinette par une porte, cette salle là avait la cuisine, le réfrigérateur, l’étagère.’

    ‘C’est pour vous donner une idée exacte du lieu ou certain évènement aurait à avoir lieu. Dans la cour se trouvait tous les autres choses pour faire la lessive, deux lignes pour étendre les habits mouillés après lavage pour séchage sous le soleil, hé oui ! On n’est pas équipé de ces machines à laver et à sécher. Une partie de la cour était pavé en béton.’

    ‘Ma chambre avait un lit pour deux, c’était une dernière acquisition d’un ancien boulot que j’avais, avant celui que mes géniteurs m’avaient donné, il fallait le changer car il commençait à battre de l’aile. Mon bureau avec un ordinateur multimédia, je vous épargnerai les spécifications techniques parce que c’est un outil que j’ai totalement monté moi-même. Je ne veux pas que vous vous sentiez perdu, tout le monde n’est pas informaticien ! Puis, il y a mon placard en mur avec des portes à volets en bois, l’une des portes à un grand miroir. Je n’ai pas de télé dans ma chambre mais le salon en a une grande. C’est à cet endroit que se trouve la chaîne stéréo, trois grandes chaises et un très grand canapé. J’ai grandi dans cette maison et je peux dire que quand je me trouve en son sein, je me sens bien et en sécurité ? Si c’était quelque chose de sûr. Il est vrai qu’autrefois la maison était mieux entretenue sous la supervision de nos parents. Ces derniers venaient de décider de rester un peu plus de temps encore au Canada, une fois qu’ils ont vu que nous prenions nos vies en main.’

    ‘C’est drôle la façon dont les gens nous jugent, ils nous condamnent sans même être au courant des causes qui nous ont poussées à poser une action. Comme je vous disais tantôt, mais qu’est-ce que je fais ? Je dévie de la mésaventure dont je ne m’étais décidé à vous conter.’

    ‘On m’avait invité à un bal de salon. C’était dans une jolie maison, jolie battisse faite selon l’architecture moderne, avec tous les conforts qu’un habitat pouvait offrir. A en juger par la grandeur de la véranda, du salon, et de la demi-toilette, je pensais que c’était une maison où il ferait bon de vivre, moi, qui aime bien les espaces: On m’avait invité dans cette maison pour participer à une fête de salon. L’ambiance était au plus chaude puisque l’opérateur qu’on appelait DJ diffusait les deniers tubs de l’époque. Vous ne savez jamais où les rencontres peuvent vous porter à rencontrer des gens qui par la suite se révèlent comme vos pires ennemis. C’est avec la femme qui m’avait invite que j’ai pris contact, moi qui suis d’un naturel timide.’

    « Comment vas-tu, Max ? Tu es beau, ce soir, est-ce pour moi que tu t’es fait si beau ? Je te trouve charmant à croquer, » m’annonça la maitresse des lieux.

    « Ca va bien, je me porte bien, tu sais que je suis très modeste, tu m’avais dit de venir à une soirée, tu ne pensais pas à ce que je vienne habiller comme un clodo, quand même ? » répondis-je.

    « Bon ce n’est pas grave, je vais te présenter à quelques-unes unes de mes amies, » dit Régine. « Je dois te dire qu’il y a parmi elle, il y a une amazone qui peut te faire voir toutes les couleurs. »

    « Je ne pense pas perdre mes plumes avec quiconque et puis, je suis venu pour m’amuser pas pour me faire une petite amie. » Répliquai-je.

    ‘Pour votre gouverne, la femme, que je parlais avec, est une amie de longue date. C’est une jolie femme brune avec des cheveux noirs, les yeux marron, un visage ovale, une petite bouche, le nez un peu plat, physiquement, elle est mince, svelte et bien roulée.’

    ‘C’est une chouette copine, nous avons fait les dernières classes de secondaires ensembles. Je crois que c’est à ce moment là que j’avais remarqué cette femme sur la piste de danse. Cette dernière, vêtue d’une robe courte de couleur rouge vif, pincée sur son corps, elle avait de jolies jambes, des cheveux qui lui arrivaient sur le cou, elle avait un corps bien balancé, la taille fine. Et j’ai aussi pu voir qu’elle dansait avec un autre type, j’ai du deviner que c’était son petit ami vu a la façon dont elle swinguait avec son partenaire. Alors qu’on était arrivé au fond de la galerie près d’un groupe de filles assez jolies qui se parlaient entre elles.’

    « Salut les filles, je vais nous présenter un bon copain a moi J’aimerais que vous le teniez compagnie pendant la fête, » entama Régine.

    « Alors, je commence, Je m’appelle Nadia Bellydo. »

    « Moi, On me nomme Valérie Paul Vincent. »

    « Moi, c’est Joséphine Joseph. »

    « Bon, on m’appelle Maxime Jean Claude, » répondis-je, « je suis enchanté de vous connaître. »

    « Le groupe n’est pas complet, » ajouta Régine, « mais ou est passé Julia? »

    « Tu devrais savoir que là où passé Julia, elle se fait toujours remarquer et dans une fête, devine où peut-elle bien être ? » enchérit Nadia.

    « Sur la piste de danse !» Reprit en chœur les deux autres.

    ‘Dans un regard complice, elles se regardaient entre elles comme pour se demander laquelle va mettre la main sur ce jeune homme que leur amie venait d’amener. Pour briser un peu la glace, je suis allé m’asseoir entre elles afin de continuer la conversation.’

    « Bon les filles, en tant que maîtresse des lieux, » dit Régine, « je ne pense pas que je pourrais être avec vous uniquement, j’ai d’autres invités, ok. »

    ‘Sur cette déclaration, elle s’excusa puis pris le chemin de l’autre côté de la véranda et disparut. Je n’allais pas la revoir pas avant que je rencontre celle qui allait me torturer dans le plus profond de mon cœur et de mes sentiments.’

    « Vous faites quoi dans la vie ? » demanda Nadia

    « Je suis étudiant en Informatique, je travaille actuellement en tant que stagiaire dans un magasin d’équipement. Et vous autres les filles ? »

    ‘Je me disais que je vais passer toute la soirée à poser des questions pour savoir exactement à qui j’ai affaire et puis qui sait danser un peu.’

    « Moi, je suis secrétaire administrative, » répondit Nadia.

    « Je ne travaille pas pour le moment, j’ai déjà un diplôme en tant qu’hôtesse en ticketing, j’étudie actuellement l’anglais, » dit Valérie.

    « J’étudie la gestion dans l’université d’Etat, » dit Joséphine.

    « Avez-vous des frères et des sœurs ? » Questionna Nadia avant d’ajouter, « parle-nous aussi de ta famille pendant que tu y es? »

    « Je suis le troisième d’une famille de quatre, j’ai deux frères et une sœur. Ils se nomment respectivement Jean Paul, Reginald et Marie Marthe. Mon père et ma mère se nomment Pierre Paul et Jacqueline, ils sont tous les deux gestionnaires. Je vis avec ma sœur, mes frères sont aux USA, mes parents sont au Canada. »

    ‘C’était à ce moment que la musique prenait fin. C’était comme si je sentais que quelque chose de bizarre allait m’arriver. J’ai eu la chance à ce moment de tourner la tête pour voir une femme se diriger vers le groupe. C’était celle que j’avais vu danser avec le type, elle venait seule, sans son copain ! Elle avait une de ces démarches félines, sûre d’elle-même, elle marchait comme si elle savait que toute la gente masculine n’avait des yeux que pour elle. Elle ressemblait à une de ces femmes qui sont maîtresses de leur environnement. Elle se dirigeait vers notre table avec un regard fixe et vague mais qui pouvait vous montrer qu’elle n’était pas une personne qui se laisse facilement mener.’

    « Voilà, je fais un tour sur la piste de danse et je reviens et vous amener un garçon parmi vous, je peux dire que vous travailler vite les filles, » dit-elle avec un ton enjoué avec un regard concentré sur l’intrus assis entre elles.

    « Oh ! Mais comment oses-tu nous classer, nous ne sommes pas des chercheuses de mecs, » répliqua Joséphine d’un ton sanglant.

    « Et alors, quand est-ce qu’on va me présenter ce monsieur, » questionna-t-elle.

    ‘Sans attendre que l’une d’entre elles me présente,’ on me nomme Maxime Jean Claude, « et vous vous appelez comment ? »

    « On m’appelle, » après qu’elle s’est assise sur la chaise disponible qui me faisait face, « Julia Romain. Hé, les filles, voilà un trio qui vient c’est sûrement pour nous inviter à danser, je veux faire des choses folles ce soir ! »

    « Ca, on le sait, » ajouta Valérie, « tu sembles oublier où ta dernière folie t’avait amené, hein ! »

    « Bah ! C’est du passé, je ne t’ai pas dit que je n’avais pas besoin d’une personne pour me le rappeler, » dit Julia.

    ‘Je n’étais pas trop mal à l’aise puisque je buvais ma bière qui généralement me met dans un état très cool. Il fallait dire que j’étais entouré de bien jolies filles et je me demandais avec laquelle devrais-je commencer la soirée ? C’est dans cette confusion que j’étais quand trois cavaliers arrivèrent à notre table.’

    « Si vous voulez nous faire l’honneur de nous accorder cette danse ? » Dit le plus jeune.

    « Je veux bien, » dit Nadia en se levant en prenant le bras de l’un d’entre eux.

    « C’est d’accord, » reprit Joséphine en se faisant aider par un autre.

    « Et moi je prends le plus beau, » dit Julia. « Je veux me défouler, » ajouta-t-elle en s’accrochant au bras du dernier.

    « Et moi je reste la, je n’aime pas cette musique ! » Claironna Valérie.

    ‘C’est ainsi que je me suis retrouve pour la première fois avec cette femme qui allait devenir l’une de mes meilleures amies. En guise de description, elle était brune, avait des cheveux noirs, physiquement elle était de petite taille, bien roulée, sexy. Nous entamâmes une conversation.’

    « Je devine que Julia t’intéresse à ce que je vois, » dit-elle dans un ton d’ironie et comme si elle voulait se parler à elle-même, « encore un autre qui va perdre ses plumes ! »

    « C’est drôle, tu ne me connais même pas et déjà tu me colles cette femme sur le dos, » répliquai-je.

    « Je connais bien les hommes pour savoir quand une femme les attire, » dit-elle, « et je peux dire que j’en ai vu pas mal tomber. »

    « Si je comprends bien, Julia est la femme fatale, mais ce n’est pas mon type. Je peux t’avouer que je trouve bizarre que tu tiennes de tel discours a son sujet, c’est ton amie je pense. Tu sembles avoir des expériences avec les mecs. » Insinuai-je.

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