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La nounou vierge
La nounou vierge
La nounou vierge
Livre électronique93 pages1 heure

La nounou vierge

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À propos de ce livre électronique

Il fut un temps où je ne savais pas ce que je désirais…

C’est alors que j’ai rencontré Marie, la nounou de ma nièce. Dans sa manière de parler et d’agir, elle n’avait rien d’une innocente. En un battement de cœur, l’écart entre nos deux âges n’a plus eu d’importance. Alors oui, je suis un peu plus vieux qu’elle. Ça veut simplement dire que je sais comment m’occuper d’elle, comme un vrai mâle. Marie est magnifique, elle est intelligente et elle m’a bien fait comprendre que je l’intéressais…

Il est temps de la faire mienne.


Ce livre est une histoire complète, qui se lit rapidement avec une fin heureuse et sans tricherie ! Est-ce que vous aimez les choses qui vont vite ? Envie de douceur ? Si vous aimez les histoires d’amour mignonnes, rapides et torrides, avec un mâle alpha possessif qui sait exactement qui il veut et comment réveiller le côté bestial de sa partenair… Ce livre est fait pour vous.
LangueFrançais
ÉditeurJessa James
Date de sortie18 sept. 2018
ISBN9788829511440
La nounou vierge

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    Aperçu du livre

    La nounou vierge - Jessa James

    La nounou vierge

    Le pacte des vierges, Tome 2

    Jessa James

    La nounou vierge : Copyright © 2017 par Jessa James

    Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite ou transmise sous quelque forme que ce soit ou de quelque manière, électrique, digitale ou mécanique. Ceci comprend mais n’est pas limité à la photocopie, l’enregistrement, le scannage ou tout type de stockage de données et de système de recherche sans l’accord écrit et expresse de l’auteure.


    Publié par Jessa James

    James, Jessa

    La nounou vierge


    Design de la couverture copyright 2020 par Jessa James, Auteure

    Crédit pour les Images/Photo  : Deposit Photos: alla.foto-alla.ru; karandaev


    Note de l’éditeur:

    Ce livre a été écrit pour un public adulte. Ce livre peut contenir des scènes de sexe explicite. Les activités sexuelles inclues dans ce livre sont strictement des fantaisies destinées à des adultes et toute activité ou risque pris par les personnages fictifs dans cette histoire ne sont ni approuvés ni encouragés par l’auteur ou l’éditeur.

    Nouvelles de Jessa James

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    Table des matières

    Chapitre Un

    Chapitre Deux

    Chapitre Trois

    Chapitre Quatre

    Chapitre Cinq

    Chapitre Six

    Chapitre Sept

    Chapitre Huit

    Chapitre Neuf

    Épilogue

    Livres de Jessa James

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    À propos de l’auteur

    Chapitre Un

    Gaby


    Je n’avais pas encore passé la porte d’entrée de la maison de mon meilleur ami que ma bite était déjà dure. Ce n’était pas à cause de lui. Greg n’avait pas ouvert la porte seul, il était accompagné de deux jeunes femmes. Il avait des vues sur la première d’entre elles, Jane. Même si elle était jolie, c’était plutôt son amie qui me donnait l’impression d’être un ado qui voyait des seins pour la première fois de sa vie. Elle n’avait pas capté que mon attention, mais aussi celle de ma bite.

    Quand Greg m’avait dit qu’il avait quelqu’un en tête pour garder ma nièce, je m’attendais à une ado asociale en pleine puberté. C’est comme ça qu’on voit les nounous dans les films, non ? Avec des lunettes, une frange et pleins de boutons sur le front ?

    Je la regardai – Marie – de la tête aux pieds. Certes, elle avait une frange, mais ses yeux émeraudes n’étaient pas gâchés par des lunettes et chaque centimètre de sa peau magnifique était impeccable. On n’avait même pas l’impression qu’elle portait du maquillage tellement il était subtil, et pourtant elle faisait tourner toutes les têtes. Dont la mienne.

    Je clignai quelque fois des yeux et mon regard tomba instantanément sur son bonnet D. Ce n’était pas mon intention, mais ces seins pointaient directement vers moi. Lorsque je redressai la tête, je pus voir ses lèvres s’incurver légèrement pour me sourire. Je comprenais facilement les réactions des gens ; et Marie aimait la manière dont je la regardais. La manière dont je réagissais rien qu’en la voyant. Je devais bien me tenir, je le savais, mais je n’arrivais pas à maîtriser mon envie de la reluquer. Ce que je voulais vraiment faire, c’était la toucher, l’embrasser, goûter à sa peau crémeuse, faire rougir ces joues en la faisant gémir d’envie, la remplir avec ma bite et regarder ses courbes rebondir pendant que je plongeais profondément en elle. Mon dieu, j’étais foutu et je n’avais même pas passé la porte d’entrée.

    J’étais un animal de penser à elle comme ça, mais elle était magnifique, avec son visage oval et ses pommettes hautes… et elle était sexy aussi, avec des jambes fines, un cul plein et une poitrine généreuse. Ses cheveux étaient longs et sombres, presque noirs et ils encadraient son visage parfait avec ses lèvres roses et ses yeux verts qui pétillaient d’innocence et de désir à la fois. Sa présence envoyait des signaux d’alerte dans tout mon corps et ma bite devenait dure comme de la pierre.

    C’était une femme à laquelle je pouvais apprendre des choses tout en la protégeant. Profiter pleinement du fait de l’introduire au monde du sexe, de la chaleur et du plaisir à couper le souffle. Je n’avais aucun doute qu’elle était innocente. Elle avait peut-être baisé avec un garçon de lycée, mais elle n’avait jamais été avec un vrai homme. Pour la plupart des femmes, je devais généralement les choisir innocentes ou sexy. Impossible d’avoir les deux. Mais Marie ? C’était la perfection même. Je la voulais, elle.

    Ce qui était stupide. Elle avait dix-huit ans. C’était la meilleure amie de Jane. La nourrice, merde. Et, instantanément, je me sentis comme un pauvre con. Un vrai salaud. Mais c’était un coup de foudre ou un truc du genre, parce qu’elle allait être à moi. Marie était à moi, même si elle ne le savait simplement pas encore.

    « Ca va mon pote ? » Les mots de Greg me ramenèrent à la réalité.

    « Oui, fis-je en me remettant aisément de ma rêverie baveuse. Alors c’est toi, Marie ? »

    Nos yeux restèrent en contact – mes pupilles azures contre ses vertes. Sa lèvre inférieure ressortait un peu quand elle me regarda et elle avait les bras croisés l’un au-dessus de l’autre, sous sa poitrine. Avec ce soutien additionnel, son décolleté s’en trouvait élargi, tout comme son sourire. Je ne savais pas sur lequel me concentrer.

    « Ravie de te rencontrer…

    - Gaby, répondis-je poliment en tendant ma main pour serrer la sienne.

    - C’est tellement formel, tout ça, » répondit Marie. Elle s’approcha de moi, un pas puis deux, ouvrit les bras en grand et m’attira dans un câlin. J’étais trop surpris pour lui rendre, trop pris par la sensation de ses seins appuyés contre mon torse.

    « Ne me dis pas que tu salues tes profs comme ça ? » demandai-je, taquin. Lorsqu’elle recula, elle arqua un sourcil à mon intention et se retourna vers Greg. Il enseignait l’éducation civique dans l’école privée pour jeunes filles du quartier et Marie avait été son élève. Elle venait de finir le lycée et cherchait à se faire un peu d’argent avant que l’université ne reprenne en automne et il se trouvait justement que je cherchais une nourrice.

    J’avais promis à ma sœur de m’occuper d’Ashley, sa petite fille de deux ans, pendant son déploiement de six mois au Moyen-Orient, mais je devais tout de même travailler. En tant qu’architecte, je ne pouvais pas exactement emmener une petite fille de deux ans sur les sites de constructions. Je regardai Marie du coin de l’œil et ne pus m’empêcher de penser qu’elle avait été envoyée par le ciel. Non seulement elle avait l’air d’un ange, mais en plus, c’en était un. Je ne savais pas ce que j’aurais fait sans une nourrice. J’adorais ma nièce, mais je ne pouvais pas être présent à toute heure de la journée. Et puis, je n’avais strictement aucun instinct paternel ou maternel.

    « Personne n’a faim ou

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