Guerre celtique: Echoes of Ancient Valor, dévoilant la maîtrise tactique d’une époque oubliée

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce que la guerre celtique

La guerre celtique ancienne fait référence aux méthodes de guerre historiques employées par divers peuples et tribus celtiques depuis l'Antiquité classique jusqu'à la période de migration.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Guerre celtique

Chapitre 2 : Celtes

Chapitre 3 : La culture de La Tène

Chapitre 4 : La Gaule

Chapitre 5 : Torc

Chapitre 6 : Liste des anciens peuples et tribus celtiques

Chapitre 7 : Âge du fer britannique

Chapitre 8 : Gaule romaine

Chapitre 9 : Épée de l'âge du fer

Chapitre 10 : Bataille des Thermopyles (279 avant JC)

(II) Répondre aux principales questions du public sur la guerre celtique.

À qui s'adresse ce livre

Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type de guerre celtique.

 

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 31 mai 2024

Aperçu du livre

Guerre celtique

Échos de la vaillance ancienne : dévoilement de la maîtrise tactique d'une époque oubliée

Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.

Un milliard de connaissances

Guerre celtique

Échos de la vaillance ancienne : dévoilement de la maîtrise tactique d'une époque oubliée

Fouad Sabry

Copyright

Celtic Warfare © 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.

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Couverture conçue par Fouad Sabry.

Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.

Table des matières

Chapitre 1 : Guerre celtique

Chapitre 2 : Celtes

Chapitre 3 : La T ne culture

Chapitre 4 : Gaule

Chapitre 5 : Torc

Chapitre 6 : Liste des anciens peuples et tribus celtiques

Chapitre 7 : L'âge du fer britannique

Chapitre 8 : La Gaule romaine

Chapitre 9 : Épée de l'âge du fer

Chapitre 10 : Bataille des Thermopyles (279 av. J.-C.)

Appendice

À propos de l'auteur

Chapitre 1 : Guerre celtique

Ch.

Aucun groupe celtique n'a utilisé une armée conventionnelle telle que nous la comprenons aujourd'hui. L'organisation variait d'un groupe à l'autre et était souvent structurée en fonction des affiliations claniques et de la classe sociale.

Il semble que la guerre endémique ait été une composante commune et significative de l'existence dans les différentes communautés celtiques. La structure organisationnelle des tribus et des communautés celtiques différait considérablement d'un groupe à l'autre. Certains d'entre eux présentaient une structure hiérarchique rigide et une forme monarchique de gouvernement, tandis que d'autres affichaient les structures organisationnelles représentatives caractéristiques d'une république.

Les ambitions expansionnistes de Rome ont progressivement amené la majorité des peuples celtes du continent sous la puissance romaine, conduisant à la citoyenneté romaine. Les cultures hybrides gallo-romaines et romano-britanniques de l'Antiquité tardive résultent de l'assimilation rapide des cultures gauloise et brittonique dans la culture romaine. Après cette période, la culture celte est devenue principalement limitée aux Celtes insulaires.

L'archéologie fournit une mine d'informations sur la culture matérielle des Celtes, mais la valeur de ces découvertes pour identifier comment les anciens Celtes se battaient réellement fait l'objet de nombreuses conjectures.

La mythologie celtique est fragmentée depuis que les conquêtes romaines ont détruit les mythologies de la plupart des peuples celtiques continentaux, tels que les Gaulois, les Galates et les Celtibères. Avec seulement des traces connues dans les écrits gréco-romains et les fouilles archéologiques. La majorité de la mythologie celtique survivante est associée aux Celtes insulaires, qui ont pu conserver leurs mythes et traditions par transmission orale. Ceux-ci ont été écrits par des scribes chrétiens au Moyen Âge, quelque temps après l'ère préchrétienne qu'ils décrivent. La mythologie irlandaise contient le plus grand nombre de mythes consignés par écrit, suivie de la mythologie galloise. D'autres exemples qui ont survécu sont les mythologies cornique, bretonne et arthurienne.

La guerre des champions était une composante essentielle de la mythologie celtique commune, utilisant des instances du cycle d'Ulster, du cycle arthurien et de la quatrième branche des Mabinogi.

Dans le Táin Bó Cúailnge, principalement l'histoire du héros Ulaid Cú Chulainn, il détruit toute l'armée du Connacht une par une en combat singulier.

Cette histoire décrit des combats centrés sur l'utilisation de la lance (gae) et du javelot (gá-ín) sans mention de casques ou d'armures métalliques, ce qui concorde avec et soutient les découvertes archéologiques.

De plus, les chars ont joué un rôle important dans le combat et la culture de nombreux groupes celtiques, les sépultures de chars sont une composante importante et unificatrice des sociétés celtiques telles que la culture de Hallstatt, les sépultures de chars étant un aspect important de ces cultures, la culture de La Tène, les cultures française et britannique ; En Irlande, aucun vestige de ces véhicules de l'époque n'a encore été découvert.

Il suggère que la guerre endémique était une caractéristique commune des communautés celtiques. Alors que la littérature épique dépeint la guerre comme un sport plus centré sur les raids et la chasse que sur une conquête territoriale organisée, les archives historiques révèlent que divers groupes ont utilisé la guerre pour exercer un contrôle politique et harceler leurs rivaux, pour un avantage économique et, dans certains cas, pour conquérir des territoires.

Les peuples celtes se battaient entre eux ; parfois, ils s'alliaient avec les Romains, les Grecs, les Carthaginois, les Étrusques, les Macédoniens, les peuples germaniques et d'autres tribus les uns contre les autres et contre d'autres communautés celtiques. La structure organisationnelle des tribus et des sociétés celtiques variait considérablement, certaines communautés possédant de forts systèmes hiérarchiques et une monarchie, tandis que d'autres, en particulier à l'époque de la guerre des Gaules, présentaient les formes d'organisation représentatives typiques d'une république.

Les Belges, les Bituriges, les Boïens, les Bretons, les Celtibères, les Gaëls, les Galates, les Gallaeci, les Gaulois, les Helvètes, les Léponts, les Norici et les Volques étaient des groupes celtiques historiques. Ces populations ont souvent donné naissance à des ramifications culturelles par le biais de la descendance, de la dispersion, de la migration et de la celtisation.

L'archéologie donne une mine d'informations sur la culture matérielle celtique, en particulier celle de la culture de La Tène et de la culture de Hallstatt.

Cependant, la pertinence de ces découvertes pour identifier comment les anciens Celtes se battaient réellement est le sujet de nombreuses conjectures et discussions.

Cependant, de nouvelles recherches françaises suggèrent que les têtes des alliés assassinés ont pu être collectées et déposées dans des portiques, tandis que les vaincus ont été enterrés dans des fosses communes, leurs armes brisées lors d'un rituel.

La civilisation de Hallstatt est la première à être associée à la culture celtique, s'étendant du nord des Alpes à la France, au sud de la Grande-Bretagne et à la péninsule ibérique à l'ouest. L'âge du bronze englobe les premières parties de la période Hallstatt. Les épées semblent avoir été l'arme principale de cette époque, ce qui indique peut-être que le conflit était mené à une échelle relativement locale, peut-être entre des groupes de guerriers d'élite.

Dans les dernières étapes de la période Hallstatt, le fer a commencé à remplacer le bronze dans la production d'armes, et l'épée traditionnelle « celtique » avec sa lame en forme de feuille a fait ses débuts.

Les sépultures de chars sont également typiques de l'époque ; Il est probable qu'ils aient joué un rôle dans les guerres de cette période, mais les chars sont des véhicules à quatre roues et ils n'apparaissent pas du tout en Grande-Bretagne avant la période de La Tène.

À la toute fin de la période Hallstatt, des poignards plus courts et plus poussants ont été trouvés en plus grande quantité parmi les objets funéraires dans les sépultures de grande classe, remplaçant l'épée longue.

La période de La Tène a vu des changements dans les schémas de guerre.

Au début de la période de La Tène, la guerre était probablement menée à petite échelle entre des guerriers d'élite, peut-être dans des chars, armés d'une nouvelle forme d'épée longue celtique.

Au cours des siècles successifs, la conception de l'épée a évolué, devenant progressivement plus courte, unilatérale et dépourvue d'un tranchant, principalement destinée à provoquer une coupure (bien que l'épée de l'ère Hallstatt ait également été principalement une arme tranchante).

Il est possible qu'à la fin de l'ère La Tène, la croissance démographique ait entraîné des armées organisées par des lanciers plus importants, entraînant une baisse de l'importance du champion avec son épée et, par conséquent, une réduction de la fonctionnalité de l'épée.

L'ère La Tène a également vu le développement de l'armure sous forme de cotte de mailles, la construction conventionnelle de vêtements à anneaux métalliques interconnectés.

Les découvertes de courrier sont inhabituelles, indiquant qu'il s'agissait d'un privilège réservé aux guerriers éminents.

Les casques à crête de cette période sont plus courants que les casques en mailles, En général, cependant, les armées celtiques se composaient principalement de guerriers légèrement blindés ou non blindés.

Les sépultures de chars se sont poursuivies jusqu'à la période de La Tène, ce qui indique leur importance militaire continue.

Le char de La Tène était une automobile légère à deux roues, contrairement aux chars plus lourds des temps passés, celui-ci est plus léger.

La position des poteaux du char dans une reconstitution du char Wetwang indique qu'ils étaient tirés par de petits poneys ne mesurant pas plus de 11 ou 12 mains et qu'il était donc peu probable qu'ils aient été utilisés dans un assaut frontal.

En raison du fait que les enterrements de chars n'ont jamais été effectués en Irlande, on ignore la nature ou l'existence des combats de chars dans ce pays.

À la fin de la période de La Tène, 275 av. J.-C. a marqué le début de l'expansion romaine en territoire celtique avec la conquête de la Gaule Cisalpine.

Après la conquête de la Gaule celtique en 121 av. J.-C., la guerre des Gaules de 58-50 av. J.-C. l'a conclue.

Après cet intervalle, la culture gauloise s'intègre rapidement à la civilisation romaine, générant la culture hybride gallo-romaine de l'Antiquité tardive.

La conquête romaine a finalement mis fin à l'autonomie culturelle et politique des peuples celtiques, en commençant par la péninsule italienne, puis la péninsule ibérique, l'Anatolie, la Gaule et enfin le sud de la Grande-Bretagne. L'autonomie culturelle celtique n'a duré