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Possession
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Livre électronique136 pages2 heures

Possession

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À propos de ce livre électronique

Bien qu'Octavia soit subjuguée par le prince Markus de Delti dès le moment où elle pose les yeux sur lui, elle est choquée lorsque le grand et beau guerrier la fait prisonnière et lui annonce qu'elle est destinée à être sa compagne et qu'ils sont liés irrévocablement pour la vie. 
Markus clarifie rapidement qu'il exigera obéissance et soumission de sa compagne, et quand la belle et entêtée prêtresse Zatari questionne son honneur,  il n'hésite pas à lui mettre les fesses  à l'air et à lui donner une bonne et dure fessée.

Cette punition humiliante rend Octavia furieuse et l’excite malgré elle. Même si elle a honte, elle se surprend rapidement à supplier son compagnon de dompter complètement son corps. Quand Markus la possède enfin, il lui fait l'amour avec habileté et en la dominant. Cela la satisfait plus profondément qu'elle ne l'aurait cru possible, mais abandonnera-t-elle son propre peuple et restera-t-elle aux côtés de Markus pour toujours ?
LangueFrançais
Date de sortie19 oct. 2018
ISBN9788829532469
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    Aperçu du livre

    Possession - Claire Conrad

    adultes.

    Chapitre 1

    Chapitre Un


    Markus, Prince de Delti, cellule pénitentiaire du Temple sur la planète Zatari


    Des chaînes résonnaient contre le mur pendant que je tirais et luttais contre les épaisses menottes qui entouraient mes poignets. Le métal léger entaillait ma peau et du sang recouvrait mes paumes suite à tous mes efforts. Je me retenais par les pieds en tirant fort. Les muscles de ma poitrine se contractaient, j'espérais contre toute attente que les boulons des murs derrière moi se détacheraient.

    La dernière chose dont je me souvenais était d'être entrée dans le territoire Zatari à la recherche de ma sœur disparue. Maintenant, je me tenais dans une salle des semences, la bite dure, le corps déchaîné par les produits chimiques, nu comme le reste des autres imbéciles. Des imbéciles qui avaient leur bite dure comme un roc au fond de la gorge d'une femme consentante. Ils n'étaient même pas enchaînés comme moi et totalement satisfaits d'être utilisés pour leur semence.

    Non, au lieu de la nuit de plaisir que ces hommes enduraient volontiers, j'étais presque certain que ces salopes me tueraient quand elles auraient découvert qui j'étais. Je n'étais pas un étalon volontaire prêt à me faire traire ma semence par une chatte.

    L'injection de Fier qu’elles m'avaient donnée était une torture suffisante. Elle coulait dans mon sang, rendait ma bite dure comme de la pierre et accélérait les battements de mon cœur. La sueur coulait le long de mes tempes alors que je me battais pour penser, me raisonner, rester maître de moi-même quand je ne pensais qu’à baiser, qu’à pénétrer sauvagement la première chatte humide disponible.

    Je fermai les yeux, refusant de supporter la vue de tant de femmes nues, les seins exposés, la bouche écarquillée pendant qu’elles donnaient du plaisir aux autres hommes dans cette petite pièce. Les gémissements puissants des hommes et leurs hanches oscillantes étaient une distraction dont je n'avais pas besoin. Je ne voulais pas non plus être témoin de la brillance laissée sur leurs queues par les bouches mouillées qui les suçaient. Je voulais sentir la chaleur humide de la bouche d'une femme, sentir sa bouche serrée en train de me sucer alors qu'elle passait sa langue sur l'arête de mon gland gonflé.

    Malheureusement, la potion de Fier n'était pas utilisée pour préparer mon corps à une nuit de baise. Il ne s'agissait pas seulement de garder ma bite dure et prête pour une chatte impatiente. L'injection avait d'autres effets. La drogue supprimait mon pouvoir de lire et d'influencer les esprits de ceux qui m'entouraient et, sans ce pouvoir, je ne pouvais pas m'échapper.

    Cependant, je partageais la fougue qui envahissait le corps des hommes, le besoin de baiser, et de baiser avec force, de jouir encore et encore à l'intérieur d'une chatte chaude et humide. Instinctivement, mes hanches tressautèrent et quelques gouttes de liquide pré-séminal s’écoulèrent et tombèrent sur le sol à mes pieds.

    « Attention, mes amours. Ne les laissez pas jouir. Nous avons besoin de leur semence pour la cérémonie. » Ces mots me surprirent et j'ouvris les yeux pour voir une prêtresse Zatari plus âgée entrer dans la pièce et donner des instructions aux dix femmes qui suçaient et tourmentaient les bites des autres hommes. Cette aînée portait une robe noire et des pantoufles noires. Elle était grande, comme toutes les guerrières du Temple, mais ses cheveux étaient argentés à cause de son âge et ses yeux d'un bleu vif n'avaient aucun désir quand elle regardait les femmes à genoux. Non, ses yeux s’étaient posés sur moi et m’évaluaient froidement.

    En espérant que la potion de Fier était partie de mon organisme, je me saisis de mon pouvoir, j’ouvris l'endroit au fond de moi où l'âme de la planète me remplissait de pouvoir, de savoir, et je n’y trouvai... rien. Leur potion fonctionnait toujours. Une dose élevée me tuerait. Mais ce n'était pas ce qu'elles voulaient. Non, la vieille femme qui s’avançait vers moi voulait que je sois vide, dépourvu de pouvoir, de force et sans aucune volonté de résister.

    J’enfermai ma haine et je la regardai avec des yeux que je savais aussi froids et vides que les siens. Cette femme avait gravement sous-estimé son ennemi. Ces femmes à genoux qui préparaient les bites des hommes pour la reproduction étaient des guerrières du temple Zatari. À en juger par les armes qu'elles portaient et les robes blanches sur lesquelles elles étaient agenouillées, je devinais que j'avais été capturé et emmené au Temple de la Loi.

    « Libère-moi. » J’exprimai cette exigence en m'attendant à ce qu'elle refuse.

    « Non. Nous n'en avons pas encore fini avec toi. » L'aînée arqua un sourcil et inspecta lentement et délibérément ma silhouette nue, en prenant son temps pour inspecter la bite gonflée. À chaque seconde qui passait, ma haine pour elle grandissait. Les cinq temples de Zatari étaient en guerre avec mon peuple, le peuple de Delti, depuis bien avant ma naissance et ils le seraient très probablement bien après ma mort. Les deux parties torturaient et tuaient régulièrement tout ennemi malchanceux qu’ils trouvaient sur leur territoire. Aujourd'hui, cet intrus, c'était moi.

    « Qu'attendez-vous de moi ? Je ne me porterai pas volontaire pour donner ma semence. » Ces femmes avaient besoin des cérémonies de semence parce qu'elles avaient adopté le mode de vie des mythiques sociétés amazoniennes, ces femmes légendaires qui avaient marché sur la planète de Delti bien avant que les guerres de Peste ne la détruisent. Elles imputaient toutes les guerres, les génocides et les fléaux, la pollution et la dévastation de la planète qui avait détruit des milliers d'années de culture humaine à la gente masculine de la race. Non pas que je ne sois pas d'accord, mais une société sans hommes ? Je ne comprenais pas pourquoi une femme ne voudrait pas d'une main ferme pour la guider, la protéger et la baiser jusqu’à sa soumission. Les femmes avaient toujours éprouvé du plaisir entre mes mains. Pourquoi ces femmes se priveraient-elles du plaisir de se soumettre lorsqu’une bite dure les remplissait par derrière ?

    « Nous n'avons pas besoin de ta permission pour prendre ta semence. »

    Mon estomac se serra de rage et je secouai les chaînes pour montrer mon agacement. « Vous violeriez le traité, après cent ans de paix ? » Mon peuple, mon père, dirigeait l'autre moitié du monde, une société où la paix avait été faite avec la planète et où le vieux pouvoir qu'elle offrait avait été réveillé. Nous possédions des esprits forts, connectés à l'âme de la mère, la planète elle-même. Nous pouvions lire dans l'esprit des autres, communiquer par télépathie, créer des illusions ou voir à travers les mensonges créés par d'autres, influencer les pensées, reconnaître les compagnons qui nous étaient destinés...

    Une jeune femme, vêtue d'une robe blanche translucide, entra dans la pièce et se tint debout devant moi. Ses cheveux étaient longs et tombaient presque jusqu'à sa taille. Elle avait des yeux foncés assortis à ses cheveux noirs, elle fit tomber sa robe, révélant des seins lourds et ronds et des hanches joliment dessinées.

    « Celui-ci, Lady Hathra ? » Elle s'adressa à l'aînée, mais elle passa les mains sur ma poitrine, me donnant terriblement envie de plus de contact peau à peau, alors même que le mépris me remplissait l'esprit ainsi que le désir de tuer la vieille femme qui se trouvait derrière elle.

    « Oui. Donne-lui un bain. Assure-toi qu'il soit prêt. La Grande Prêtresse elle-même s’accouplera avec lui ce soir.

    — Oui, madame. » La femme prit son temps pour me regarder et je serrai les dents pour m'empêcher de la supplier de me soulager lorsque l'aînée en noir quitta la pièce. Cette satanée drogue avait failli me voler mon sens de la raison, mon identité. Je voulais les lèvres sexy de cette jeune femme autour de ma bite. Je voulais tirer contre les chaînes et baiser sa douce bouche jusqu'à ce qu'elle ait des haut-le-cœur avec mon membre dur.

    Et quand je sortirai de ces chaînes, quand la potion s'estompera et que j'aurai à nouveau ma force, je jetterai toutes les femmes dans cette pièce sur un banc pour une fessée et je les punirais jusqu'à ce qu'elles aient le cul en feu.

    Tout ça était de ma faute. J'avais été un imbécile de penser que je pouvais ne pas être détecté par leur technologie, ou même trouver la moindre trace de ma sœur ou de son ravisseur. J'espérais que mon demi-frère, Hunter, aurait plus de chance sur Lunar One. Après les guerres, la base sur la lune Zatari était devenue un bastion militaire pendant les premières décennies. Mais maintenant, ce n'était plus qu'un endroit où jouer pour l'élite. Sans accès facile à nos deux royaumes en guerre, la base était dirigée par de puissantes alliances. On pouvait y acheter n’importe quoi et toutes sortes de personnes.

    Alors que la jeune femme me caressait l'épaule droite avec une éponge de bain mouillée, j’admis la vérité. Sauf miracle, mes chances de survivre jusqu’au matin étaient minces. Si mes ravisseuses découvraient ma véritable identité, elles me tortureraient pour obtenir des informations avant de demander une rançon à mon père, ou m'exécuteraient immédiatement.

    Ou pire encore, elles m'accoupleraient à leurs guerrières jusqu'à ce que mon corps s'écroule comme un cheval de course et que mon cœur explose. J'entendis de petits battements de tambour provenant de quelque part à proximité tandis que le doux parfum des herbes et des huiles brûlantes flottait dans l'air. Les femmes étaient belles et malgré ma détermination de ne pas les désirer, la vue de tant de culs bien ronds et les bruits de bites mouillées glissant sur des lèvres avides, me poussaient au bord de la folie.

    Les autres hommes, les donneurs de semence pour les activités d'aujourd'hui, se tenaient contre les murs, leur corps dégoulinant de sueur. Chacun de ces hommes semblait agoniser de désir. Sur leur visage, on voyait combien ils étaient tendus, des traînées de sueur coulaient le long de leur dos nu mais le plus impressionnant était leurs pénis engorgés qui pointaient de leur corps. Leurs couilles lourdes remplies de semence pendaient entre leurs jambes. Ces pauvres idiots étaient si mûrs qu'ils en étaient presque violets. Le sang battait dans les veines épaisses de leurs longs membres.

    Ces hommes ne souhaitaient pas être libérés. Non, ils imploraient ces femmes, ne pensant qu’à les servir, elles et leurs sombres

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