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La légende de la Gardienne - Tome 2: Le Cœur de l’Univers
La légende de la Gardienne - Tome 2: Le Cœur de l’Univers
La légende de la Gardienne - Tome 2: Le Cœur de l’Univers
Livre électronique217 pages3 heures

La légende de la Gardienne - Tome 2: Le Cœur de l’Univers

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À propos de ce livre électronique

Six ans ont passé. La communauté de la lumière voit revenir l’ombre puissante de Seytan, le Grand Seigneur Noir.
Alors que Jethro a perdu la maîtrise de l’amulette Mentaliste suite à la naissance de la nouvelle gardienne, Seytan, force des ombres veut assombrir le monde.
Il a envoyé ses chevaliers noirs pour trouver la jeune gardienne et mettre fin à sa vie, seul obstacle à ses projets.
La petite Mila, nouvelle gardienne, saura-t-elle contrôler le pouvoir de l’œil de l’univers afin de se sauver et d’aider le monde ?
Le temps est compté pour la communauté. Ils doivent retrouver Mila avant les chevaliers noirs et avant Aaron. Surtout que ce dernier voit son pouvoir grandir de manière phénoménale.
Jethro va rapidement devoir faire un choix car lui seul a le pouvoir de retrouver l’âme de Stella, sa grande fille disparue tragiquement.
Sans le Cœur de l’Univers : l’amulette Amorè et sans la puissance de Mentaliste, la communauté de la lumière pourra-t-elle sauver le monde de la puissance des ombres ? Jethro sauvera-t-il l’âme de sa fille Stella ? Aaron se contentera-t-il d’un rôle de subalterne ? Et que devient Gelyn, le maître des ombres ? Tant de questions qui ne sont qu’une infime partie du mystère de l’univers.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Frédéric Angelucci, né en 1975, est formateur, conférencier, coach et auteur.
Il est le fondateur de Libérer mon potentiel.
Autodidacte, il se lance dans l’écriture en 2016. En 2017, il édite son premier livre, celui-ci sera réédité dans une version retravaillée sous le nom de : Comment libérer son plein potentiel ?
Restant fidèle à lui-même et prônant des valeurs fortes, tous ses livres seront édités chez le Lys Bleu. Se servant de son imagination sans limites et de la confiance acquise dans son savoir-faire, il propose donc son second roman : La légende de la gardienne : Le Cœur de l’Univers.
LangueFrançais
Date de sortie30 mars 2020
ISBN9791037705440
La légende de la Gardienne - Tome 2: Le Cœur de l’Univers

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    Aperçu du livre

    La légende de la Gardienne - Tome 2 - Frédéric Angelucci

    Frédéric Angelucci

    La légende de la Gardienne

    Le Cœur de l’Univers

    Tome 2

    Roman

    © Lys Bleu Éditions – Frédéric Angelucci

    ISBN : 979-10-377-0544-0

    Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    À mon grand frère Dominique

    Un écrivain n’est jamais seul.

    Il est toujours accompagné de mille personnages, de mille histoires, de mille fantaisies, de mille amours, de mille amitiés… et c’est cela qu’il partage avec le lecteur.

    Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite, ainsi qu’avec tout événement ou fait.

    Allongés sur l’herbe fraîche, Giacomo et Maryline profitaient de la paix. Le temps était merveilleux, une douce brise tiède effleurait leurs visages rayonnants. Voilà, bien longtemps qu’ils n’avaient plus passé un moment de quiétude et de paix.

    Un doux soleil de début d’été tombait sur la terre, l’inondant de sa chaleur parfois pesante. Sous le gazon sauvage, le sol dur réclamait de la fraîcheur, pour ainsi redevenir ce matelas moite imprégné d’eau.

    Les deux tourtereaux restèrent silencieux, ils observaient les boules de coton d’un blanc immaculé se promener au-dessus d’eux. Ils n’entendirent pas qu’un projectile volait rapidement dans leur direction. Une grosse boule de feu flottait dans l’air et les heurta de plein fouet.

    Surpris, ils n’eurent pas le temps d’esquiver et furent enflammés. Leurs hurlements déchiraient l’atmosphère. Ils ne virent pas qui les attaquaient. La rapidité de la seconde salve finit de les désarçonner. Désarmés, sonnés, et brûlants, ils ne purent se mettre à l’abri.

    Un être affreux montant un cheval décharné s’approcha. Il sortit une lance qu’il planta dans le ventre rond et mou de Giacomo. Le regard incrédule, le petit homme cracha du sang, ses yeux se remplirent de liquide rouge, il ne voyait plus qu'une ombre le dévisager. Son petit corps grassouillet ne put en supporter plus. Il s’écroula.

    Maryline le regardait sans rien pouvoir faire, pas encore remise des premiers assauts violents.

    La vision de ce monstre décharné, qui se présentait devant elle, la fit frémir.

    Le chevalier noir descendit de sa monture et d’une voix gutturale prononça :

     Où est la fille ? 

    Il empoigna une Maryline presque mourante et il répéta :  

    Où est la fille ? 

    Dans un effort surhumain, elle répondit tant bien que mal qu’elle ne comprenait pas de qui il parlait.

     La gardienne, dis-moi où est-elle ? Sa voix de mort vivant la fit frissonner.

    Je je ne sais pas, prononça-t-elle péniblement. 

    Alors, tu ne m’es d’aucune utilité, lui cracha-t-il en plein visage. 

    Il reprit sa lance du cadavre de Giacomo et l’enfonça violemment dans celui de Maryline.

    D’un geste affirmé, il remonta sur sa monture et reprit sa route.

    Les deux corps sans vie gisaient sur le sol. Une grande flaque rougeâtre s’étendait sur l’herbe assoiffée. Ils restèrent ainsi des heures, les yeux ouverts vers le ciel qu’ils regardaient encore avec amour il y a quelques instants à peine.

    Quelques heures plus tard, leurs corps furent découverts par un promeneur. Les cadavres brûlés par l’intense soleil se desséchaient rapidement.

    *

    Je reprenais doucement mes habitudes de confort. Je me trouvais sur la terrasse de l’Abbaye, devenue un endroit de souvenirs poignants. Assis sur une chaise en plastique verte et protégé par les immenses parasols, j’attendais que la serveuse, une dame blonde de la quarantaine, vienne m’apporter ma belle blonde. Je regardais la haie toujours aussi merveilleusement bien taillée. Dedans, de jolis petits moineaux se cachaient en quête d’un morceau de pain tombé nonchalamment par terre. Leurs piaillements, autrefois source de bruit parfois désagréable, égayaient mon ouïe. Seul, ces petits êtres me tenaient compagnie. Le cœur me pesait mais je voulais absolument retrouver ce lieu qui autrefois liait deux amis indéfectiblement. Lors de ma dernière venue ici, nos filles vivaient encore à mon arrivée. Et puis, le drame nous frappa violemment, chamboulant nos vies. Je ne demandais rien juste une vie peinarde, simple, avec les personnes que j’aimais. Mais le destin fort et puissant était venu m’emporter vers une histoire de clair et d'obscur.

    À mon arrivée, je me surprenais à découvrir cet endroit comme pour la première fois. En effet, mon regard observait la magnifique Basilique à laquelle je n’avais pas vraiment donné d’attention dans le passé. La cour magnifique et l’ensemble de ce monument qui datait de 1125 semblaient me révéler pour la première fois son histoire. Je me rappelais d’un coup mes lectures sur ce site. Fondée par des moines venus de l’Est dans un lieu atypique et inhabité. Elle fut un lieu de culte et de légendes. On racontait qu’ils fuirent devant le Diable lui-même. L’Abbaye fut détruite plusieurs fois. La première durant l’année 1257 par un incendie, ensuite des protestants y mirent le feu en 1558 et puis en 1935 lors du début de l’invasion germanique. La légende parlait du Diable qui n’appréciait pas que des moines soient venus construire un lieu de culte sur ses terres.

    La serveuse me sortait de ma rêverie et me déposa ma bière avec un sourire gracieux en me disant courtoisement :

    Voilà votre Val Dieu, Monsieur, vous payez de suite ? 

    D’un geste nonchalant, je lui répondis que oui. Tout en profitant des beaux et doux rayons de l’astre solaire, je dégustais d’abord la mousse tendre et voluptueuse du breuvage. Je regardais cette belle nana aux courbes fines et à la démarche assurée s’en aller servir une autre table.

    Les femmes d’aujourd’hui portaient sur elles cette volupté et cette légèreté d’âme qui faisait naître le sourire aux lèvres de tout homme. Serveuse. Voilà, un métier sous-estimé mais ô combien important. Toutes les serveuses ne se donnaient pas la peine d’oublier leurs soucis pour s’occuper du client. Mais, celle-ci, malgré son regard triste, rayonnait de complaisance. Cette capacité à savoir sourire tout en gardant pour soi son mal-être m’impressionnait. Cet engagement ne ressemblait pas à de la flatterie ni à de la moquerie mais bien à de la sympathie. Cette servante des temps modernes amenait la paix à chaque table où elle passait avec son sourire charmeur et sa voix douce.

    Le cadre magnifique rajoutait au plaisir de s’asseoir pour déguster une bonne bière fraîche. Quelques souvenirs des moments passés ici avec mon ami venaient de temps à autre embuer mon esprit. Rapidement, je me rappelais les enseignements d’Almwa et j’accueillais ceux-ci pour ce qu’ils représentaient : des souvenirs.

    Mon mentor devait m’attendre mais avant je souhaitais revivre cet instant qui me manquait tellement. Cette rencontre rituelle avec mon ami me rappelait de bons souvenirs avant le décès fulgurant de nos filles et toute cette histoire d’amulettes, de gardienne et de monstres.

    Là, assis paisiblement, je me mis à rêver que tout cela n’existait pas. Aaron et ma fille me manquaient tellement. De plus, je n’entendais plus mon bébé et cela m’angoissait terriblement.

    Mes pensées partaient dans tous les sens et mes émotions se chamboulaient à nouveau. Penser à cela, à mon ami et son choix vers cette voie sombre, me chagrinait. Je me pris à le juger mais qui étais-je pour le critiquer ou le condamner ?

    Son cœur avait tellement souffert qu’il ne put résister à l’appel du démon qui nous habitait tous.

    Je me ressaisissais et repris mes esprits tout en regardant ma chope. Vivre le moment présent, voilà ce que je décidais de faire. Je m'offris ce cadeau. Je pris deux grosses inspirations, ferma les yeux et ressentis sur tout mon corps l’apaisement de cette technique fabuleuse. Ensuite, je regardais le verre posé sur ma table, je le portais à mes lèvres et me délectais de ce breuvage au goût de houblon, tout en observant les personnes autour de moi. Elles ne savaient pas ce qui se tramait. À chaque fois que la communauté de lumière venait ici, dans le parc ou dans la cour, elles étaient bien tranquilles chez elles. Almwa faisait ce qu’il fallait pour ne pas les perturber et effacer les traces de notre passage.

    Je devenais aveugle sous le feu du soleil transperçant l’atmosphère pour éclairer et chauffer la surface de la Terre. Le ciel d’un bleu immaculé, parsemé de petits filaments de nuages fugaces, éclairait à pourfendre le champ de ma vision. J’entendais le brouhaha des personnes discutant sans relâche de leurs difficultés, de leur sœur, de leur ami ou encore de leur travail si difficile à vivre. Elles ne se rendaient pas compte que le monde basculait et qu’il allait falloir se battre pour le garder comme on le connaissait. Les forces obscures n’allaient pas en rester là.

    Je décidais de sortir mon Smartphone pour me changer les idées. Mon attention fut attirée par un article de tennis. Une jeune femme canadienne venait de remporter un Grand Chelem à l’âge de seize ans, et ce, lors de sa première finale. Je trouvais les jeunes d’aujourd’hui bien plus précoces et plus matures. Cette femme appelée Drodeau venait de battre une vétérane. Lors de la première victoire de Tiams, elle n’avait que 5 mois. Cela doit vraiment être fabuleux de gagner face à une femme qui totalisait plus de dix Grands Chelems à son actif. Je parcourais le reste de l’actualité et j’en venais à regretter cette époque où je pouvais ne pratiquement faire que cela.

    Je finis ma chope d’un trait et me levais pour me diriger vers le parc. Même si les humains classiques se promenaient dans ce même endroit, ils ne pouvaient atteindre la demeure d’Almwa. Pour cela, il fallait la voir et donc pouvoir transcender son cœur et son âme tout en s’alignant à la terre. Une vaste histoire à laquelle je n’aurais jamais cru si je ne l’avais vécue.

    Almwa m’attendait sur le pas de sa porte. Elle paraissait soucieuse et je voyais dans ses yeux une lueur de tristesse qui l’envahissait de tout son être. Je me réjouissais de la voir mais là, je percevais une souffrance terrible qui commençait à prendre mon corps et mes tripes.

     Hello, Almwa, que se passe-t-il ?

    J’ai une terrible nouvelle Jet', assieds-toi nous allons en parler.

    OK, dis-je à moitié désarçonné.

     Giac et Maryline ont été retrouvés morts brûlés et éventrés.

    Je restais stupéfait par la nouvelle. Comment quelqu’un était-il arrivé à faire cela ? Giac était un terrible combattant et Maryline aussi. Bien que je les savais en lune de miel, je ne comprenais pas qui pouvait être assez fort pour faire cela.

     Qui a fait cela ? C’est impossible. Comment ont-ils pu se faire tuer ainsi ?

    Il semble qu’ils n’ont même pas su se défendre. Nous avons affaire à un ou des combattants bien plus forts que ce que nous avons connu. Même s’ils n’étaient pas à cent pour cent, j’ai beaucoup de mal à comprendre aussi. 

    Elle se tut, une petite goutte traversa sa pupille pour descendre lentement le long de sa joue et s’écraser sur sa poitrine. Je restais interloqué. Un long moment de silence s’installa entre nous. Le vent en profita pour souffler et nous ramener à l’instant présent.

    Je vais aller voir une amie qui pourra m’en dire plus. D’ailleurs, je n’ai pas eu l’occasion de te parler d’elle. Je l’ai vue avant de me faire emprisonner par ton ami. Il y aurait trois amulettes, cela tu le sais déjà mais elles ne sont pas tout à fait les mêmes que celle de l’autre monde. Nous devons les trouver avant Aaron. De plus, nous avons parlé de la prophétie, il nous faut l’interpréter avec lucidité. Nous ne devons pas annihiler le monde des ombres m'a-t-elle dit. Nous allons devoir redoubler de vigilance. Tu vas devoir éviter d’aller là-bas tant que tu ne gères pas tout à fait ton pouvoir. Tu as peut-être perdu celui de l’amulette qui augmentait surtout ta vision et tes sens mais tu as toujours bien les tiens. Tu vas devoir faire disparaître la dualité mentale que tu vis avec ton ami.

    Mais comment ? l’interrompis-je perplexe et plein de doutes.

     Je ne sais pas encore. Je l’ai revue aussi pour demander des informations sur la gardienne mais même elle n’en a pas. Il semblerait que personne ne sache où elle se trouve ni quels sont ses pouvoirs vu son jeune âge. Elle doit avoir six ans maintenant. Malgré tous mes efforts, je n’ai réussi à avoir aucun renseignement. Il va te falloir te mettre en quête de la seconde amulette.

    Mais je ne peux pas, tu sais que Sylvie s’est donné la mort ne supportant pas la perte de notre fille. Hélios n’a que douze ans, je ne peux pas le laisser seul.

    Alors, trouve quelqu’un pour s’en occuper. Si tu ne fais rien, il n’y aura plus de monde dans lequel vivre en paix. 

    Je ne peux pas sauver le monde Almwa. Tu l’as bien vu, je ne suis pas à la hauteur.

    Ton pouvoir est grand Jethro. Vois le ainsi : « Mon pouvoir est infiniment grand ». Répète-toi cette phrase et surtout ai foi en toi.

    Je ne comprends pas ce que tu me dis.

    C’est un effet miroir. En disant ou en lisant « mon » tu imprègnes ton inconscient. En d’autres termes, si ton « Moi » évolue, tu sauveras le monde. Celui-ci ne peut être changé que par « Je » et personne ne peut le faire à la place de ton « Je ». Le monde qui s’est révélé à toi depuis que tu as perdu ta fille, n’est pas le monde tel que tu le connaissais avant. « Je » est ton conscient et « Moi » ton inconscient. Ensemble, ils sont TOI.

    Donc, si je change, j’influence le monde c’est cela ? Personne d’autre ne changera le monde pour moi....

    Personne n’influencera le monde dans lequel tu vis. Tu vois ? Il faut que chaque personne commence son propre changement intérieur pour influencer le monde extérieur. Tu peux croire en toi et en ton potentiel infini. Dis-toi ceci : « Je libère mon potentiel à son maximum ».

    Je libère mon potentiel à son maximum.

    Alors que ressens-tu ?

    Du bien-être et de la confiance.

    Imagine-toi maintenant que tu lis ceci : « Libérer votre potentiel ». Qu’est-ce que cela te fait ?

    Rien de spécial. Je reste sur ma faim.

    Évidemment, car ton inconscient reçoit l’information que c’est le potentiel de l’autre que tu libères. Si tu lis : « Libérer mon potentiel ». Qu’est-ce que cela te fait ?

    Je me sens concerné.

    Bien sûr, ainsi tu renvoies à ton inconscient que c’est ton potentiel que tu libères. Maintenant, imagine-toi lire : « Libérer mon potentiel » et mets ta main sur ton cœur.

    Jethro s’exécuta. Il ferma les yeux, s’imagina lire cette phrase et mit sa main sur son cœur. Cela dura un instant.

    Alors ?

    Fabuleux.

    Que ressens-tu ?

    De l’enthousiasme, de la paix, de l’amour envers moi-même.

    Exactement. Car tu te connectes à ton « Moi » intérieur. Crois en toi mon ami.

    Sur ces mots, elle m’étreignit tendrement. Elle mit son cœur contre le mien et nous nous concentrâmes sur la respiration l’un de l’autre. La paix et l’amour m’envahirent.

    Délicatement, elle se retira et me regarda dans les yeux. Je ressentis sa confiance en moi et sa bienveillance. Sans

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