Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Drockhead - L'intégrale: Drockhead
Drockhead - L'intégrale: Drockhead
Drockhead - L'intégrale: Drockhead
Livre électronique236 pages2 heures

Drockhead - L'intégrale: Drockhead

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Vous vous souvenez de Lazare Donatien et de ses acolytes ? Il vous ont manqué à vous aussi ? Eh bien, voici la suite !

 

Voilà bientôt deux ans que Dimitri a accepté la proposition de Lazare et repris les rennes du Passage pour en confier la gestion journalière à Alice. Maintenant équipiers confirmés, ils ont vendu leurs appartements respectifs pour s'installer au Manoir et s'imposer comme les nouveaux colocataires de Zeph.

 

Ce qu'il s'est passé en Irlande ressemble presque à un mauvais souvenir, mais il y a une chose dont personne ne se doute encore et qui continue de croître dans l'ombre, car tout ne s'est pas terminé avec la disparition de Pytki et de son acolyte.

 

Le parjure et l'élémental n'étaient que la partie visible de l'iceberg et un sombre groupuscule continue de tisser sa toile autour du fils de Lazare, fomentant sa capture pour enfin assurer leur victoire sur Outremonde.

 

L'ennemi ne sait toutefois pas encore à quel point il fait fausse route en sous-estimant les parents de l'enfant, un valet incurablement affecté par le complexe du « protecteur », une tante auto-proclamée et celui qui est depuis devenu à part entière… un maître Drockhead !

LangueFrançais
Date de sortie13 févr. 2020
ISBN9782954209845
Drockhead - L'intégrale: Drockhead
Auteur

Virginia Besson Robilliard

Virginia est née à La Rochelle d’un père français et d’une mère indo-mauricienne et a toujours été très fière de son métissage.  Elle a beaucoup voyagé, vécu au Canada, à L’île Maurice et en Inde et coule une vie heureuse avec son mari et leurs deux chartreux Smith&Wilson (dont vous trouverez plusieurs photos sur son compte instagram), leurs enfants ayant tous commencé leurs vies d’adultes.  Virginia écrit depuis très jeune, c’est l’été de ses 14 ans qu'elle a écrit et terminé son premier livre (sans l’avoir jamais montré à qui que ce soit). Elle adore faire des recherches et partager avec ses lecteurs le fruit de celles-ci qu'elle va par la suite se charger de transformer en romans. Si vous avez envie de discuter, d'en savoir plus sur les séries à venir ou de simplement dire bonjour, vous pouvez joindre Virginia via son SITE (www.virginiabrobilliardbooks.com) et ses autres réseaux sociaux.

En savoir plus sur Virginia Besson Robilliard

Auteurs associés

Lié à Drockhead - L'intégrale

Titres dans cette série (8)

Voir plus

Livres électroniques liés

Fiction d'action et d'aventure pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Drockhead - L'intégrale

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Drockhead - L'intégrale - Virginia Besson Robilliard

    Du même auteur

    - La série Lazare Donatien

    - La série Liens et Sortilèges     (anciennement Les Sorcières de Salers)

    - Les prochaines séries et aventures de mon univers d’auteur dont je vous laisse découvrir le détail sur mon site :

    www.virginiabrobilliardbooks.com

    ––––––––

    Hors-série de Noël

    Lazare et les Sorcières : Le Cadeau de Lazare

    Les Orphelins de l’Avent

    ISBN 9782954209845

    @ Février 2020

    Virginia Besson Robilliard

    Drockhead

    L’intégrale

    « La vie est un mystère qu’il faut vivre et non un problème à résoudre. »

    Gandhi

    Table des matières

    Épisode 1 – Le Scarabée d’Anubis

    Épisode 2 – Mystère Inca

    Épisode 3 – L’ombre de Nekhbet

    Épisode 4 – L’héritage de Pythéas

    Épisode 5 – Casus Belli

    Épisode 6 – Le Jardin des Hespérides

    Épisode 7 – Le Fléau d’Horus

    EPILOGUE

    L’auteur

    Remerciements

    Épisode 1 – Le Scarabée d’Anubis

    « Seul, je parcours les solitudes cosmiques. Un rayonnement de lumière émane de tout mon être. Je suis un être entouré de murailles au milieu d'un univers entouré de murailles. Je suis un solitaire au milieu de ma solitude... »

    Extrait du Livre des Morts - Égypte antique

    Chapitre 1

    — Bonsoir Monsieur, la journée a-t-elle été agréable ?

    Tout en me posant sa question habituelle, Zeph me débarrassa de mes clés de voiture et de ma veste avec la dextérité du majordome qu’il avait toujours été.

    — Bonsoir Zeph, merci. Et pour répondre à ta question, c’était une journée comme une autre, j’en ai peur... Une journée comme tant d’autres depuis ces deux dernières années d’ailleurs.

    Je n’avais pu empêcher cette légère et néanmoins tenace pointe d’amertume de percer dans ma voix, ce qui n’échappa évidemment pas au vigilant factotum, mais il eut l’obligeance de laisser glisser. J’imagine que peu de chose pouvait passer au travers des filets et différentes sonnettes d’alarme psychologique d’un valet âgé de plusieurs siècles et entraîné à l’école « Lazare Donatien » de surcroît.

    — Où souhaitez-vous prendre votre dîner, ce soir ?

    — Alice est-elle rentrée ?

    — Pas encore, mais mademoiselle Santoni ne saurait tarder. Elle a téléphoné pour prévenir qu’elle souhaitait terminer l’inventaire du Passage et rentrerait ensuite.

    — Très bien, dans ce cas, je dînerai dans le bureau, si tu veux bien.

    — Entendu, Monsieur.

    Je m’éloignais lorsque je l’entendis formuler une question qui revenait, elle aussi, de façon très régulière.

    — Je suppose que Monsieur n’a toujours pas l’intention d’utiliser mon véritable nom...

    Je retins le sourire qui me montait aux lèvres avant de me retourner.

    — Il me semble l’avoir déjà dit, mais honnêtement, Zephirii-Zephiro, ça manque d’efficacité et « Zeph » te va beaucoup mieux je trouve. C’est pimpant, c’est chantant... Je ne vois pas du tout ce que tu peux reprocher à ce charmant petit nom. Allons, gardons Zeph et n’en parlons plus, d’accord ?

    — Vous êtes sans aucun doute le digne successeur de Monsieur Lazare, Monsieur Dimitri, marmonna-t-il de cet air pincé que je lui avais vu plus d’une centaine de fois déjà, au bas mot. Je vous apporte votre dîner dans un quart d’heure.

    Il s’éloigna d’un pas digne, raide comme la justice de Berne. Je n’étais pas certain que la question ne revienne pas sur le tapis d’ici quelque temps, mais pour le moment, il semblait bien que j’avais remporté cette manche du petit jeu des prénoms que l’acariâtre valet, dont j’avais hérité en même temps que cette bâtisse, affectionnait tant.

    J’orientai mes pas vers le bureau tout en pensant à Lazare. Cela faisait presque deux ans que le vieux filou ne s’était pas manifesté. À quoi bon faire des entrées théâtrales pour annoncer qu’il pouvait revenir d’entre les morts quand bon lui semblait si c’était pour se mettre à jouer les fantômes dans la foulée ? Je vous le demande !

    Je pris place dans le confortable fauteuil en cuir qui trônait devant un élégant plateau de chêne massif sur lequel j’avais posé, la veille, un épais carnet de cuir noir, ancien et quelque peu abîmé, ainsi qu’une lettre au papier jauni par le temps. J’avais trouvé la lettre liée au carnet par une cordelette de cuir dans une des cachettes de la bibliothèque, tard dans la soirée d’hier. La missive avait été écrite par l’oncle de Lazare, celui qui lui avait laissé le Manoir. Elle était composée de cinq feuillets dans lesquels il expliquait que le Manoir et le Passage avaient été achetés et aménagés par un ami à lui, et que le carnet qui accompagnait ce message avait appartenu à ce dernier.

    Gérard Donatien confessait ensuite que, bien que n’ayant jamais reçu le don qu'avaient eu beaucoup des membres de sa famille, il avait néanmoins été choisi pour devenir le gardien de l’imposante demeure et de ses secrets. N’étant pas né Drockhead, il avait accepté le rôle de l’ombre et avait préservé le Manoir et le Passage, qui étaient liés, selon ses dires, d’une façon qu’il ne pouvait expliquer lui-même. Cependant, l’ami propriétaire du carnet (dont il persistait à taire le nom) y avait consigné certains plans et explications pour celui qui trouverait ce journal. Eh bien, je l’avais trouvé, ce journal, mais quelque chose m’avait empêché de l’ouvrir sur-le-champ pour en découvrir le contenu. Ce satané truc avait hanté le fond de mes pensées toute la journée !

    Je pris le calepin - tout aussi rebondi qu’énigmatique - entre mes mains pour l’examiner sous toutes les coutures. Il ne comportait aucune inscription qui aurait pu indiquer la nature de son contenu, pas même le nom de son propriétaire. Seul un curieux symbole embossé en plein milieu des deux côtés de la couverture semi-rigide le distinguait d’un cahier ordinaire, en plus du fait qu’il s’obstinait à rester fermé.

    Pourtant, aucun de mes sens Drockhead ne s’était mis en mode « alerte » et hormis les deux particularités que je venais de citer, l’objet que je continuais d’observer était un carnet de cuir tout ce qu’il y a de plus classique.

    J’en étais là de mes investigations lorsqu’un coup léger frappé à la porte me fit relever la tête. Je me fendis aussitôt d’un sourire sincère et détendu.

    — Salut Alice ! Comment s’est passé ta journée, contente d’être en week-end ?

    Je l’invitai d’un geste à s’installer en face de moi, ce qu’elle fit de ce pas délié et élégant qui la caractérisait. Aujourd’hui, elle avait opté pour des baskets pratiques et confortables, un t-shirt blanc orné d’une tête de mort fleurie et un pantalon corsaire noir décoré d’œillets de laiton et de fins lacets au niveau des mollets. Elle avait relevé ses cheveux aux reflets dorés en une queue-de-cheval haute, dont l’extrémité lui retombait sur la nuque. De minuscules boucles d’oreilles chaînettes, dotées elles aussi de crânes fleuris, pointaient de ses lobes d’oreille jusqu’à son cou. Un ensemble pratique et féminin en somme. Depuis les événements qui avaient conduit à la mort de Lazare et à notre cohabitation, je l’avais peu souvent vue habillée autrement que de cette façon.

    — Salut Dimitri, pas fâchée d’être en week-end, oui. J’ai passé une curieuse journée pour ma part, et toi ?

    Je me penchai vers elle, ramenant mes bras sur le bureau.

    — Là, tu m’intrigues, ma chère, qu’a donc eu ce vendredi de si spécial ? J’ai bien peur que le mien ne contienne que des choses plutôt banales alors je t’en prie, à toi l’honneur.

    — Comme tu le sais, je viens de terminer l’inventaire annuel du Passage, tout allait bien et j’avais presque terminé lorsque j’ai eu droit à une surprise, figure-toi. Regarde plutôt ce que j’ai déniché sous une des lattes du parquet de l’arrière-boutique.

    Alice sortit un petit objet recouvert d’un linge de son sac à main. Elle le posa dans sa main droite et écarta les pans du fin chiffon pour me montrer sa trouvaille.

    J’eus à peine effleuré le petit scarabée d’un bleu intense qu’elle tenait au creux de sa paume que je fus pris d’un mal de tête fulgurant. Je perdis le contrôle de mon corps l’espace d’une seconde, tandis que mon front heurtait avec un bruit sourd le chêne dur, quelques centimètres sous moi.

    chapitre 2

    Alice se précipita pour m’aider et Zeph apparut dans la seconde qui suivit. J’avais beau savoir que Lazare avait fait en sorte que rien de ce qui se passait dans le Manoir ne puisse échapper à son fidèle valet, voir l’étendue de ses pouvoirs à l’œuvre me surprenait toujours.

    Je décollai mon front du bureau de bois massif et me laissai aller dans le fauteuil, la tête en arrière. Alice posa une main fraîche sur ce qui, j’en étais sûr, devait ressembler à une imposante bosse en formation.

    — Que s’est-il passé Dimitri/Monsieur ? me demandèrent mes deux acolytes dans un bel ensemble, les sourcils froncés. Quelque chose les contrariait et mon air ne devait pas être plus engageant que le leur.

    — Je n’en ai aucune idée, grinçai-je.

    Mais j’étais sans aucun doute le premier à vouloir tirer ce qui venait de se passer au clair !

    Un groupe de rock particulièrement acharné sur la batterie paraissait vouloir élire domicile quelque part au milieu de mon crâne. Toutefois, j’avais été à bonne école, je pris donc quelques secondes pour me concentrer et reléguer ma migraine naissante en arrière-plan. C’est dans ces moments-là que j’appréciais les leçons et autres préceptes que Lazare m’avait forcé à ingurgiter sans relâche lorsque j’étais devenu son apprenti.

    Je me levai pour aller prendre une paire de gants dans le premier tiroir de la commode, qui occupait un large espace derrière le bureau. Lazare m’avait prévenu de la nature singulière des deux pièces de cuir souple, autour desquelles je crispai un instant les doigts. Je ne devais et pouvais les enfiler que si je venais à croiser la route d’un objet possédant une force spirituelle assez grande pour me déstabiliser. Connaissant le personnage, j’aurais été prêt à parier qu’il savait que le bijou serait tôt ou tard découvert. De toute évidence, l’heure était venue et cette journée semblait vouloir se révéler moins ordinaire que prévue, pour finir.

    Alice et Zeph se contentaient de m’observer sans rien dire et je décidai de focaliser mon esprit sur le magnifique petit coléoptère bleu nuit qu’Alice avait jeté sur sa chaise en se précipitant à mon aide. Je le soulevai et le posai dans ma main droite. Les gants remplissaient leur mission et neutralisaient, en partie du moins, la force spirituelle brute qui se dégageait du scarabée, mais je la sentais fourmiller sous mes doigts et vouloir se libérer de cette emprise. Je dus user de ma volonté pour réussir à contrecarrer une fraction suffisante de cette force et pour arriver à manipuler ce que je considérais déjà comme mon nouveau jouet préféré.

    Pas étonnant que mes sens Drockhead aient réagi avec une telle violence. Ce petit bibelot pailleté d’or avait emmagasiné une énergie phénoménale ! Cependant, chose pour le moins curieuse en regard d’une telle puissance, je ne sentais la présence d’aucune âme habitant l’objet. Tout ce pouvoir provenait et était généré par le seul scarabée... Je n’avais jamais vu ça ! Bon sang, qu’aurait donc fait Lazare dans pareil cas ?!

    Je revins m’installer au bureau et fis signe à Alice d’en faire de même.

    — Où as-tu trouvé ce truc ? questionnai-je enfin.

    — Ce truc, comme tu dis, est un scarabée qui a été sculpté dans l’Égypte antique, peut-être au 2e ou 1er millénaire avant notre ère, si je dois me fier à mes connaissances et aux premiers examens que j’ai pu faire au Passage. Le morceau de lapis-lazuli dans lequel il a été taillé est d’une pureté exceptionnelle et je suis prête à parier qu’il a appartenu à un membre d’une famille royale. Les deux branches en or percées que tu vois sur ses côtés ont été ajoutés à une date ultérieure pour transformer la relique en pendentif, je pense, ou peut-être en bracelet. Un autre indice de sa provenance pourrait être le curieux hiéroglyphe gravé sur son ventre, mais en trouver la signification va me prendre un peu de temps, je n’en ai encore jamais vu de semblable.

    — Un hiéroglyphe, tu dis ? répétai-je en retournant le scarabée sur le dos. Alors ça ! lâchai-je, abasourdi.

    J’approchai le hiéroglyphe de la couverture noire du cahier que je n’avais pas encore réussi à ouvrir et jubilai. C’était le même symbole ! Je décidai de tenter le tout pour le tout et superposai les glyphes l’un sur l’autre. Au pire, j’essuierai une nouvelle déception, au mieux... je poussai un cri de triomphe lorsque la première page du calepin se dévoila à mes yeux et que je pus enfin en lire le contenu.

    « Je suis Léonidas d’Ambreville et ce journal m’appartient.

    J’ai gardé ces lignes à l’abri des regards indiscrets depuis que j’ai entamé leur rédaction à mon retour d’Égypte en 1927.

    De sombres évènements se profilent et, même si j’en connais la cause profonde, je ne pourrais pas les empêcher.

    Ce journal et sa clé vont être placés en lieu sûr pour que l’héritier dont m’a parlé ma chère épouse puisse un jour le consulter.

    À vous qui pouvez lire ces lignes, sachez que vous êtes l’héritier dont parle la prophétie de mon épouse.

    Cherchez et surtout, qui que vous soyez, trouvez sa véritable signification et agissez en conséquence. Croyez en l’expérience d’un homme qui en a déjà vu beaucoup, ce qu’elle a vu se réalisera et c’est sur vous que repose notre survie à tous, à présent.

    Je vous confie ce journal en espérant qu’il pourra vous apporter des éclaircissements et une aide bienvenue pour mettre un terme à toute cette histoire, afin de vaincre l’ennemi une bonne fois pour toute. J’y ai consigné tout ce que je fus autorisé à dévoiler.

    Que la puissance des Drockheads et d’Outremonde vous accompagne,

    Léonidas d’Ambreville - La Flotte en Ré - 15 août 1939. »

    chapitre 3

    Je levai la tête vers Zeph, plus ébranlé par ce que je venais de lire que ce que je voulais bien admettre.

    — Lazare t’a-t-il déjà parlé d’un parent ou d’une connaissance proche nommée Léonidas d’Ambreville et ami de son oncle, Gérard Donatien ?

    — Ce nom ne me dit rien, Monsieur, je suis désolé.

    — Évidemment, ç’aurait été trop beau, soupirai-je

    — Moi, ça me parle, par contre, intervint Alice, toute aussi surprise que nous par cette découverte.

    — Comment c’est possible ? J’ai trouvé ce carnet dans une cache de la bibliothèque de Lazare et il a l’air plutôt... spécifique aux Drockheads. Ton père n’était pas Drockhead, si je me souviens bien ?

    — Non, il ne l’était pas, ne sois pas idiot, mais il me racontait souvent les aventures qu’avaient vécu en Égypte mon grand-père et un certain Léonidas d’Ambreville, en guise d’histoires pour m’endormir le soir. Après... ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence, ajouta-t-elle avec une fausse réserve.

    — Avec un patronyme pareil ?! Je ne crois pas, non, et toi non plus, d’ailleurs, avoue-le.

    — Oui, bon, j’admets que là, même

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1