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Captive-Moi (Vol. 4): Captive-Moi, #4
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Livre électronique127 pages2 heures

Captive-Moi (Vol. 4): Captive-Moi, #4

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À propos de ce livre électronique

Jennifer ne peut plus nier la réalité de ses sentiments. Leur première nuit dans un même lit la transporte vers des sommets qu'elle n'aurait jamais pensé atteindre. Leur amour est réel et vivant.

Les gens ne sont pas ce qu'ils semblent être, et Jennifer n'est pas en sécurité. Et puis il y a leur relation de travail. Jennifer a été l'employée d'Alex, embauchée pour éloigner les vautours. Elle a démissionné. Mais ils sont amoureux à présent ; peut-elle à nouveau n'être qu'une employée ? Leur relation peut-elle survivre ? Alex et Jennifer reçoivent des menaces de mort. Réelles, comme l'amour qu'elle lui porte.

Leur relation sera-t-elle brisée par ces menaces, et si elle ne l'est pas, resteront ils en vie ?

LangueFrançais
Date de sortie18 nov. 2023
ISBN9781393466840
Captive-Moi (Vol. 4): Captive-Moi, #4

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    Aperçu du livre

    Captive-Moi (Vol. 4) - Christina Ross

    Copyright : Cette publication est protégée par le Copyright Act Américain de 1976 et toutes les autres lois internationales applicables, les lois fédérales, nationales et locales, et tous les droits sont réservés, y compris les droits de revente.

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    Première édition e-book © 2018.

    Pour toutes les autorisations, contacter l'auteur :

    email : Christinarossauthor@gmail.com

    Avertissement : Il s'agit d'une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec des personnes vivantes ou décédées (sauf mention explicite) est une coïncidence.

    Copyright © 2018 Christina Ross.

    Tous droits réservés dans le monde entier.

    10 9 8 7 6 5 4 3 2 1

    SOMMAIRE

    CHAPITRE UN

    Chapitre Deux

    Chapitre Trois

    Chapitre Quatre

    Chapitre Cinq

    Chapitre Six

    Chapitre Sept

    Chapitre Huit

    Chapitre Neuf

    Chapitre Dix

    Chapitre Onze

    Chapitre Douze

    Liste Email / Médias Sociaux

    LIVRE QUATRE

    CHAPITRE UN

    IL ÉTAIT PRÈS DE MIDI quand nous arrivâmes à sa propriété. L’emplacement était superbe ! On était juste sur le littoral mais on avait également une très belle vue sur les montagnes, et on apercevait même Bar Harbor au loin. La résidence était entièrement privée, entourée de grands pins et de feuillus qui commençaient à changer de couleur avec l’arrivée de l’automne.

    L’air était si pur... je pris une profonde inspiration en sortant de la voiture. C’était une des choses qui me manquait le plus à New York. De l’air respirable. Après l’été passé en ville, dans la moiteur et les odeurs d’essence, l’air salé de l’océan était merveilleux. La brise était fraîche, et le bruit des vagues qui se brisaient sur les rochers me faisaient un bien fou.

    – Laisse-moi te faire visiter.

    La maison était grande, mais pas immense. Elle avait été repeinte récemment, ça se voyait tout de suite. Tout autour, les parterres de fleurs étaient manifestement récents également. Les fenêtres étincelaient, comme si elles venaient juste d’être nettoyées. Il m’avait dit que son personnel était venu mettre un peu d’ordre, mais c’était peu dire. Il était évident que la maison avait été nettoyée de fond en comble et bichonnée pour notre visite.

    Ça me fait bizarre. Il mit la clé dans la serrure.

    - Je ne me souviens vraiment pas de la dernière fois où j’étais ici. Ça doit faire au moins quinze ans, peut-être plus.

    Je le suivis à l’intérieur et respirai un soupçon de peinture récente. Les planchers de chêne avaient été polis et cirés. La cuisine brillait sous les feux de nouveaux appareils en inox, probablement parce qu’il s’était avéré nécessaire de remplacer les anciens si personne n’était venu en quinze ans...

    Nous allions de pièce en pièce. Blanc étincelant, murs gris-bleus. Et pour finir, une vue imprenable.

    Il me faisait faire le tour du propriétaire, avec de petites anecdotes quand les souvenirs refaisaient surface.

    – C’était la bibliothèque de mon père. 

    Il passa brièvement la tête dans la pièce avant de s’en détourner.

    – Et ici, c’est l’endroit où mère avait l’habitude de lire.

    – Ils ne lisaient pas ensemble ?

    – Ils ne faisaient pas grand-chose ensemble.

    Je décidai de ne pas poser plus de question, et lui emboîtai le pas. Il me montra les chambres d’amis, un salon étonnant avec vue sur l’océan, les salles de bains et finalement, la chambre principale qui se situait au premier étage, juste au-dessus du salon, avec vue panoramique. Les murs étaient voilés de vert et le lit king size était apparemment neuf, comme tous les autres lits dans la maison. Je le regardai traverser la pièce vers une porte qu’il ouvrit. À l'intérieur se trouvait la garde-robe dont il m'avait parlée.

    - C'est ta chambre, j'espère que les vêtements te conviendront.

    - C'était la chambre de tes parents ?

    Il secoua la tête.

    – C’était la chambre de ma mère. Mon père et moi avions chacun une des chambres d’amis.

    – Ils ne dormaient pas ensemble ?

    – Ils ne se supportaient pas, Jennifer. Leur mariage était fictif. Hostile. Mais ne parlons pas de ça maintenant. Plus tard. Allons d’abord nous promener sur le rivage.

    Il semblait enclin à se dévoiler petit à petit. C’était de bonne guerre. Je savais ce que c’était que d’être questionnée sur des sujets peu plaisants comme celui de sa famille. Je ne répondis donc rien et me contentai d’écouter. Ce dont il ne m’avait pas encore parlé viendrait en temps et en heure, probablement pendant la semaine à venir, et je voulais qu’il se sente à l’aise lorsque le moment serait venu, s’il venait.

    – Où vas-tu dormir ?

    – Juste à côté. Dans la chambre qu’on a dépassée en arrivant. Je peux m'installer dans l'une des pièces au fond du couloir si tu préfères.

    – Non. Je pense que tu devrais prendre cette chambre.

    Il me sourit.

    - Jamais de la vie ! Quand tu te réveilleras le matin, la première chose que tu verras, c'est ça.

    Il montra la fenêtre et l’immensité de l’océan. C’était magnifique, mais je pensais que lui aussi aurait dû voir ça au réveil.

    En fait, Alex, ce que j'aimerais voir en premier quand je me réveille, c'est toi. Alors voyons comment va se passer la journée...

    Le rivage était un mélange de rochers, de galets et de ce qui ressemblait à des graviers. Le Maine ne comptait que quelques plages de sable ; pour le reste, une grande partie du bord de mer était brut et irrégulier, un peu comme bon nombre des gens qui vivaient ici.

    La marée était basse. Elle avait laissé des touffes d’algues dans son sillage. Le soleil brillait. Alex m’attrapa la main et nous commençâmes à marcher le long de l'eau. Nos épaules se touchaient presque. Je libérai ma main et passai mon bras autour de sa taille pour me sentir encore plus proche de lui. Il portait des jeans, un t-shirt et des sandales. J’étais en short et en t-shirt. Le vent était assez fort pour que mes cheveux s’emmêlent, et même si je savais que j’aurais l’air pitoyable une fois revenue à la maison, ça m’était égal. J’avais l’impression d’être au paradis.

    – Regarde. Juste devant toi, sur ce gros rocher. Une étoile de mer.

    – Je me souviens en avoir vu quand j’étais enfant.

    Elle était petite et orange, avec des bosses bleuâtres sur le dos. Je la caressai avec précaution, l’admirai pendant quelques instants, puis la laissai tranquille. Dans le puits d’eau autour du rocher, je remarquai aussi un crabe minuscule qui s’éloigna de moi en dansant quand j’essayai de le toucher. Il leva ses pinces dans un mouvement de défi...

    Je ne voulais pas l’effrayer et le laissai donc s’en aller.

    – C’est magique ici. Surtout maintenant. Quand j’étais gosse, j’avais une peur bleue quand on m’annonçait qu’on allait dans le Maine.

    – Pourquoi ?

    – Parce que ce n’était pas un endroit heureux. À un certain stade de leur relation, mes parents n’auraient pas dû rester ensemble. Ici, ils devaient faire face à leurs sentiments l’un pour l’autre parce qu’ils ne pouvaient aller nulle part ailleurs. Il n’y avait aucun endroit où se cacher, contrairement à Manhattan où ils pouvaient vaquer à leurs propres occupations, et à leurs nombreux rendez-vous. Alors ici, ils se battaient constamment. Je me souviens enfant, avoir souhaité qu’ils divorcent, mais en grandissant, il est devenu évident que ma mère n'accorderait jamais à mon père le divorce qu'il souhaitait. Elle voulait tout ce qui allait avec le nom de Wenn. Bien sûr, elle aurait gardé le nom même après le divorce, mais elle savait que mon père l’aurait anéantie socialement, et que tout ce qu’elle aurait récupéré aurait été une partie de son argent. Alors ils se battaient pour n’importe quoi. C’est pourquoi le fait de bien m’entendre avec la personne avec laquelle je suis est important pour moi. Pour rien au monde je ne vivrai ce qu’ils ont vécu. J’ai eu cette chance avec Diana, mais elle est partie.  Je n’aurais jamais pensé que cela se représenterait. Et quatre ans après, te voilà. Je suis tellement heureux que tu

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