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Jeu de Passions: Saga Infidélités
Jeu de Passions: Saga Infidélités
Jeu de Passions: Saga Infidélités
Livre électronique169 pages2 heures

Jeu de Passions: Saga Infidélités

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À propos de ce livre électronique

Jeu de Passion de  Diana Scott

Jeu de Passion est le quatrième livre de la Saga Infidélités, des romans contemporains avec une dose importante d’érotisme, d’actions et d’aventures.

Jeu de passions

Que se passe-t-il lorsque l’amour frappe à ta porte sans y être invité?

Plus de 100.000 lecteurs ont déjà lu cette saga.

Lucas l’aime mais il en a plus que ras le bol d’être seulement son amant.

Carmen n’est pas disposée à livrer son cœur à qui ne le mérite pas.  

Elle sait parfaitement bien qu’il n’est pas un saint mais les canailles méritent aussi une chance dans l’amour, n’est-ce pas?

Carmen est une jeune fille de l’époque actuelle ; décidée, avec un caractère et un sacré instinct féminin, elle sait reconnaître les malicieux et leurs petits jeux sexuels.  Les coquins ne tombent jamais amoureux, elle le sait  très bien. Il vaut mieux profiter d’eux à court terme, pour ensuite les fuir rapidement et ni vu ni connu.

Lucas  sait parfaitement bien aussi que ses jours de conquête sont terminés mais il devra se déplacer au Brésil et se battre contre un dieu en ébène appelé Paulo, qui au-delà d’être beau, il est aussi sympathique à en rager.

Lui, il est membre du  SWAT, amusant, intelligent et très attractif, quelle femme n’aimerait-elle pas être quelque chose de plus qu’être sa maîtresse et se convertir en sa raison de vivre?

Liaison, action et suspens, et un voyage convertiront cette histoire en un jeu de passions où rien ne correspond à ce que ça ressemble.

Que faire lorsque le cœur te dicte ce que la raison rejette et que la passion domine ?

LangueFrançais
ÉditeurBadPress
Date de sortie17 janv. 2019
ISBN9781547566051
Jeu de Passions: Saga Infidélités

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    Aperçu du livre

    Jeu de Passions - Diana Scott

    Jeu de passions

    Prologue

    Non pas une, mais deux

    Je ne peux pas

    Essaie-le de nouveau

    L’héritage

    Cherche et tu trouveras

    Un mois sans toi

    Je veux et je ne veux pas

    La chef d’entreprise

    Et encore un autre accident

    Vers le paradis

    Pas une fois de plus

    Si toi, tu ne le sais pas

    Jouer c’est dangereux

    Tu m’aimes, moi, je t’aime

    La campagne parfaite

    Protège ce qui est à nous

    Tu es superflu

    La manifestation

    Te revoir

    Epilogue

    N’arrête pas de lire

    Remerciements

    Prologue

    Lucas se trouvait toujours allongé sur le lit.

    Ce ne pouvait être vrai. Pas une fois de plus. 

    Après quatre-vingt-dix jours insupportables il se retrouvait à nouveaux sur de sable mouvant, sans connaître ni le terrain, ni les conditions du champ de batailles.

    Carmen n’était pas en meilleure position. Ayant rompu avec Lucas, il y a maintenant presque trois mois, et avec une tâche pas facile du tout à assumer, elle avait pensé que tout se trouvait sous contrôle. Jusqu’à cette nuit-là.

    Elle le trouva  dans ce bar et encore une fois, elle fit la même erreur. Elle savait qu’elle ne pouvait pas  tomber de nouveau ou tous les ciments de sa vie parfaitement contrôlée courraient un risque. Mais elle se trouvait là, essayant de ne pas faire de bruit pour ne pas devoir faire d’adieux en pleine obscurité comme si elle était une voleuse. 

    Une voleuse qui avait laissé plus que ses possessions physiques, elle avait devant elle l’homme capable de la faire trancher entre la raison et le cœur, la laissant vulnérable, sans bouclier pour se défendre et avec l’instabilité indescriptible dont se plaignent d’habitude les femmes amoureuses.

    A quel moment, avait-elle permis que sa relation avec Lucas soit quelque chose de plus que du sexe? Ses sentiments à son égard avaient grandi de manière si incontrôlée qu’elle n’avait pas eu d’autre choix que la rupture nette.

    Et elle se retrouvait de nouveau là.

    Cinq minutes dans un bar se transformèrent en une nuit de passion incomparable. Comme toutes celles qui se produisaient quand ils étaient ensemble. 

    Elle était censée l’avoir laissé tomber depuis quelques mois, mais  il avait suffi de l’avoir de cinq minutes en face d’elle,  et son monde parfait et ordonné s’était écroulé comme un château de cartes.

    Elle aurait dû se protéger. Ses expériences passées lui avaient enseigné que les hommes ne prétendent qu’une seule chose, te mettre dans leur lit jusqu’à ce qu’ils s’en fatiguent pour aller ensuite en chercher une autre, sans regarder celle qu’ils laissent derrière eux.

    Lucas se leva et se mit un boxer. Il se dirigea lentement vers la cuisine, non sans, auparavant se retourner  vers la jolie femme recouverte de draps qui faisait semblant de dormir. S’il s’était agi d’une autre femme, lui-même, il se serait moquer de la mauvaise interprétation artistique de la jeune femme, mais elle n’était pas n’importe laquelle. C’était elle, Carmen. Sa Carmen, son petit diable têtu aux cheveux dorés. La famille impossible d’oublier. Celle qui occupait son esprit jour et nuit comme une fièvre impossible de soigner

    Carmen était de nouveau chez lui et dans son lit, mais pour combien de temps?

    Il décida de ne pas y penser. Il retourna au lit, l’embrassa et décida de laisser faire le froid destin.

    Non pas une, mais deux

    La nuit dernière, il y a à peine douze heures, tout avait recommencé....

    Il avait été au bar pour la voir, après trois longs et désespérants mois de rupture, et, de nouveau, Lucas avait senti son cœur battre de manière incontrôlée, ses poings s’étaient serrés de tension et son corps avait insisté de l’appeler à cœur et à cri.

    Il avait senti son sang circuler en brûlant dans sses veines pareil à de la lave incontrôlée.

    Cette femme l’attirait plus n’importe quelle autre. Elle le brûlait intérieurement. Il était complétement et éperdument fou d’elle.

    Lucas avait tout essayé.

    Le temps qu’ils avaient passé ensemble, il avait fait l’impossible pour la conquérir mais la méfiance de Carmen avait si croissante et tourmentée qu’il avait été impossible de lui démontrer qu’elle était la seule avec qui il voulait dormir, se réveiller et rêver d’elle.

    Comment conquérir un amour qui ne veut pas être conquis? Comment te démontrer que tu es tout pour moi?, que tes baisers sont ce dont j’ai besoin chaque jour pour savoir quelle est ma raison de vivre, que sans toi, les journées n’ont pas de sens et les nuits sont les moments les plus difficiles à se souvenir. Si seulement, tu pouvais me croire..."

    Elle avait été la seule à être parvenue à ce qu’un homme comme lui, qui dans le passé avait été incapable de se souvenir du nom d’une femme, se sente aujourd’hui si instable.

    Cette femme était capable de le faire aimer si fort, que ses sentiments se retrouvaient sur le fil du couteau qui sépare de l’amour de la haine, au même moment  et avec la même intensité. 

    Lucas était en rage, furieux et désespérément amoureux.

    Ça faisait quatre-vingt-dix jours, qu’il se sentait stupide attendant quoi que soit pourvu que ça  que ça vienne d’elle. Un appel, un message, un email... quelque chose... un signe, un motif, une raison logique quelconque, mais rien.

    Je ne suis pas prête. Telles avaient été ses paroles.

    Et, elle était partie. Lorsqu’ils avaient été au mieux de leur relation de couple, elle avait fui le laissant dans la solitude d’un amour partagé.

    Il secoua sa tête pour ne pas se souvenir, ne rien ressentir et principalement pour ne pas avoir de regrets.

    Il se sentait idiot d’être retombé. Mille fois, il s’était répété que le jour où il la reverrait, il l’ignorerait complètement. Elle était morte et enterrée.

    Pendant ces quatre-vingt-dix jours, il était passé de l’incompréhension à la rage et à la douleur... beaucoup de douleur. Quand il l’avait fait sa connaissance, pour la première fois de sa vie, il avait voulu se laisser guider par les sentiments, sans penser à rien, et la seule chose qu’il avait obtenue, ç’avait été qu’elle l’avait laissé tomber comme un vieux chiffon que tu jettes à la poubelle, sans même te retourner.

    Il avait essayé de résister. Il avait essayé de se refuser lui-même l’idée que de l’avoir dans ses bras, c’était sentir que le temps n’existait que pour qu’ils s’aiment. 

    Carmen s’était convertie en sa faiblesse, sa seule faiblesse.

    Lorsqu’il  la vit entrer dans le bar, son cœur s’arrêta de battre.

    Malgré la distance, il put percevoir ce parfum de roses qu’elle était la seule à répandre d’un simple mouvement de ses cheveux.

    Sa façon de marcher était sensuelle, somptueuse, naturelle, non organisée... et ses yeux merveilleux et éblouissants renvoyaient de la vie, une vie que je voulais partager à l’instant même et pour toujours.

    A l’autre extrémité, elle rigolait avec cet idiot gominé qui ne cessait de la regarder comme un con et qui parvenait à lui faire circuler son sang à la vitesse d’une formule un.

    Ses sentiments le trahissaient à tel point qu’il ne pouvait pas réfléchir.

    Pourrait-elle l’avoir oublié alors que, lui, il avait encore son goût délicat sur ses lèvres?

    Lucas se tendit, il était dominé par l’envie d’aller la chercher et de réclamer ce qui lui appartenait

    Il avait horreur de la voir parler avec un autre homme et remuer ses cils comme une femme fatale, libre de tout engagement, libre de sentiments, libre de lui...

    Il ressentit le désir de la prendre par le bras et de la sortir de là. Il voulait l’écarter de tout type d’homme, en dehors de lui.

    Il voulait montrer à ce stupide gominé, qui parlait avec elle sans enlever ses yeux de son décolleté, qu’elle n’appartenait qu’à lui. Ce personnage n’avait aucun droit, ni même celui de la regarder. Il ressentait le besoin de la prendre avec lui et de se perdre dans ses montagnes de plaisir, mais ça, bien sûr après avoir fait voler sa merveilleuse coiffure de lapée de vache à cette longue perche insipide et l’avoir envoyée directement dans l’espace.

    C’est une folie

    Lucas prit une autre gorgée de sa boisson et, tout en secouant sa tête pour mettre de l’ordre dans ses pensées tourmentées, il pensa qu’il valait mieux quitter le bar, mais, c’était tout simplement impossible. 

    Ses yeux couleur océan étaient cloués sur elle et se refusaient à la laisser là.

    Lucas je ne suis pas prête. Telles avaient été ses dernières paroles avant de partir de son appartement.

    Prête à quoi!

    Il s’était comporté avec elle comme avec aucune autre. S’il vous plait, il avait même été  fidèle!

    Lui, qui, dans le passé, n’avait jamais refusé personne, il s’était transformé en fiancé parfait, qui voulait simplement rentrer à la maison pour plonger directement dans de douces caresses, savourer sa qualité de femme et pour que le monde extérieur s’arrête s’il en avait envie. Ça ne le gênait pas.

    La période, qu’ils avaient été ensemble, avait été unique et lui, il ne s’était jamais mieux senti et même,  il ne s’était jamais aussi bien comporté.... Mais, Carmen lui avait donné cette excuse stupide et sans plus, elle était partie.

    La souffrance, de ne pas la voir, avait été le pire des tourments et maintenant, là, la regarder de loin, s’en pouvoir s’approcher d’elle, c’était l’épreuve la plus qu’il n’avait jamais affrontée.

    Une semaine auparavant, il avait été à Ceuta, visant en plein cœur le chungo, chef des narcotrafiquants  du sud, pendant que trois autres chiens enragés le visaient, lui. Ces types-là l’avaient insulté et menacé de lui faire sauter le cerveau. Cependant, ni même un goutte de sueur n’avait parcouru son corps, mais cette nuit-là, il n’avait pas de force, ni de courage et il se sentait parfaitement incapable de la regarder dans ses yeux délicats, de la saluer le plus froidement possible et de partir immédiatement après. 

    Carmen riait et elle était la plus douce de ses perditions.

    Cette femme était forte, audace avec une fausse touche de mauvaise humeur qui l’embêtait bien, à lui.  

    Lucas ne put contenir l’expression d’ennui qui l’assaillait en écoutant les insinuations érotiques de cette brune banale qui se frottait sur son bras.

    On peut avoir plus de malchance. Malgré tous les bars qu’il y a à Madrid, il faut qu’on se rencontre ici et maintenant . Lucas pensa à sa malchance.

    Suivant la persistante loi d’attraction qui le poursuivait partout, leurs regards se trouvèrent et il sut qu’il ne pouvait pas y échapper.  Il devait s’approcher d’elle.

    — Ma jolie, excuse-moi, je dois saluer une amie.

    — Je vais t’attendre— répondit-elle anxieuse.

    — Il vaut mieux que nous, ma jolie. Aujourd’hui, je ne suis pas d’humeur à ça.

    La brune partit en colère et Lucas respira profondément pour faire face à l’une des pires de ses missions. Elle.

    Il marcha sans quitter son regard de celui de Carmen. Elle était tout simplement impressionnante. Ce short et une superbe chemise décontractée, accompagnant ces grands talons rouges et ses merveilleux cheveux blonds lâchés.  Elle lui coupait carrément le souffle.

    Elle était la seule à pouvoir l’hypnotiser de façon à ce que la rage de l’avoir abandonné soit remplacée par un, ne me quitte  jamais.

    Il s’approcha d’elle et d’une voix, il put prononcer.

    — Salut. Ça fait un bon bout de temps...— il essaya de paraitre indifférent mais sans résultat.

    — Oui.

    Carmen put à peine répondre. Sa voix palpitait comme une collégienne sur les nerfs.

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