Un ménage de Noël

Par Jan Springer

Lorsque le club de ménage local organise une soirée de fétichisme médical avant la fête de Noël pour une œuvre de bienfaisance, Roxie apprend que le superbe employé de bureau, Evan Johnston, jouera au docteur…

Et il offre à une chanceuse un examen sexuel érotique — avec un ménage à trois émoustillant.

Roxie veut absolument être sa patiente. Il n’y a pas de meilleur moyen de connaître intimement l’homme qui lui a volé son cœur que de monter sur la table du gynécologue pour l’examen le plus chaud de sa vie.

• Langue: Français
• Éditeur: Spunky Girl Publishing
• Date de sortie: 12 janv. 2020
• ISBN: 9781071525401

Aperçu du livre

Reconnaissance des marques de commerce

L’auteure reconnaît le statut de marque et les propriétaires de marque mentionnées dans cette œuvre de fiction :

GM : General Motors Corporation

Styrofoam : Dow Chemical Company

Chapitre un

La respiration de Roxie résonna dans ses poumons et chaque partie de son corps bourdonnait quand Evan Johnston s’approcha d’elle. Il était nu. Totalement nu, à l’exception du joli bonnet de père Noël rouge et blanc qu’il portait et du stéthoscope de docteur accroché à son cou. Il lui adressa un incroyable sourire et le bonheur bouillonna en elle. Comment avait-elle réussi à attraper le gars le plus sexy de l’entreprise de VR où ils travaillaient tous les deux ? Mon Dieu, ça devait être un rêve érotique. Evan ne voudrait pas d’une fille ordinaire comme elle, n’est-ce pas ?

Pourquoi pas ? Une voix intérieure applaudie. Tu n’es peut-être pas une reine de beauté, mais tu n’es pas non plus un vilain petit canard.

Son corps semblait tendu alors qu’il l’étudiait. Son érection était dure, épaisse et très longue. Les muscles dans sa large poitrine et dans son bras droit se contractèrent, se mirent à tressauter tout en caressant son sexe engorgé. Il se touchait avec des mouvements réguliers. Il l’observait avec les yeux les plus sombres et les plus bruns qu’elle ait jamais vus.

— J’ai attendu longtemps pour ça, Roxie, murmura-t-il en s’asseyant sur le lit à côté d’elle.

Elle ressentait sa chaleur corporelle en vagues chaudes et son odeur musquée lui détruisait les sens.

Le matelas bougea sous Roxie. Evan s’allongea et se tourna vers elle. Sa main caressait toujours son sexe. Il faisait ce qu’elle voulait lui faire. Mais elle ne pouvait pas le toucher, car ses poignets étaient liés, ses bras étirés au-dessus d’elle, attachés à la tête de lit avec des bas de soie rouge. Ses jambes étaient écartées, ses chevilles attachées.

Elle aimait ce sentiment d’impuissance. Elle adorait la façon dont il la regardait. Elle savait qu’elle était totalement à sa merci.

— Je te désire. Tellement, dit-elle dans un soupir.

— Alors, pourquoi ne m’as-tu jamais rien dit, ma douce ? Ne comprenais-tu pas à quel point je voulais être avec toi ?

Il baissa les yeux et elle suivit son regard jusqu’à l’endroit où il continuait de se toucher.

Pitié ! Son membre continuait à grandir ! Un réseau de veines pulsantes lacérait son corps rougi et son gland en forme de prune virait vers une teinte violette. Ses bourses étaient si enflées qu’elle ne s’étonnerait pas s’il avait mal comme un fou. Sa chatte se crispa. Elle voulait qu’il la pénètre.

— Je sais que tu veux que je te fasse l’amour. Pour te prendre vite et te conduire loin. Pour te donner ce que nous nous sommes tous deux refusé depuis si longtemps. Mais d’abord, un baiser.

Il se pencha sur elle. Sa main libre, large et calleuse de son travail d’entretien étendit sur le bas de son abdomen comme une traînée de feu. Il abaissa sa tête et sa bouche chaude recouvrit la sienne. Ses lèvres caressèrent les siennes. Sa langue se glissa avec une poussée exigeante qui la fit gémir devant sa force. Elle était impuissante face à un assaut d’émotions et de sensations. Sa langue la caressait comme un sexe.

La main sur son ventre descendit entre ses cuisses ouvertes. Elle gémit dans sa bouche. Un doigt se pressa entre ses lèvres intimes et pénétra dans sa chatte humide.

— C’est une vraie fontaine ici, ma douce, gémit-il, la voix basse et enrouée.

Roxie sentit le doigt d’Evan se retirer. Il utilisa son humidité gluante pour titiller son clitoris, lentement. La tension la traversait. Il glissa de nouveau son doigt en elle, recueillant plus de jus, puis massa son clitoris sensible, jusqu’à lui procurer des élancements. Ses hanches se soulevèrent instinctivement, exposant sa chatte. Elle le voulait, avait envie de lui.

Elle voulait resserrer ses cuisses, mais les liens l’en empêchaient. Elle voulait prendre son sexe et l’amener à elle, mais elle ne le pouvait pas. La frustration se mêlait à l’excitation et elle gémissait plus fort. Le désespoir l’envahissait. Ses désirs atteignaient rapidement la limite du contrôlable, une frontière qu’elle franchissait rarement à moins de connaître la personne, de lui faire confiance. Pouvait-elle se fier à Evan ?

— Jouis pour moi, ma douce, ronronna-t-il contre sa bouche en arrêtant son baiser.

Sa respiration était chaude contre son visage. Son corps lui faisait mal. Elle le désirait. Son sang coulait dans ses veines comme un éclair blanc et son vagin lui saisit le doigt alors qu’il entrait pour chercher plus de lubrifiant.

Il mit plus de pression sur son clitoris. Sa respiration était irrégulière et saccadée. Elle lécha sa lèvre inférieure. Il lui embrassa le bord de sa bouche. Si gentiment. Elle trembla contre lui. Elle adorait ses baisers légers. Il appréciait la pression de son doigt lorsqu’il glissa sur son clitoris et pénétra dans son vagin.

— Je deviens très dur pour toi, Roxie. Vraiment dur. Mais avant, je veux que tu jouisses pour