Obsédantes pulsions au tribunal pour jeune beurette

Par Silvia Roberts

Rachid a appris que notre belle jeune beurette n'est plus vierge. Elle a fait l'amour. Il décide de la confronter. Alors que Dounia s'amuse avec la petite scène de jalousie de Rachid, le caïd de la Cité lui barre le chemin à la sortie des toilettes du café...Cette fois, il la veut rien que pour lui.

Le réalisateur porno Fred veut désormais tourner un film entièrement sur une jeune beurette et propose le rôle à Dounia. Toute excitée, elle apprend qu'il s'est fait arrêter, accusé d'avoir fait tourner des filles mineures.

Son tendre et affable réalisateur pris dans la tourmente dans une machination infernale, pour le sauver, elle décide de se laisser envahir par ses obsédantes pulsions en plein Tribunal et sort le grand jeu d'une beurette des cités à la Cour...l'audience promet d'être chaude !

• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 17 avr. 2017
• ISBN: 9781370217069

Aperçu du livre

Obsédantes pulsions au tribunal pour jeune beurette

Silvia Roberts

Copyright © 2017 Silvia Roberts

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Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

***

Enfin, je m'étais déflorée. Et alors que je contais cet intime accomplissement à ma meilleure amie tunisienne Myriam, cette dernière se rapprocha de moi. Elle se faisait langoureuse et voulait m'offrir une nouvelle découverte. Elle m'embrassa alors sensuellement et m'allongea sur le lit après m'avoir ôtée tous mes vêtements. Myriam commença par me caresser chaudement la chatte. Je mouillais et des étincelles d'excitation me parcouraient tout le corps. Ma vulve gonflait et s'imbibait de mouille. Ma belle amie débuta alors son léger et tendre cunnilingus de fille. Ah, les plaisirs d'une langue sur ma chatte, c'était sans pareil. La langue charnue, tendue et voluptueuse de ma jolie gourgandine maghrébine vint s'affairer sur mon con humide. Myriam s'empressa de pourlécher tout le pourtour de ma fouffe sulfureuse. J'humais de plaisir tendrement, m'étirant dans le lit. Je fermais les yeux pour apprécier ce divin plaisir. Myriam continuait d'affablement pourlécher l'ensemble de ma petite chatte de coquine. Nous avions débuté les plaisirs saphiques.

Myriam était vraiment ténébreuse ce soir-là. Elle n'avait aucune envie d'aller dormir. Je voyais le désir étincelant dans ses yeux. Elle était face à moi, droite comme un I. Après m'avoir malaxée ardemment la chatte, comme pour me chauffer, m'exciter au plus haut point et la rejoindre, elle se mit chatte contre chatte à mon