Les poils de cul de l'esthéticienne

Par Silvia Roberts

Fanny poursuit sa première semaine en tant qu'esthéticienne. Pour son dernier rendez-vous avant le weekend, elle reçoit Madame Assoulay, une MILF peu farouche qui va exiger les choses les plus folles à celle qui est en train de l'épiler...
Fanny se remet de ses émotions, non peu fière de la tournure enfin jouissive de sa vie sexuelle. Lorsqu'elle revient chez sa mère, une surprise l'attend. Anthony, son tout premier baiser au Collège, est revenu de Londres et n'a jamais oublié la jolie Fanny...Il va le lui montrer.

• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 3 oct. 2016
• ISBN: 9781370393541

Aperçu du livre

Les poils de cul de l'esthéticienne

Silvia Roberts

Copyright © 2016 Silvia Roberts

Toute reproduction ou représentation totale ou partielle de ce livre par quelque procédé que ce soit, sans autorisation expresse écrite de l'auteur, est interdite et constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la Propriété Intellectuelle.

Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

***

Tout juste diplômée, je me préparais à débuter ma vie professionnelle en tant qu'esthéticienne. Je venais d'être embauchée dans un prestigieux institut parisien. Pour ce faire, j'allais quitter le cocon familial. Ma mère en fut toute émotionnée. Mais avec un salaire à la clef, il était temps pour moi de voler de mes propres ailes ! Cindy, ma meilleure amie connue au Lycée, m'avait aidée pour le déménagement de mes quelques cartons. Je m'installais dans un studio à Issy-les-Moulineaux, dans le 92, aux abords de la ville de Paris. Je n'avais que peu d'affaires, et il allait falloir décorer et surtout meubler mon nouvel appartement en solo. Mon chez moi. J'avais simplement un clic clac que ma mère m'avait léguée, qui me permettrait lors des premiers jours de dormir convenablement.

J'étais toujours vierge, et n'avais eu que quelques baisers volés au Collège. Mais rien au Lycée, que dalle. J'étais partagée entre les garçons et les filles. Cindy m'avait toujours plu depuis le Collège, et notre complicité m'avait fait la regarder langoureusement. Alors que nous buvions un verre de vin après la fin de déballage des cartons, nous nous étions rapprochées. Nous nous contâmes nos doux fantasmes concernant la défloration de chacune. Ainsi quelque peu enivrées, le désir se faisait ressentir de par des étincelles qui jaillissaient. Je voyais ce même désir langoureux dans les yeux de ma meilleure amie. Et ce qui devait arriver arriva. Cindy bondit sur moi, et vint déposer ses lèvres sur les