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La Salope De L'entreprise: Une Histoire Erotique D'un Employé Soumis
La Salope De L'entreprise: Une Histoire Erotique D'un Employé Soumis
La Salope De L'entreprise: Une Histoire Erotique D'un Employé Soumis
Livre électronique229 pages3 heures

La Salope De L'entreprise: Une Histoire Erotique D'un Employé Soumis

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À propos de ce livre électronique

"Finalement, Terri jeta un œil à Danielle, s'attendant à la voir la tête basse. Honteuse d'avoir encore été surpassée. Mais à la place, elle vit Danielle embrasser un des hommes et lui dire « Merci », puis lui donner cinquante dollars! Son sang se glaça alors quand elle vit l'autre homme emballer une caméra placée dans un coin de la pièce! Tout cet épisode avait été enregistré sur cassette!"

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LangueFrançais
Date de sortie29 déc. 2021
ISBN9781005682781
La Salope De L'entreprise: Une Histoire Erotique D'un Employé Soumis
Auteur

Rebecca Stone

I love writing and reading erotica. I enjoy publishing my content online and get people's perspective on my writings. I hope my readers enjoy the content I put through. Happy reading!

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    Aperçu du livre

    La Salope De L'entreprise - Rebecca Stone

    Terri et Danielle avaient été rivales toutes leurs vies.

    Bien qu'ayant grandi ensemble, elles ne s'étaient jamais vues comme des égales. En primaire, elles étaient les deux élèves les plus brillantes de leur classe, et étaient déjà en compétition féroce pour avoir le dessus. Plus tard, au lycée, la compétition prit une nouvelle forme, plus liée à leur vie sociale. Terri vola le petit copain de Danielle. Danielle trouva sa revanche en obtenant la position de capitaine de l'équipe de pom-pom girls, et récupéra son petit-ami par la même occasion. La fortune sembla ensuite avantager Terri comme celle-ci obtint les notes les plus élevées du lycée, Danielle n'arrivant qu'à la deuxième place. Puis en fac, Terri continua à avoir une moyenne toujours un peu plus haute que celle de Danielle. Elles continuaient à se disputer leurs petits amis, et Terri semblait avoir le vent en poupe, sans doute grâce à des nichons plus gros.

    Au fil du temps, les choses s'envenimèrent. Jusqu'à aujourd'hui, en 1996, où les deux femmes étaient maintenant rivales en affaire ; travaillant chacune pour une firme concurrente. Terri avait souhaité la bienvenue à Danielle dans le monde du travail en lui volant son premier client. Elle lui envoya alors un énorme bouquet de fleurs, y était accroché une énorme rosette verte où on lisait : « 2ème place. » Une autre fois, alors que Danielle se retrouva à nouveau deuxième, Terri lui envoya une carte où était écrit : « N'est-ce pas, nous autres, les blondes qui sommes supposées être idiotes? »

    Terri put encore ajouter à un autre trophée à son tableau de chasse en épousant Steven, un homme que Danielle avait pourchassé pendant plusieurs années. Lors de leur lune de miel à Hawaï, Terri expédia une lettre à Danielle. Dans l'enveloppe il y avait une carte postale où était inscrit : « Contente que tu ne sois... PAS LA! » ainsi qu'un préservatif usagé datant de sa nuit de noces.

    Un jour, pendant qu'elle concluait un contrat (celui-ci n'avait miraculeusement pas été enlevée à Danielle), le téléphone du bureau de Terri se mit à sonner.

    C'était Danielle... « Je dois te rencontrer. C'est urgent.

    — Pourquoi? demanda Terri soupçonneuse.

    — C'est d'une importance capitale pour nous deux. » Danielle expliqua à Terri où la retrouver et raccrocha.

    Les deux femmes d'affaires se rencontrèrent au parc municipal. Elles s'étaient toutes deux habillées pour impressionner l'autre et il était difficile de désigner un vainqueur : Danielle, en dehors de sa poitrine plus petite, semblait être une version brune de Terri. C'était vraiment dommage que les deux se haïssent autant, car on aurait pu les prendre pour des sœurs jumelles. Elles mesuraient un peu plus d'un mètre soixante, étaient minces et on pouvait facilement dire que c'était deux canons. Terri avait bien évidemment un costume qui mettait en avant sa poitrine avantageuse. Néanmoins, les deux femmes recevaient chacune leur lot de regards concupiscents de la part des passants.

    « Tu voulais me voir, qu'est-ce que tu veux? demanda Terri sur ses gardes.

    — Relax. Il n'y a pas de raison qu'on ne puisse pas s'entendre... commença poliment Danielle. Ce n'est pas parce qu'on est en compétition qu'on ne peut pas être amies! Allons déjeuner pour en parler. C'est moi qui régale.

    — Tu es sûre que tu peux te le permettre, deuxième-place? Terri utilisa sans se gêner le surnom de Danielle. J'ai entendu dire que tu avais perdu le contrat Jefferson la semaine dernière. » Et un à zéro pour moi se complimenta mentalement Terri. Car c'était Terri qui avait subtilisé le contrat à Danielle, comme d'habitude.

    « Je peux me le permettre, merci, ce fut tout ce que Danielle trouva à répondre, cherchant à éviter la confrontation. Je travaille sur quelque chose... ça va être ma plus grande réussite.

    — Oh? » Cette garce idiote n'apprenait donc jamais rien. Peut-être qu'un repas n'était pas une si mauvaise idée pensa Terri, elle était toujours partante pour subtiliser un bonbon des mains d'un bébé...

    Terri accepta l'offre et Danielle la conduisit à travers la ville.

    Tout en tournant dans une ruelle, Danielle faisait la conversation : « Alors, comme va Steven?

    — Il est très satisfait, se vanta Terri. Et comment va... la personne que tu vois ces temps-ci? Du moins, si tu arrives à sortir avec quelqu'un?

    — Je ne vois personne en ce moment, » esquiva Danielle

    Soudain, surgissant de derrière une benne à ordure, deux hommes se jetèrent sur elle. Chacun agrippant l'une des femmes. Et avant qu'une des deux ne puisse crier à l'aide, elles furent parquées dans un entrepôt abandonné. Puis brutalement descendu le long d'un escalier jusqu'à un sous-sol où se trouvaient de vieux bureaux et une ancienne cafétéria où Danielle et Terri furent amenées.

    « Qu'est-ce que vous voulez? demanda Danielle.

    — On va s'amuser un peu. Si vous ne nous faites pas de problèmes, personne ne sera blessé, répondit l'un des hommes.

    — Si vous nous relâchez tout de suite, on promet de ne pas avertir la police, répliqua Danielle.

    — On allait simplement déjeuner... expliqua Terri.

    — Retirez vos hauts. On veut voir vos nibards, déclara le deuxième homme. » Comme les filles hésitaient, il ajouta : « Retirez-les tout de suite... ou on les déchire. »

    Danielle commença rapidement à déboutonner son chemisier. Terri fit de même avec son costume et avec un sentiment de découragement. Dès que les hommes verraient que ses seins étaient les plus gros, ils allaient concentrer leur attention sur elle. Ils allaient sans doute passer leur temps à la violer et laisser Danielle indemne. La foutue chanceuse... Elle pourrait observer sa grande rivale se faire prendre en tournante. Cette salope allait sans doute aimer ça.

    Les deux avaient maintenant retiré leur chemisier et attendaient dans leur soutif. « Retirez ça aussi, » les exhorta-t-on. Se regardant l'une l'autre, les filles retirèrent leur soutien-gorge. Danielle avec ses 90B en avait de bien plus petits que les grosses loches de Terri qui portait du D. Mais les deux paires étaient tout aussi fermes, et leurs tétons étaient de la taille d'une pièce de monnaie.

    Les deux hommes se mirent à se relayer pour lécher et sucer les deux paires de nichons. Puis : « Il est temps de passer aux choses sérieuses... » Fermant les yeux, Terri s'attendait à ce que leurs mains crasseuses se posent sur elle et que son viol commence. À la place, un des types agrippa Danielle et l'installa sur une des tables à manger. On l'« aida » à enlever sa jupe et sa culotte, et on lui commanda de se mettre à quatre pattes et de ne porter que ses talons hauts. Les deux hommes se dévêtirent vite fait, puis le voyou #1 grimpa sur la table et monta Danielle. La petite chienne était mouillée, remarqua Terri avec dégoût.

    Terri était certaine que le voyou #2 allait imiter le premier avec elle. Ça aurait pu être pire, songea-t-elle, #2 était BEAUCOUP plus beau que le #1. Je me tape TOUJOURS les meilleurs mecs, pensa-t-elle.

    Mais #2 monta aussi sur la table où se trouvait Danielle. Se mettant à genoux en face d'elle, il guida sa queue dans sa bouche. Elle avala le chibre avec entrain, le suçant à fond. C'est ça, salope débile, pensa Terri. Fais-les jouir, ils ne penseront même pas à me violer.

    Tout en regardant le viol de Danielle, Terri sentit la jalousie commencer à la consumer. Les deux hommes l'ignoraient complètement, et ils semblaient parfaitement heureux des prestations que Danielle leur offrait! Terri n'arrivait pas à comprendre. N'était-elle pas mieux gaulée et plus baisable que sa rivale?

    Dans un gémissement #2 déchargea sa purée dans la bouche de Danielle, suivi de #1 qui, grognant, fit de même dans son con. À ce moment, Terri s'était bien échaudée à regarder sa rivale se comporter en traînée.

    Les deux hommes n'en avaient pas fini. « Refait nous bander, » exigea #2, et les deux hommes présentèrent leur bite couverte de foutre à Danielle pour qu'elle leur offre un service buccal. Elle ne les déçut pas, prenant les deux queues dans ses mains elle se mit à les caresser, à les lécher, et à les sucer jusqu'à ce qu'elles soient prêtes pour un nouveau tour.

    Terri sut que ça allait être son tour. Elle commença à enlever sa jupe, espérant en finir le plus vite possible. C'est du moins ce dont elle tenta de se convaincre. La vérité était qu'après avoir vu son archi-rivale se faire violer par deux hommes (et bien que son propre viol soit imminent,) elle était en chaleur.

    Mais à nouveau, les deux hommes l'ignorèrent. À la place, ils changèrent de place sur la table. Cette fois #2 s'enfonça en douceur dans la chatte et #1 recevait les services de la bouche de Danielle. « Dépêche-toi salope, on doit retourner au travail... » #1 grognait sans retenu pendant qu'il baisait la bouche de la femme d'affaires.

    Terri était choquée... et TRÈS jalouse. Pourquoi est-ce que ces hommes l'IGNORAIENT et ne s'occupaient que de Danielle? Ne réalisaient-ils pas qu'elle n'était que du deuxième choix comparé à elle? Est-ce qu'ils pensaient que cette traînée était MIEUX ROULÉE?

    Sortant la queue du #1 de sa bouche, Danielle jeta un œil à Terri.

    « Il semble qu'il y a finalement un truc pour lequel je te bats! » plaisanta-t-elle.

    La salope. Terri fulminait. Sans même en avoir conscience, elle s'était débarrassée de sa jupe et de sa culotte et était montée sur la table. « Bouge-toi, » ordonna-t-elle à Danielle. Et elle déclara aux hommes : « Je vais vous montrer ce que c'est qu'une vraie femme! »

    Mais les hommes se remirent à baiser Danielle. « On n'a pas besoin de toi, ta copine nous suffit, expliqua l'un d'eux.

    — On préfère les femmes plus minces, » ajouta l'autre dans un souffle.

    PLUS MINCE??? C'était le coup de grâce pour Terri. Elle qui faisait de la gym quatre fois par semaine, suivait une alimentation stricte et faisait tout ce qui était nécessaire pour avoir toujours une longueur d'avance sur Danielle. « Dégage! » cria-t-elle à Danielle. L'homme qui fourrait sa queue dans la chatte de Danielle poussa Terri dédaigneusement -- suffisamment fort pour la faire tomber par terre.

    Blessée, Terri réclama : « Je veux vous baiser tous les deux!

    — Tu es prête à le demander poliment? » lui répondit-on

    — S'il vous plaît, je veux vous baiser! Je veux baiser et sucer vos queues bien dures. S'il vous plaît... je vais vous montrer comment une vraie femme peut vous donner du plaisir. Je vous en prie... »

    Les hommes sortirent leur membre de la bouche et du con de Danielle. Terri la poussa. « Barre-toi de là, Deuxième place, et regarde comme une pro travaille, » se moqua-t-elle. Honteuse, Danielle s'assit par terre alors que Terri s'allongeait le dos contre la table. « Fourrez-moi avec vos bites, tout de suite! » #2 la mit au supplice en restant au bord de sa chatte. « S'IL TE PLAÎT BAISE-MOI!!! J'en ai vraiment besoin!!! Fourre-moi ta grosse bite dans ma chatte!!! » L'homme se montra obligeant, rentrant en elle jusqu'à la garde. Terri glapit de plaisir. Elle se déhancha au contact de son violeur, elle agrippa le chibre de l'autre homme et le conduit dans sa bouche. Son regard se fixa sur Danielle, euphorique, elle proclama : « Regarde ça, deuxième place. Regarde comme une pro suce une queue. » Sur ce, déterminée à impressionner sa rivale, Terri se démena pour donner la meilleure pipe de sa vie à un parfait étranger.

    Terri était dans son élément. Oubliant qu'elle se faisait violer afin de satisfaire quelques racailles de quartier. Oubliant qu'elle était l'une des femmes d'affaires les plus talentueuses de la ville. Oubliant complètement qu'elle vivait un mariage heureux. La seule chose à l'esprit de Terri était la satisfaction de rabaisser Danielle une nouvelle fois. Ces hommes qui avaient espéré l'humilier et l'agresser sexuellement n'étaient rien d'autre que des instruments lui permettant de parvenir à ses fins. En jetant un œil à la mine défaite de Danielle, Terri ne put s'empêcher de penser que voir cette tête abattue valait de l'or.

    La jeune femme donna une performance digne d'une star du porno. Par moment, sous le regard de Danielle, elle sortait une queue bien dure de sa bouche pour faire un commentaire de pétasse : « J'adore me faire prendre en tournante... Je me sens une vraie femme... » En un rien de temps elle eut l'homme dans sa bouche prêt à jouir. Elle retira la queue de sa bouche, et se mit à le branler. « Si tu le veux bien, je veux que tu me gicles ton sperme au visage... » roucoula Terri à son violeur/amant. Il fut enchanté de lui obéir, lâchant un copieux jet de foutre en plein sur son visage et ses cheveux. Le violeur qui s'occupait de sa chatte se retira, se mit à genoux devant Terri et se mit à s'astiquer. « Laisse-moi t'aider, » imposa-t-elle en prenant l'affaire en main ; ce qui fit aussitôt jaillir la sauce blanche sur la face de Terri. Complètement trempée, elle s'étendit sur la table, reprenant son souffle alors que les hommes se rhabillaient.

    Finalement, Terri jeta un œil à Danielle, s'attendant à la voir la tête basse. Honteuse d'avoir encore été surpassée. Mais à la place, elle vit Danielle embrasser un des hommes et lui dire « Merci », puis lui donner cinquante dollars! Son sang se glaça alors quand elle vit l'autre homme emballer une caméra placée dans un coin de la pièce! Tout cet épisode avait été enregistré sur cassette!

    Elle s'assit. « Qu'est-ce qui se passe? demanda-t-elle dans le vague.

    — Vous venez de tromper votre mari, M'dame, répondit l'homme à la caméra.

    — Vous devriez avoir honte de vous, » ajouta l'autre homme.

    Les deux types étaient partis avant que Terri ne puisse répliquer.

    — Danielle... Que... »

    — Habille-toi ''première place'', lui enjoint Danielle doucement. On va en parler en déjeunant.

    — Danielle... » articula Terri cherchant une réponse tout en récupérant ses vêtements.

    Danielle posa son talon aiguille sur le soutien-gorge de Terri avant qu'elle ne puisse l'attraper. « Appelle-moi Madââme. Et dorénavant, tu vas te passer de soutif et culotte...

    — Danielle! C'est quoi ce bordel... demanda nerveusement Terri

    — Je me demande ce que ces hommes vont faire de la cassette... ou qui pourrait la voir? s'interrogea sa rivale à voix haute. Mangeons, on a besoin de parler de tout ça. »

    --

    Trente minutes plus tard, les deux dames étaient assises dans un coin de salle de restaurant mal éclairé.

    Toute cette affaire avait été un piège. Danielle savait que Terri ne pourrait résister à une opportunité de la battre et en avait joué. Puis, ayant enregistré toute la scène, Danielle tenait maintenant sa rivale dans le creux de sa main.

    Danielle avait pris le temps de se recoiffer et de refaire son maquillage depuis « l'attaque. » Par contre Terri était encore échevelée, du sperme lui séchait dans les cheveux et sur le visage, Danielle ayant refusé qu'elle aille se rafraîchir. La jeune femme se sentait humiliée.

    « Ces hommes et cette casette m'inquiètent, confia Danielle alors qu'elle regardait le menu comme si tout était normal. Je veux dire, si la première partie était coupée, on aurait une cassette de toi, une femme mariée, demandant de se faire baiser par deux inconnus! Je ne sais pas pour toi, mais je suis vraiment anxieuse. Qu'est-ce que se passerait si ça tombait dans de mauvaises mains... ton mari... ton patron...

    — Qu'est-ce que tu veux?

    — Je voudrais manger! Je suis affamée! répondit Danielle de bonne humeur.

    — Danielle...

    — Madâââme, la corrigea Danielle.

    — Putain, Danielle, qu'est-ce que tu... »

    Se penchant tout contre Terri, et baissant la voix jusqu'à ne plus être qu'un âpre chuchotement, elle la menaça : « Salope, tout ce que j'ai à faire, c'est un coup de fil et une copie de ta petite vidéo érotique sera livré à Steven. » S'adossant à sa chaise, elle continua avec un ton de voix plus désinvolte, « qu'est-ce que tu disais?

    — C'est du chantage, tu veux noircir ma réputation. » l'accusa Terri à voix basse.

    Ce à quoi Danielle répliqua joyeusement : « Tu veux faire QUOI avec un noir??? » suffisamment fort pour attirer l'attention d'autres personnes dans le restaurant et faire rougir Terri.

    Un serveur arriva à leur table, mais Danielle le renvoya en lui disant : « Nous ne sommes pas encore prêtes, encore cinq minutes.

    — Qu'est-ce que tu veux? » répéta Terri.

    Danielle prit le temps de la réflexion « Tout de suite? On peut commencer par toi, allant sous la table, et me broutant. Que tu te mettes à utiliser ta langue à mon usage. »

    Terri était choquée. « HORS de QUESTION!!

    — Je ne pensais pas que tu le ferais. Excuse-moi, j'ai un coup de fil à passer! » Danielle sortit son portable de son sac à main et commença à composer un numéro. « Au fait... Tu as une idée d'où tu iras quand Steven t'aura jetée dehors? demanda-t-elle innocemment pendant que la liaison s'établissait.

    — Attends - » Terri était dégoûtée. Quel choix avait-elle? Sans rien ajouter d'autre, elle se glissa sous la table.

    « Bonne fille... » la complimenta Danielle, éloignant son portable et écartant les jambes.

    Terri humiliée, au bord des larmes, se mit à lécher avec gêne les cuisses de Danielle. Elle n'avait jamais

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