Lire

Fabrice Midal Les princesses ont toujours

CÉLINE NIESZAWER/FLAMMARION P récédemment, il nous a conseillé de « », proposé de « devenir narcissique » pour sauver notre peau et invités à « ». Les titres des livres de Fabrice Midal résument bien son propos: aider le lecteur à aller mieux dans un monde qui, lui, va mal. Docteur en philosophie, l'homme aux lunettes rondes et vestes de couleurs vives est LE promoteur de la méditation en France. Quand certains trouvent son discours trop marketé, d'autres lui sont reconnaissants d'avoir popularisé la pleine conscience. Le titre de son dernier ouvrage, , laisse, au premier abord, rêveur. À force de citer contes et légendes dans ses livres et conférences, il a décidé, explique-t-il, de les rassembler dans un ouvrage où se croisent en effet de nombreuses têtes couronnées. Chaque histoire révèle une leçon pour aujourd'hui. À la lecture moraliste de Perrault, ou celle, psychanalytique, de Bettelheim, il ajoute une vision philosophique. rappelle la sacralité de l'intimité, enjoint à savoir attendre le moment juste. On connaît la morale de résistance d’ moins celle de La Belle et la Bête, qui parle du consentement: «   » Quant à la petite fille au manteau rouge, elle nous parle d'altérité et de la peur de rencontrer l'autre. Moralité de cet ouvrage: gardez les livres de contes

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.

Plus de Lire

Lire1 min de lecture
Au Service De Sa Majesté
Inspirateur du personnage de Barbe-Bleue, Henri VIII est tristement connu pour sa cruauté envers ses épouses – qu’il a fait assassiner, pour certaines d’entre elles. C’est sa sixième (et dernière) femme, Catherine Parr, qui est mise à l’honneur dans
Lire1 min de lecture
(Pas) Désolée Pour Le Dérangement
Elles n’arrivent pas à sourire et à rire, lèvent les yeux au ciel, « cassent l’ambiance » dans des moments supposés de convivialité. La chercheuse Sara Ahmed leur donne ici un manuel à hauteur d’enjeu et défend la figure d’une féministe dérangeante.
Lire2 min de lecture
Que Vaut ?
C’est une « histoire de photo », quand bien même elle n’aurait ni début, ni milieu, ni fin « dignes de ce nom ». La photo, dont Linn Ullmann n’a plus trace, a été prise à Paris en janvier 1983 par un photographe reconnu qui la fait poser, elle, la fi

Associés