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Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE: Recueil d'histoires érotiques de sexe entre adulte
Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE: Recueil d'histoires érotiques de sexe entre adulte
Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE: Recueil d'histoires érotiques de sexe entre adulte
Livre électronique162 pages2 heures

Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE: Recueil d'histoires érotiques de sexe entre adulte

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À propos de ce livre électronique

Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE
Fantasmes sexuels pervers pour lui et elle

Fanatiques sexuels du genre pervers - qui ne le fait pas? Il échoue généralement simplement à agir. Parce que les tabous ou les frontières qui existent dans notre société doivent souvent être franchis.

Il est temps de vivre librement votre désir et de vous amuser avec le sexe. Érotique sans tabous. Que ce soit le sexe anal ou en groupe, gangbang ou FFM, partage de femme ou cuckolding. Chacun a droit à la satisfaction de ses penchants sexuels.

Histoires de sexe pour adultes seulement

Thèmes de contenu:
Roman érotique
à partir de 18 ans
Sexe anal
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Cocu français
Trentenaire
M.I.L.F.
Érotique pour les femmes
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Échange de partenaires
Érotique pour les hommes
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Sexe anal
Histoire d'amour
Sexe par derrière
Sexe en partenariat
LangueFrançais
Date de sortie4 déc. 2020
ISBN9782322241569
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    Aperçu du livre

    Histoires de sexe sales - Ewa Heart

    Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE

    Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE

    Une femme sensuelle

    La sensualité mystérieuse d'une femme

    Épanouissement sexuel

    Sortez de la vie sexuelle quotidienne

    Un fantasme insatisfait

    Plaisir et tourment sont proches l'un de l'autre

    Séduction de ma secrétaire

    Ma nouvelle expérience

    Je lui appartiens

    Une vraie femme de rêve

    Page de copyright

    Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE

    Une femme sensuelle

    J’enseignais le graphisme depuis 3 ans aux adultes dans un collège privé et cet étudiant, toujours assis au fond de la classe, était de loin le plus timide que je n’avais jamais eu et il me plaisait bien. Il plaisait à tout le monde en fait, il était vif, intelligent, brillant et drôle. De plus cet homme-là était né pour faire du graphisme. Il était et de loin l’étudiant le plus talentueux que j’avais eu. Pourtant, comme moi il approchait la cinquantaine, une vocation sur le tard probablement. Moi j’avais commencé a étudier dans ce domaine a 21 ans et j’avais passer ma vie dans le graphisme et ça l’intimidait, je le sentais. Je l’embarrassais beaucoup ! Même si je projetais l’image d’un petit bout de femme sur d’elle, décider, une fonceuse qui n’as peur de rien, j’étais tout le contraire, une timide moi aussi. Ça m’avait tout pris pour me décider à me lancer dans l’enseignement et la première semaine avait été un véritable calvaire pour moi. Mais j’adorais ça et je me sentais bien maintenant dans cette nouvelle carrière mais seul et Luca était beau, en plein mon genre.

    J’étais séparé depuis deux ans et coté sexe c’était au point mort littéralement, je fonçais dans le travail sans trop y pensé, et ce gars me plaisait et je lui plaisais, je le voyais bien juste a sa manière de me regarder, de baisser les yeux quand je me retournais après avoir écrit au tableau. Les autres gars le faisaient aussi, mais lui c’était plus par respect que par peur d’être surpris, ça se sentait. Ou il rougissait un peut quand je me penchais a coté de lui pour lui expliquer quelque chose sur son ordinateur.

    Il était grand, mince, un profil à la Sherloc Holmes et secret. Il portait constamment des jeans et une veste de cuir user. Pendant les pauses je discutais toujours avec mes étudiants mais c’était surtout les filles qui m’accaparais, Luca écoutait, jamais loin. Après trois mois de cour je compris qu’il ne se lancerait pas, il devait me croire marier ou en couple ou il était tout simplement trop gêné pour le faire. Moi je lavais entendu dire a un autre qu’il était séparer et vivait seul. De plus il devait se dire qu’une enseignante ne sortirait jamais avec un étudiant, mais pourquoi pas, on était entre adultes ici, je n’enseignais pas a des ados pourvu qu’on ne le cri pas sur les toits.

    Un beau jour a la toute fin des cours je décidais de prendre les devants et de l’aborder, mais de quelle manière ça, je n’en savais encore rien... J’avais rarement couru après un homme depuis la vingtaine et ça me stressait, je le comprenais donc très bien. Autant je pouvais être gêné moi aussi autant je pouvais être directe et foncer pour bien des choses. Je me mis en tête de l’inviter a souper simplement, mais je le rater a la sortit des classes, il avait disparu. Je remis donc cela a demain sauf que, comme pour bien des gens timides parfois quand on se décide ces tout ou rien et la....

    Le lendemain au collège j'entrai dans mon bureau vêtu d'une jupe étroite noire un peut plus courte qu’a l’habitude, bas nylon noir a large bande élastique aux cuisses, chandail a col rouler, moulant, noir également et un rouge éclatant sur mes lèvres bien rondes. Aux pieds je portais des petits souliers noirs aux talons plats, je déteste les talons hauts, ça fait trop rebondir mes seins et a l’approche de la cinquantaine les miens gonflait, ramollissais et remuait de plus en plus et je déteste attirer l’attention, surtout devant mes étudiants. Habituellement je cachais ma poitrine sous des tailleurs, mais pas cette fois. Ce n’est pas que je les est si gros que ça mais, ça attire l’attention des étudiants mâles et il en oublie d’écouter. Mais ce matin la quand j’entrai en classe le regard des gars s’alluma et les filles lâchèrent un « ouuhhh... » extrêmement gênant pour moi je les rappeler a l’ordre, en disant, « OK ! OK ! Les filles, » en déposant mes affaires sur le bureau et Luca n’était pas là, sa place habituelle au fond de la classe était vide. « Merde ! » Je me sentais ridicule a présent vêtu comme je l’étais et si maquiller, enfin pas tant que ça mais pour moi c’était beaucoup. Puis je me dis que les étudiants penseraient que c’était parce que c’était la dernière journée.

    Mais en regardant a nouveau vers le bureau vide mon cœur se resserras un peut, il n’avait jamais manqué une seule journée et la, c’était la dernière et il fallut qu’il choisisse celle-là pour s’absenter et moi pour me décider. Je pouvais toujours consulter son dossier, mais oserai-je l’appeler. Pourquoi pas ? Tant pis, y me restait qu’as ne pas trop m’étirer sur la pointe des pieds en écrivant au tableau.

    — Personne n’a vu Luca, demandai-je, ça ne lui ressemble pas d’être en retard !

    Tout le monde fait non.

    — Sexy notre prof ce matin, lança Monique toujours assise au premier rang en me matant des pieds à la tête comme le ferais un gars et en souriant.

    Il y eut des murmures amuser.

    — Bon, bon, OK ! Dis-je a nouveau me sentant rougir, on commence....

    Une heure plus tard je compris qu’il ne viendrait pas à sa dernière journée de cour. Au lunch du midi à la cafétéria avec les autres j’en avais fait mon deuil. Mais soudain il arriva, calme et poser sans rien dire. Je souris soulager en mordant dans mon Sand-Winch. Mon cœur s’emballa...

    De retour en classe j’évitai de trop le regarder mais je sentais ses regards a lui sur mon cul, ou je l’imaginais. En tout cas les autres eux, me le regardait sans arrêt ! Je trouver le temps long surtout quand j’écrivais au tableau j’avais toujours l’impression que ma jupe levait trop et que l’on pouvait voir la bande décorative de mes bas. Je passai la journée a avoir des bouffés de chaleur les aisselles humides.

    Vers 4 h, à la fin de cours, je le vis s’apprêter à sortir comme les autres mais pas question de le rater cette fois et quand il passa devant moi en me saluant je lui dis d’aller à mon bureau quelques minutes. Mon cœur se mit à battre en rangeant mes papiers, il me regarda étonner mais sans rien dire, je souris disant au revoir et souhaitant bonne chance aux autres puis filer aux toilettes nerveuses. La peur du refus ma toujours terroriser, comme la plupart des gens j’imagine et cela provoqua chez moi une envie pressante.

    Une fois aux toilettes je soupirer assise sur le bol petite culotte aux genoux en vidant ma vessie, je m’essuyer, tirer la chaîne puis soupirer encore en remontant mes slips et allant me laver les mains et me remettre un peut de rouge. J’étais assez joli je le savais, sans être d’une grande beauté. Beaucoup d’hommes m’abordaient avant que je ne me jette corps et âme dans l’enseignement et j’avais eu pas mal de relation à une certaine époque. Une petite brune tout de même attirante, j’avais encore une belle silhouette pas trop de gras, ni trop ronde ni trop mince avec de jolies jambes et la, sans réfléchir, je fis une chose qui n’était pas moi du tout. J’entrai a nouveau dans une cabine sous une impulsion soudaine et je glisser les mains sous ma jupe et je retirer mes slips et les fourrer dans ma mallette métallique. J’en frissonner en me demandant pourquoi je faisais ça et surtout si j’aurais le courage de sortir et de me promener dans l’école fesses et sexe a l’air pratiquement. Mes bras se couvrirent de grosse chair de poule, mais étrangement j’aimais cette sensation d’interdit.

    Et je le fis, je sortis des toilettes nerveuses, en frissonnant chaque fois que je croisais des étudiants ou d’autres enseignants et mon cœur battait plus vite et ma vulve mouillait. J’avais l’impression que ça se lisait sur mon visage que je ne portais plus mon slip et qu’il était dans ma petite valise qui battait contre ma cuisse, ma main qui serrait la poignée était moite de sueur. Je filer rapidement a mon bureau espérant ne pas rencontrer le directeur de l’école qui s’arrêtait tout le temps pour me parler. Il en pinçait pour moi, je l’avais vue dès mon premier jour, mais il était marié et père de 3 enfants et ça ne l’avait pas empêché de m’inviter à un souper en tête à tête. J’avais refusé net et il n’avait pas insisté, mais il me parlait chaque fois qu’on se croisait. Mais heureusement je ne le vis pas et entré dans mon bureau comme si j’avais le diable aux trousses, le cœur battant à toute allure et je rie toute seul, me trouvant idiote. On frappa a la porte aussitôt, « seigneur y devait être juste derrière moi et regarder mon derrière, » me dis-je en souriant, je le fis entré.

    Mon cœur bondit en le voyant hésiter devant la porte ouverte, je lui dis de venir s’asseoir. Il semblait aussi intimider que moi, il entra et s’installa sur la chaise devant mon bureau sans rien dire croisant ses longues jambes. Il portait des runnings minces noir et blanc ceux que les artistes préfèrent et moi également l’été.

    Il me regarda et me sourit, c’est la que je compris ce que j’avais envie de faire et mon pouls grimpa quand je m’assis sur le coin du bureau face a lui jambe croiser. « Pourquoi je faisais ça ? » J’avais juste a lui demander de venir souper chez moi, il serait venu j’en suis sur. Mais quelque chose que je ne contrôlais pas m’ordonnait d’être provocante. Je le sentis aussitôt très mal alaise, pauvre lui, a mon âge je savais très bien quel effet pouvait avoir sur un homme de jolie jambe bien moulé dans des bas noirs et une jupe courte. Assise comme ça les muscles de mes cuisses gonflèrent, mon sexe se dilata de plus en plus humide, j’avais l’impression d’en sentir l’odeur en souriant a Luca, je sentais même mon anus poisseux légèrement étirer contre le tissu de ma jupe, ça me donnait de drôle de sensation. Je me donnais l’impression d’être une professionnelle qui racole un client, pas juste une femme qui en pince pour un bel homme.

    Jamais je n’avais été aussi allumeuse, je ne me sentais pas correct de faire ça mais en même temps j’avais tellement envie de lui que j’en avais mal au ventre. En faite je n’avais plus le contrôle sur moi, plus du tout. Je sentis un feu couvrir dans mes veines, mes seins gonfler dans mon soutien-gorge noir en dentelle, même mes mamelons qui s’allongeait et me chatouillaient et devaient paraître, je n’oser même pas regarder mais mes joues s’empourprèrent encore plus tandis que je ramenais mes cheveux fins derrière mes oreilles essayant de paraître calme et détendue. Je dus avaler ma salive avant de lui demander :

    — Pis Luca, qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?

    Il déglutit aussi, ça devait le mettre dans tout ses états d’avoir mes jambes juste sous les yeux....Si je les avais décroisés et écartés juste un peu il aurait eu une vue imprenable sur mon sexe. Pensé ça me donna encore la chair de poule et me fit suer abondamment, sous les seins surtout et dans ma craque de fesses.

    — Prendre de petite vacance, ç’a été six mois intensifs.

    — WAIS, c’est très intense comme matière., affirmai-je croisant les bras sous mes seins les gonflant encore plus.

    Du coin de l’oeil je vis cette fois mes mamelons qui paraissaient terriblement, là je voulais fondre, une bouffée de chaleur me monta au visage. Je replier mes orteils dans mon soulier droit mon talon en sortit et le soulier tomba entre ses pieds. « Merde ! » me dis-je en décroisant les jambes pour me pencher en même temps que lui en m’agrippant au rebord de la table, il le regarda amuser et le ramassa.

    Mon cœur s’emballa et sans vraiment réfléchir j’écartai les cuisses et quand il se releva mon soulier en main il ne put s’empêcher de jeter un regard sous ma jupe, très vite, mais pas assez pour que je ne m’en aperçoive pas et il le savait et rougie, cela avait été plus fort que lui et je l’avais voulue inconsciemment mais ça, il ne le savait pas. Que devait-il penser en voyant que je n’avais pas de petite culotte, en apercevant ma vulve humide et ma toison ovale, que

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