Tu seras offerte sans tabou

Par Silvia Roberts

Les choses ne tournent pas rond entre Marc et Amélie. Sur les conseils de la belle Sandra, notre ravissante Domina décide de rompre avec lui. Mais le jeune homme le prend mal, se fâche et lui assène des mots âcres. Amélie est peinée.

Notre jolie Domina souhaite retrouver des couleurs. Pour ce faire, elle retourne au club de soirées libertines, où elle n'a pas oublié le beau et grand black Robert, qui fut soumis en l’enfourchant dignement il y a peu. Robert se montre entreprenant, en l'amenant à l'étage en compagnie de deux complices...le fouet n'est pas loin !

Épisode 4 sur 4 d’une serial (une serial est composée de plusieurs épisodes qui reprennent les mêmes personnages mais pouvant être lus individuellement).
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• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 4 janv. 2017
• ISBN: 9781370059324

Aperçu du livre

DOMINA 4 – Tu seras offerte sans tabou

Silvia Roberts

Copyright © 2017 Silvia Roberts

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Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

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En prépa, à Ipesup, je m'étais fait une bonne copine. Sandra était rousse avec le visage émaillé de grains de beauté. Elle était très jolie, et me plaisait beaucoup. A mesure de parler de tout et de rien, les cours, me relation naissante avec Marc, un silence s'installa. Pesant. Nous nous regardions, et nous mîmes à nous toucher. Après s'être embrassées, nous réalisâmes que nous en avions toujours eu envie toutes les deux. Que de temps de perdu ! Mais il me fallait me confesser à la jolie Sandra. Je lui indiquai donc que j'étais une Domina. Les plaisirs BDSM étaient de véritables fantasmes que j'avais besoin d'assouvir. Sandra fut très réceptive. A tel point qu'elle me prépara une surprise. Après m'avoir demandée de me mettre entièrement nue, elle sortit deux cordes, qu'elle enroula autour de mon corps. Ainsi, elle me suspendit aux rebords des fenêtres. Elle avait un sourire malicieux, j'étais à sa merci. Elle voulait retourner les choses. Elle me contourna, et finit par s'affairer à mon entrejambe. Je lui était offerte. Sandra vint pourlécher mon con humide, avec sa langue charnue et terriblement pendue sur ma vulve ardente qui gonflait et mouillait à vue d’œil. L'instant était propice aux plaisirs saphiques.

La belle gourgandine continuait de durablement caresser ma fouffe mouillée. C'était rudement bon, je prenais mon pieds. Dès lors, à mesure que sa langue parcoure les chemins sinueux de mon minou, j'humais intensément et langoureusement de