Le gynécologue défloreur

Par Silvia Roberts

Marc est un gynécologue de 35 ans, marié sans enfant. Bien qu'il fasse toujours l'amour avec son épouse, Typhaine, cette dernière n'éprouve aucune vigueur lors de l'acte passionnel, sans gémir. Cela le tracasse et le plonge dans une certaine morosité.
C'est à ce moment là que Maria, jeune fille vierge de dix-huit ans, fait irruption dans son cabinet. Elle réclame un examen en vue de préparer sa défloration. Notre beau et galant gynécologue lui prépare alors un « examen » des plus particuliers...

• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 30 nov. 2016
• ISBN: 9781370654697

Aperçu du livre

Le gynécologue défloreur

Silvia Roberts

Copyright © 2016 Silvia Roberts

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Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

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Je m'appelais Marc. Jeune gynécologue de 35 ans, marié, sans enfant. Nous avions atteint la morosité avec Typhaine, mon épouse du même âge. Nous nous étions rencontrés au Lycée et nous étions jamais quittés. Un amour fidèle, mais aujourd'hui teinté d'amertume. Typhaine n'avait jamais voulu travailler, un choix de sa part que j'avais accepté. Avec mon cabinet de gynécologie, je gagnais suffisamment pour nous deux. Nous avions pu nous payer une belle maison en pleine campagne. Là, j'y revivais. Mais notre couple n'avait plus d'âme. Nous nous aimions toujours, certes, mais il n'y avait plus l'étincelle d'avant. La routine s'était installée. Je sentais bien que les journées de mon épouse était vides. Elle ne s'occupait pas, et semblait répercuter son ennui sur moi. A chaque fois que je rentrais du cabinet le soir, je voyais le désarroi dans son regard. Nous avions passé plus d'une soirée sans dire un mot. J'aurais aimé qu'elle se trouve des occupations. Mais Typhaine était une grande timide, qui avait toujours eu du mal à se faire des amis. Pourtant, sexuellement, nous nous étions toujours bien entendus. Nous avions toujours envie de l'autre, et le faisions malgré tout assez régulièrement. Tant mieux, car j'en avais besoin pour tuer la morosité. Mais j'aurais aimé aussi connaître la jouissance ultime. Celle de nos premières années, juste avant notre mariage à vingt-cinq ans.

La soirée que je vais vous confier fut à la fois des plus anodines et des plus répandues de notre quotidien. Alors qu'il m'arrivait de travailler au cabinet certains samedi, pour éviter l'ennui qui habitait mon jeune épouse et ne pas sombrer dans un marasme habituel