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Rêves Érotiques 7 - Histoires Erotiques Très Chaudes: Dix Histoires De Sexe
Rêves Érotiques 7 - Histoires Erotiques Très Chaudes: Dix Histoires De Sexe
Rêves Érotiques 7 - Histoires Erotiques Très Chaudes: Dix Histoires De Sexe
Livre électronique120 pages1 heure

Rêves Érotiques 7 - Histoires Erotiques Très Chaudes: Dix Histoires De Sexe

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À propos de ce livre électronique

Rêves Érotiques
Histoires Erotiques Très Chaudes
Dix Histoires De Sexe


Si vous voulez savoir si un homme s'intéresse au sexe et à l'érotisme, il vous suffit de vous tenir nu devant lui et de vous pencher en avant.

S'il réagit raisonnablement normalement, il commencera immédiatement à travailler sur vos fesses. Les hommes semblent avoir cet instinct sexuel depuis des temps immémoriaux, peut-être à partir du moment où ils se déplaçaient encore sur quatre jambes.

Nous, les femmes, pouvons être absolument certaines qu'un homme aura spontanément envie de regarder un cul de femme aux joues écartées et utilisera ce fait pour nous. C'est exactement cette envie érotique dans mes histoires de sexe.

Faites attention: la consommation de nouvelles érotiques peut être excitante.

Contenu: Sexe et érotique à partir de 18 ans, non censuré et vulgaire, le tout en français.
LangueFrançais
Date de sortie19 juin 2023
ISBN9782322211814
Rêves Érotiques 7 - Histoires Erotiques Très Chaudes: Dix Histoires De Sexe
Auteur

Chloé Dubois

Jouer avec le feu Un cocu est un homme qui acquiert du plaisir sexuel grâce au contact intime de son partenaire avec d'autres hommes. Le cocu peut préférer un comportement voyeuriste, masochiste et / ou soumis. Le cocu est généralement soumis, le cocu lui-même est un composant commun au sein de la femdom. Le cocu aime être dominé par les femmes. Cela peut l'exciter si son partenaire a un ou plusieurs amants. L'humiliation dans ce domaine peut également avoir un effet érotique sur le cocu. La subordination s'étend aussi souvent à l'amant, car le cocu joue également un rôle de soumission envers lui et se laisse dominer et humilier. Cela peut aller si loin que le cocu prend le rôle d'un serviteur. Des services sexuels tels que le cunnilingus préparatoire ou le nettoyage de la zone intime du couple après les rapports sexuels sont pratiqués. Dans le domaine du femdom, la chasteté du cocu en fait partie. Histoires de sexe Histoires courtes érotiques Un roman érotique adulte

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    Aperçu du livre

    Rêves Érotiques 7 - Histoires Erotiques Très Chaudes - Chloé Dubois

    Ma soumission

    L'histoire que je vais vous conter s'est déroulée quand j'étais étudiante. Je venais d'aménager dans mon appartement et je commençais à me faire quelques amis. Parmi eux, il y avait un certain Serge. Lorsque je l'ai rencontré, j'ai tout de suite remarqué son regard pénétrant, son air mystérieux, son attitude. Je pense que je suis tombée amoureuse de lui mais je n'osais pas me l'avouer. Il m'a d'ailleurs laissé penser à plusieurs reprises que je ne lui étais pas indifférente.

    Aussi, à la fin d'une soirée, je lui ai fait comprendre qu'il pouvait tenter sa chance s'il le souhaitait. Quelques minutes plus tard, nous voilà tous les deux chez moi à nous embrasser goulument. Subitement, il me repoussa, ouvrit sa braguette et me tendit un préservatif.

    « Suce-moi ! »

    « Pardon ? »

    « Suce-moi et ne m'oblige pas à me répéter... »

    Son regard était devenu noir, glaçant. Comme un pantin, je me suis mise à genoux. J'ai enfilé le préservatif sur son sexe. Je suis friande de sexe mais de cette façon, trop directe, c'était une première. J'ai pris en bouche son sexe et ai commencé à lui donner du plaisir. Doucement, je faisais aller et venir son membre entre mes lèvres et faisant tourner ma langue autour de son gland. Je faisais en sorte de maintenir son plaisir mais sans le faire jouir. Mais visiblement, ce traitement n'était pas celui qu'il attendait.

    « Tu attends quoi pour me faire juter ? »

    « On n’est pas pressés, chéri ! »

    « Moi oui. Tu crois qu’ j'ai envie de passer ma nuit dans ta bouche ? »

    Sur ces paroles, il me releva d'un coup et me plaça contre la table. D'une main experte, il releva ma jupe et m'enleva la culotte. De l'autre, il me maintenait fermement le torse collé à la table. Sa deuxième main commença à glisser entre mes fesses et un doigt humide se fraya un chemin dans mon petit trou.

    « Non, pas par-là ! Je n'ai jamais fait par-là ! »

    « Tu es vierge du cul ? Dit-il en ricanant »

    -« Arrête ! Tu me fais peur là... »

    Puis je senti le sexe de Serge contre ma rondelle. Il pressa doucement et mes chairs s'écartèrent. La douleur était assez intense mais son gland finit par passer. Lorsqu'il fut en moi, il m'attrapa par les épaules et s'enfonça en moi d'un coup sec. J'eus l'impression d'être transpercée par un pieu brulant. J'eus tellement mal que des larmes commencèrent à rouler sur mes joues. Il entama des allers et retours entre mes fesses. Je ressentais un peu de plaisir mais largement trop peu pour me faire oublier la douleur. J'eus l'impression que cette sodomie durait des heures.

    Il finit tout de même par jouir. J'ai senti les spasmes de son sexe dans mon anus. Il se vida dans la capote et se retira, laissant le préservatif en moi. Il se rhabilla prestement.

    « Je reviens te voir demain. A toi de voir si tu veux me laisser entrer ou pas... »

    Il me laissa seule, l'anus douloureux et le préservatif pendant à celui-ci. Je le retirais, allais me nettoyer et me mis au lit, bouleversée.

    Le lendemain, en fin de journée, on frappa à ma porte. Mon cœur fit un saut périlleux arrière dans ma poitrine. J'allais ouvrir la porte, il était là... souriant, toujours aussi beau...

    « Bonsoir... Bien dormi ? »

    « Euh... pas trop en fait... Euh... Bonsoir » balbutiais-je

    « Je peux entrer ? »

    Je m'écartais du pas de la porte lui laissant la place de pénétrer chez moi. Il entra et me prit dans ses bras. Il m'embrassa tendrement, amoureusement puis reprit son chemin vers l'intérieur.

    Il me fit m'asseoir sur le bord du lit. Il vint se mettre à genoux face à moi et m'enlaça. Ses mains me caressèrent jusqu'à arriver à la braguette de mon jean. Il me la déboutonna puis me fit me lever baissant d'un coup mon jean et ma culotte. Il se leva et il m'embrassa le cou en caressant mes seins et la naissance de mon pubis. Puis une de ses main passa de l'autre côté et empoigna mes fesses. Avec la deuxième, il me tendit un préservatif. Je lui ouvris et lui installa sur le sexe. Il me fit alors me tourner et une main ferme me contraint à me pencher en avant. Un de ses doigts, bien humidifié entra dans mon anus. Il était plus doux que la première fois et je me décidais, ou peut-être n'avais-je pas le choix, à le laisser faire. Il m'écarta encore plus en insérant un deuxième doigt entre mes fesses. Puis il pointa son sexe et entra en moi, centimètre par centimètre. Lorsqu'il m'eut investi entièrement, il se mit à aller et venir brutalement en me tenant fermement par les hanches. Au bout de longues minutes de coups de butoir brutaux, il se figea en moi et déversa son foutre au fond de la capote. Il se retira.

    Je me tournais alors vers lui et lui dit :

    « A mon tour, maintenant... »

    Il ricana et finit de s'habiller. Il m'expliqua qu'il avait ressenti en moi mon besoin d'être utilisée par un homme et qu'il serait ravi d'être cet homme-là. Il me proposa alors de réfléchir et de lui donner une réponse en lui offrant le double des clés de mon appartement. Si je lui donnais, en les déposants dans sa boîte aux lettres, cela voulait dire que j'acceptais de lui appartenir.

    Lorsque je suis allée lui déposer mes clés, il y avait un petit mot sur la boîte :

    « Tu as fait le bon choix. ».

    Les semaines suivantes, Serge vint me voir à de plusieurs reprises. Il pouvait venir à toute heure du jour et de la nuit. Il prenait d'ailleurs plaisir à pénétrer chez moi en pleine nuit et à me réveiller pour obtenir ce qu'il voulait de moi. Le plus souvent, il se contentait de me faire l'amour, tendrement, amoureusement, comme un amant attentionné. Quelques fois, il me forçait à lui faire des fellations jouissant sur mes seins ou au sol et m'obligeant à tout nettoyer, même lui. Il pouvait aussi pénétrer chez moi et, sans aucun mot, me sodomiser jusqu'à ce qu'il jouisse, laissant sa capote remplie dans mon anus.

    Mais il lui arrivait aussi de venir simplement pour passer du temps avec moi. J'étais dominée, soumise, souillée, utilisée... mais heureuse comme jamais. Une nuit, alors qu'il venait de jouir dans mes fesses, il m'ordonna de ne pas bouger.

    J'étais nue, à quatre pattes, au sol, avec le préservatif dans mon anus. Il me dit d'écouter sans dire le moindre mot.

    « Tu es une très bonne baiseuse. Et tu aimes ça. Tu es une bonne petite salope. Et tu le sais. Tu es un trésor, un chef d'œuvre du sexe. Et je ne veux pas que ce chef d'œuvre reste enfermé. J'ai donc décidé de l'ouvrir au public. Mais j'en serais le gardien. Je prêterais ta clé à qui bon me semblera et celui qui l'aura pourra profiter de toi à sa guise pendant une nuit. Je ne te préviendrais pas à l'avance... Bien sûr, en tant que gardien, je veillerais à ta sécurité et à ta conservation. Es-tu d'accord? »

    Des larmes silencieuses coulaient de mes yeux et s'écrasaient devant moi sur le sol. J'imaginais déjà la file de garçons devant ma porte attendant leur tour. Soudain une claque violente sur mes fesses fit trembler tout mon corps.

    « REPONDS-MOI ! »

    Je levais alors les yeux vers lui et y percevais une lueur inconnue, comme une peur glaçante mais enrobée d'une tendresse. Un signe de la tête lui donna mon accord. Il vint alors vers moi, me serra fort contre lui et me dit :

    « Je t'aime. Je suis heureux de tout ce que tu fais pour moi. Tu fais de moi un homme comblé. Je t'aime. »

    Et il me fit l'amour une nouvelle fois... passionnément. Puis un jour, ce qui devait arriver, arriva. J'étais sur mon lit, en pyjama et peignoir en train de regarder la télé quand la porte de mon appartement s'ouvrit. Je me suis levée d'un bon pour accueillir Serge. La personne que j'ai vu dans l'entrée n'était pas lui. Il s'agissait d'un jeune homme avec des lunettes et les cheveux en vrac. Il portait une petite chemise blanche et un pantalon en velours marron sous une veste d'un autre temps. Il la posa sur une chaise, s'avança vers moi et balbutia :

    « Bonsoir. Un certain Serge m'a donné cette clé. Je dois lui rendre demain matin. Il m'a dit que celle qui y est fera tout ce que je voudrais. C'est une blague, non ?

    - Non. C'est vrai mais tu veux quoi ?

    - Je ne sais pas... Tu peux faire quoi ?

    - Serge ne t'a rien dit ?

    - Si, il m'a dit de rien faire de méchant. De profiter mais de ne pas abuser...

    - Alors ?

    - Tu peux te déshabiller ? »

    Surprise de cette demande simple, j'ai enlevé un à un mes vêtements pour me retrouver nue face à cet inconnu. Il semblait troublé. Il rajusta ses lunettes et approcha de moi. Il commença à me caresser doucement puis me demanda si je voulais bien lui donner du plaisir. Je lui répondis que je ferais tout ce qu'il voudrait. Il me dit de me mettre à genoux puis il ouvrit sa braguette libérant un sexe de taille modeste mais déjà bien bandé. Il me demanda de lui mettre une capote puis

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