Prostituée punie par le frère

Par Silvia Roberts

Après avoir offert sa présence à sa meilleure amie Pascaline, notre belle et jeune prostituée Léa retrouve enfin son beau Larry...

Le beau gentleman lui fait l'amour toute la nuit, certes tarifé, mais à rester jusqu'au petit matin. Larry a une faveur à demander à Léa. Il lui demande de passer une nuit avec Hugo, son petit frère.

Hugo paraît angélique. Calme, et attentionné. Mais une fois au lit, au moment de se donner à lui, Léa va découvrir une tout autre facette bien plus audacieuse...Elle sera punie !

• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 1 févr. 2017
• ISBN: 9781370810017

Aperçu du livre

Prostituée punie par le frère

Silvia Roberts

Copyright © 2017 Silvia Roberts

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Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

***

Ma carrière d'escorte se poursuivait. Elle battait son plein, même. J'étais riche. Je venais de faire l'acquisition d'un appartement quatre pièces en plein Paris. Mon grand frère, qui avait toujours eu une scolarité fructueuse me jalousait. L'été dernier, il avait décidé de couper les ponts. Il avait signifié à la famille qu'il n'acceptait pas la tournure de ma vie. Grand bien m'en fasse. Du côté de mes parents, c'était l'incompréhension la plus totale. Mais c'était une revanche pour moi sur ma mère qui m'avait toujours harcelée durant mon adolescence pendant ma scolarité chaotique. Aujourd'hui, quel que fût le chemin, j'avais réussi. J'étais blindée aux As, encore nettement plus riche que mon grand frère pourtant cadre bancaire. Il s'était trouvé une femme et avait commencé sa petite famille. Pour sûr qu'un homme bien placé et ayant suffisamment d'argent n'aurait aucun problème à trouver une épouse dévouée qui lui ferait des enfants. Ainsi était devenue la société avec la féminisation. Car je constatais que cette dernière produisait du célibataire, même les femmes n'étant pas épargnées par ce phénomène. Pour autant, c'était plus facile pour elles de trouver un conjoint que par rapport à un homme. Elles avaient le choix, quand les misérables garçons peinaient, trimaient. Pauvres d'eux. J'étais heureuse parfois de pouvoir en satisfaire quelques uns avec mes services.

Dernièrement, j'avais eu une expérience cocasse qui m'avait beaucoup amusée. Un jeune gredin au visage poupon, sans poil sur les joues, m'avait rendue visite avec sa voix douce et angélique. Il était objectivement puceau et venait se dépuceler le poireau. Je l'accueillis affablement. Je voulais lui faire plaisir, et étais flattée de l'honneur qu'il me faisait en m'offrant sa virginité. Il fût d'abord très timide. Malgré le fait que je me sois mise nue, il peinait à bander. Alors, de ma chatte et de mes