Esthéticienne déflorée par un DSK

Par Silvia Roberts

Fanny est jeune fille vierge tout juste diplômée, qui vient d'être recrutée dans un prestigieux institut d'esthéticienne parisien.
Alors que sa meilleure amie Cindy l'aide pour son déménagement, les deux comparses échangent sur leur doux fantasme pour leur défloration. L'atmosphère en devient électrique...
Pour son premier jour à l'institut, Fanny reçoit un client important. Monsieur Cohen est en effet dirigeant d'une grande banque. Alors qu'il se montre courtois et respectueux, notre jeune esthéticienne se laisse gagner par le charisme démesuré et le visage séduisant de ce grand homme d'affaires. Jusqu'à, sentant l'avoir conquise, il vient déposer ses mains sur le haut de ses cuisses...

• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 3 oct. 2016
• ISBN: 9781370967520

Aperçu du livre

Esthéticienne déflorée par un DSK

Silvia Roberts

Copyright © 2016 Silvia Roberts

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Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

***

Je venais d'obtenir mon diplôme d'esthéticienne, alors âgée de vingt-deux ans. Moi, la petite Fanny, j'allais entrer dans le grand bain de la vie active. Je stressais. Après un parcours scolaire chaotique, en dents de scie, j'étais demeurée sérieuse lors de mes études, et j'avais obtenu de bonnes notes. Ma mère était enfin soulagée. Mon père, lui, était parti à mes six ans. Il n'avait jamais vraiment été là pour moi et a vite trompé ma mère. Il est parti pour une plus jeune, classique. Depuis, j'ai dû le voir tous les deux ans. Vous l'aurez compris, je n'étais pas proche de lui. Il ne s'était jamais intéressé à mon sort ou à mes études. De toutes façons, pour lui, un diplôme d'esthéticienne n'aurait eu aucune valeur. Je ferais très bien sans lui ! Je vivais toujours chez ma mère, mais alors que j'avais été embauchée dans un institut sur Paris, je me préparais à déménager. Quitter le cocon familial et avoir mon premier chez moi. Ma mère en était toute émoustillée. Me concernant, même si cela me procurait une certaine émotion, vive, je me réjouissais d'avoir mon indépendance et de voler de mes propres ailes. Ma mère ne pouvait pas me payer un studio pendant mes études avec son maigre salaire d'assistante sociale. Mais là, tout était différent ! J'aurais ma propre paye. Maman m'aiderait les premiers mois, jusqu'à la fin de ma période d'essai. Elle était une mère dévouée et très protectrice. Je l'aimais beaucoup.

C'était donc le dernier jour dans le cocon familial. Ma meilleure amie Cindy, rencontrée au Lycée, en Seconde, nous aidait pour les cartons. Nous avions loué avec Maman une fourgonnette, et hop, c'était direction Issy-les-Moulineaux ! Je n'avais pas non plus les moyens d'avoir un appartement en plein Paris.

Les cartons ainsi emballés et enchâssés dans la camionnette, c'était le moment du grand départ. Maman avait les larmes aux yeux. Ma petite Môman.

- Tu m'appelles quand tu arrives. Et s'il y a la moindre chose, quelque chose qui manque, ou quelque chose qui ne va pas dans ton nouveau studio, surtout, tu m'appelles.

- Oui Maman. Mais ne t'inquiète pas, tout ira bien.