Kristina, avocate dépucelée à l'embauche

Par Silvia Roberts

Kristina est une jeune femme qui vient d'obtenir le barreau. Encore vierge, son petit ami la quitte, s'étant lassé de devoir attendre, encore et toujours.
Alors qu'une de ses deux meilleures amies lui conte sa défloration, Kristina se laisse un moment aller à connaître tous ces plaisirs. C'est lors d'un entretien pour le moins incongru qu'elle va devoir tout faire à l'embauche pour obtenir ledit poste d'avocat...

• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 20 oct. 2016
• ISBN: 9781370136810

Aperçu du livre

Kristina, avocate dépucelée à l'embauche

Silvia Roberts

Copyright © 2016 Silvia Roberts

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Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

***

Je m'appelais Kristina, et à l'aube de mes vingt-cinq ans, je venais d'obtenir le barreau après plusieurs années très studieuses à l'Université. Je m'étais engagée dans le droit sans réel but, et le barreau était venu naturellement. J'étais ainsi diplômée de l'Université Panthéon-Assas Paris II et reçue au concours prestigieux parisien pour devenir avocat à la Cour. Mes parents étaient fiers !

A la fac, je m'étais faite deux excellentes amies, Marina et Ambre. Marina était une jeune fille italienne, sublime. Elle avait toujours eu les garçons à ses pieds. Alors que j'étais encore vierge du fait de ma timidité, elles s'étaient toutes deux envoyées en l'air pendant nos années universitaires. Et elles étaient derrière moi pour qu'enfin j'offre ma rose ! Les tigresses. Mais je ne me sentais pas encore prête, surtout après ma dernière désillusion amoureuse. J'avais rencontré Pascal à Assas, et nous avions débuté une idylle il y avait deux ans de cela. N'étant pas prête à faire l'amour, il avait dû se montrer patient. Trop, certainement. En tout cas, c'était l'avis de Marina. Mes deux amies m'avaient pourtant pressée pour enfin m'offrir à lui. Et j'avais fini par user Pascal, dont j'étais objectivement amoureuse. Le soir des résultats du concours, alors que nous l'avions tous eu dans notre petit groupe d'amis à la fac, il m'indiqua qu'il avait besoin de me voir.

- On a eu le concours, yeay Pascal. A nous le barreau.

- Oui.

Je le trouvais quelque peu distant et il esquiva mon début d'embrassade.

- Quelque chose ne