L'ami de mon père

Par Olivia Joly

Je connais Tristan depuis des années. Il s’agit du meilleur ami de mon père qui m’a pratiquement élevée, lui aussi. Mais lorsqu’il me conduit à l’aéroport, la tension entre nous est palpable, voir même insupportable. Serait-ce dû au fait que je me sois transformée en une belle jeune femme attirante? Ou à mes tenues légèrement provocantes ? Tristan était un tombeur, et il reste toujours aussi diaboliquement sexy, malgré qu’il soit un peu plus âgé que moi. Les pensées érotiques à son sujet devraient me répugner, me dégoûter, mais en réalité, elles deviennent de plus en plus excitantes. Sur le trajet, sa voiture tombe en panne, et après m’avoir surpris en train de me masturber, on se retrouve à devoir passer la nuit rien que tous les deux ...

Un duo chaud et torride vous attend dans cette Nouvelle érotique, réservée à un public averti!

• Langue: Français
• Éditeur: RomansBrûlants
• Date de sortie: 29 févr. 2024
• ISBN: 9798215617687

Aperçu du livre

L’AMI DE MON PÈRE

J'apportai les dernière retouches à mon maquillage. Je me regardai une dernière fois dans le miroir. Hé ben, j'y suis vraiment allée, cette fois, pensai-je. Je ne me maquillais habituellement pas autant, mais cette fois-ci c'était autre chose. Je suppose que j'étais juste excitée. Après tout, j'allais partir en vacances après avoir obtenu mon diplôme universitaire, et je n'avais pas pris de vacances depuis que Tristan m'avait emmenée au parc d'attractions lorsque j'avais 12 ans.

Je précise : Tristan n'est pas mon père. Il est le meilleur ami de mon père, et je le connais depuis que je suis bébé. En fait, ma mère et mon père ne s'en sortaient pas financièrement quand ils m'ont eue. J'étais une heureuse surprise, et ils ont passé une grande partie de leur temps à travailler pour s'assurer que je ferais des études convenables, et que j'aurais une chance de m'en sortir dans ce monde cruel qui ne leur en avait laissé aucune. Cela signifiait que Tristan avait dû s'occuper de moi la plupart du temps. Il était célibataire (du moins, c'est ce qui me semblait) et avait grandi avec mon père : il faisait un peu partie de la famille. Je ne faisais pas le compte, mais j'avais probablement passé plus de temps avec Tristan qu'avec mon père lorsque j'étais petite. Je ne lui en veux pas et ne lui reproche rien : c'est juste un fait.

D'ailleurs, j'avais parfois espéré voir un peu plus mes parents, mais je comprenais désormais qu'ils avaient travaillé très dur pour m'offrir une belle vie, et j'étais enfin prête à récolter les bénéfices de leur labeur. Ils avaient financé mes études, et maintenant que je les avais rendus fiers en passant mon diplôme avec mention, ils me récompensaient par