Éprise de Mon Mystérieux Mari

Par popnovel

Valeria Brown était la fille unique de la famille Brown, une famille plutôt aisée.
Elle avait une meilleure amie, Ashley. Mais celle-ci et sa mère avaient l'intention de tout lui prendre.
Par ailleurs, Mason, qui était sorti avec Valeria pendant quatre ans, la trompa.
Elle surprit son petit ami, Mason, en train d'embrasser Ashley dans la voiture !
Cependant, cette dernière n'eut aucune honte. Au contraire, elle drogua Valeria avant de demander à un gigolo de la dépuceler.
D'une manière inattendue, un inconnu surgit de nulle part pour chasser le gigolo. Il était au courant de ce qui se passait.
Lorsque Valeria s'était réveillée, elle découvrit cet homme inconnu et sexy s'allonger à côté d'elle.
Elle se souvenait que selon Ashley, cet homme était un gigolo. A ces pensées, elle s'énervait.
Mais en fait, cet homme, qui avait sauvé Valeria du gigolo et qui avait couché avec elle, n'était autre que le plus riche PDG…

• Langue: Français
• Éditeur: Publishdrive
• Date de sortie: 8 avr. 2022

Aperçu du livre

Catalogue

Chapitre 1  Avoir couché avec un gigolo

Chapitre 2 Elle a découvert la tromperie de son père

Chapitre 3  La mère et la fille effrontées

Chapitre 4  Le pire est en train d’arriver

Chapitre 5  Le grand patron se montrait en public

Chapitre 6  Provocation

Chapitre 7  Pour qui vous prenez vous ?

Chapitre 8  Une blague

Chapitre 9  Votre carte est bloquée

Chapitre 10  C’était un homme charmant et autoritaire

Chapitre 11  Qui était cet homme ?

Chapitre 12  Je devais être aveugle à l’époque !

Chapitre 13  Montre-moi la preuve

Chapitre 14  Se sentir bouleversé

Chapitre 15  Tu es une fille stupide et tu le mérites

Chapitre 16  Tu t'es renseigné sur moi ?

Chapitre 17  Laisse-moi faire le reste

Chapitre 18  Si effrontée

Chapitre 19  Très maligne

Chapitre 20  Des larmes ruisselaient sur ses joues

Chapitre 21  Un homme à la langue tranchante

Chapitre 22  Emménager chez lui

Chapitre 23   Un vrai homme ne doit pas avoir aucune pitié

Chapitre 24  Inconsciente

Chapitre 25  Une touche finale

Chapitre 26  Une mort certaine

Chapitre 27  Plus de soucis à se faire

Chapitre 28  Petit ami

Chapitre 29  Tu m'as supplié

Chapitre 30  Le téléphone continue à sonner

Chapitre 31  La colère la rongeait

Chapitre 32  L'impulsivité est comme un démon

Chapitre 33  Un canard rusé valait mieux qu’un phénix en détresse

Chapitre 34  La mettre sur la sellette

Chapitre 35  Elle est plus malicieuse

Chapitre 36  Une vidéo de surveillance

Chapitre 37  Plus on monte, plus la chute est grande

Chapitre 38  Il reste encore un combat difficile

Chapitre 39  Une discussion en direct

Chapitre 40  Des brouhahas à la fête

Chapitre 41  Une contre-attaque

Chapitre 42  La preuve

Chapitre 43  Ne sentir que la joie

Chapitre 44  Envieuse, jalouse et extrêmement furieuse

Chapitre 45  Le président du groupe Wolf

Chapitre 46  Elle n'avait pas été aussi heureuse depuis très longtemps

Chapitre 47  Mettez-les dehors !

Chapitre 48  Le jeu devient amusant

Chapitre 49  Je suis à toi

Chapitre 50  Elle était tellement préoccupée

Chapitre 51  Le soleil se levait à l'ouest

Chapitre 52  L'hypocrisie

Chapitre 1  Avoir couché avec un gigolo

— Humm, ça fait tellement mal ! 

Valeria Brown, qui était encore dans un profond sommeil, se sentait extrêmement mal à l'aise. Elle se retourna et roula dans le torse d'un homme.

Ce contact qu'elle eut avec cet être complètement étranger la réveilla en sursaut. Soudain, un beau visage d'homme lui apparut devant ses yeux.

Au début, Valeria crut qu'elle rêvait. Incrédule, elle tendit la main pour toucher le visage en face d'elle.

Au même moment, l'homme ouvrit ses yeux et la fixa. Quand leurs regards se croisèrent, Valeria poussa un cri et sauta sur le côté.

Elle réalisa donc qu'elle ne portait rien. Valeria bégaya en attrapant immédiatement la couverture pour s'y enrouler.

— Qui… Qui es-tu ? Pourquoi es-tu ici ?

L'homme plissa les yeux. Puis, son regard erra sur l'épaule de Valeria.

— Ton sauveur, répondit-il à voix basse. Ses yeux s'assombrirent.

Son sauveur ? Stupéfaite, Valeria observa le bel homme couché sur le lit. Elle pensa à la voix pleine de ressentiment de sa meilleure amie Ashley Evans qu'elle avait entendue la nuit dernière avant de perdre connaissance.

« Valeria, je viens de mettre le philtre le plus fort dans ton thé à l'instant. En tant qu'une amie, je t'ai trouvé le meilleur gigolo ici. Il est plutôt jeune et joli. Amuse-toi bien ! Je crois que quand Mason verra la photo de toi en train de jouer avec d'autres hommes, il va rompre avec toi. Quand cela arrivera, je deviendrai sa nouvelle petite amie. »

Alors, ce beau mec était-il le gigolo qu'Ashley avait trouvé pour elle ?

En pensant à cela, Valeria se sentait tellement irritée et son visage devenait pâle. Elle attrapa alors l'oreiller à côté d'elle avant de le jeter sur l'homme.

— Je vais te mettre en prison et tu n'y sortiras jamais !

Face à une telle rage, l'homme semblait être étrangement calme. Il attrapa simplement l'oreiller. Il n'était pas du tout effrayé.

— La nuit dernière, tu m'as pris dans tes bras. En fait, tu faisais tout de ton plein gré. Tu crois que la police va te croire ?

Valeria mordit la lèvre sous l'effet de la colère. Bien qu'elle soit furieuse, elle garda son bon sens.

L'homme avait raison. Elle ne pouvait pas se présenter à la police. La nuit dernière, elle était tombée dans le piège d'Ashley tout en étant inconsciente. Elle n'avait probablement pas résisté du tout et était arrivée même à lui proposer de coucher avec elle. Selon ces circonstances, la police n'allait pas croire à ses paroles.

Mais si elle ne se rendait pas à la police, son innocence serait ruinée à jamais par un homme indigne. Comme il était sale !

Valeria ne pouvait pas accepter le fait que sa virginité ait été prise par un gigolo grossier.

En voyant son visage désespéré, l'homme eut pitié d'elle.

— Même si c'était toi qui se jetais sur moi en premier hier soir, je peux garder ma responsabilité envers toi si tu veux, disait-il d'une voix douce après avoir vu les marques rouges sur le drap.

Un gigolo responsable ? N'était-ce pas une grosse blague ?

De nouveau en colère, Valeria pointa l'homme du doigt et rugit de façon incontrôlée.

— Dégage de là ! Ou je te tue !

Face à son hystérie, l'homme se leva, ramassa ses vêtements avec désinvolture et les enfila sans aucune panique.

Après s'être habillé, il tourna la tête, sortit une carte de visite de sa poche et la tendit à Valeria.

— Si tu passes par ici, appelle-moi. Je pense vraiment ce que je dis…

Mais Valeria arracha la carte sans y jeter un coup d'œil.

— Sors !

N'ayant pas d'autre choix, l'homme lui jeta un dernier regard profond et tourna les talons.

Après avoir fermé la porte, il entendit la fille sangloter dans la pièce. Ainsi, il s'arrêta un moment, puis secoua la tête et traversa le couloir.

Deux hommes, ressemblant à des gardes du corps, apparurent discrètement au bout du couloir.

— Monsieur Howard ! s'exclamaient-ils à l'encontre de l'homme inconnu.

Ce dernier reprit son expression habituelle, pleine de dignité et d'arrogance.

— Vérifiez le profil de la fille et faites-moi un rapport tout de suite !

— Oui, monsieur Howard !

Chapitre 2 Elle a découvert la tromperie de son père

Après avoir pleuré pendant un moment, Valeria sécha ses larmes et se rendait à la salle de bain, épuisée.

Sa silhouette harmonieuse se reflétait dans le miroir, et son corps était plein d'égratignures, y compris son cou.

Devant cela, Valeria se sentait si mal. Elle se lavait sans s'arrêter.

En tout compte fait, ce qui était fait était fait. On ne pouvait plus faire un retour en arrière.

Elle se sentait si énervée !

Valeria avait été piégée par sa meilleure amie Ashley. Elle devait retrouver cette dernière et lui demander des explications.

Après un moment, Valeria était sortie de l'hôtel. Elle prit tout de suite un taxi pour se rendre chez Ashley. Arrivée à sa destination, elle constata que c'était la mère d'Ashley, Julie Evans, qui ouvrit la porte.

Julie portait une chemise de nuit et ses cheveux étaient en désordre. Elle semblait être très surprise quand elle vit Valeria.

— Valeria, es-tu venue ici pour chercher Ashley ? Elle n'est pas à la maison en ce moment.

Comme Valeria ne la crut pas, elle la repoussa pour entrer dans la maison.

— Valeria ! Ashley n'est pas là ! S'il te plaît, reviens une autre fois, s'écria Julie en arrêtant Valeria à enfoncer la porte tout en jetant un coup d'œil à sa chambre.

Valeria remarqua le regard suspicieux de Julie. De ce fait, elle croyait qu'Ashley devait se cacher dans la chambre. Sans perdre du temps, elle se dirigea vers la chambre en question et ouvrit la porte. Une odeur étrange s'en dégageait.

Valeria ne put s'empêcher de se couvrir la bouche quand elle vit l'homme assis sur le lit. Elle avait du mal à y croire.

— Papa ?

L'homme torse nu assis juste en face d'elle était son père, Ronald Brown. Pourquoi était-il chez Julie ?

Valeria pensait qu'elle se trompait. Elle se frotta à nouveau les yeux comme pour se rassurer. Oui, l'homme sur le lit était bien son père, Ronald Brown.

A ce moment-là, son esprit était complètement bouleversé. Elle ne savait pas quoi dire.

— Papa, pourquoi es-tu ici ? bafouilla-t-elle.

Ronald était furieux puisque sa propre fille avait découvert sa liaison.

— Sors d'ici ! rugit-il.

Valeria était partie, étourdie. Elle se demandait pourquoi son père était nu dans le lit de Julie ? Et la seule explication possible était que Ronald avait une liaison avec Julie.

A ce moment-là, une ombre de froideur brilla dans les yeux de Julie.

Son plan était d'amener un gigolo venant d'une boîte de nuit à coucher avec Valeria pour créer un scandale plus tard. Cette idée avait pour but de détruire sa réputation.

Toutefois, Valeria avait eu de la chance que quelqu'un se précipite et assomme le gigolo.

Comme il n'y avait pas d'autre moyen de détruire Valeria, Julie avait décidé de la laisser délibérément découvrir la relation entre Ronald et elle.

Valeria avait l'air très en colère et c'était exactement ce que Julie voulait voir.

De cette façon, elle et sa fille pourraient saisir la chance de faire partie de la famille Brown.

Bien que Julie n'ait pas une grande estime pour Valeria, elle fit semblant d'être très impliquée et essaya de lui expliquer.

— Valeria, ce n'est pas ce que tu penses. Ton père et moi n'avons rien à voir. Nous avons juste…

Valeria l'interrompit en foudroyant Julie du regard :

— Alors pourquoi mon père se retrouve dans ton lit ?

Elle pensait que c'était sans doute cette femme sans vergogne qui avait séduit son père. Ni la mère ni la fille n'étaient des femmes honnêtes. L'une tentait son père, quant à l'autre, elle convoitait son fiancé.

— Espèce de s*lope sans vergogne ! Et ta fille est aussi éduquée pour devenir une maîtresse. Mais quelle famille immonde !

— Valeria, qu'est-ce que tu es en train de faire ? Pourquoi tu insultes ma mère ?

Ashley, qui ne s'était pas manifestée auparavant, était apparue de nulle part.

Chapitre 3  La mère et la fille effrontées

Les yeux de Valeria brillèrent de colère quand elle vit Ashley

— Te voilà. J'étais sur le point de me venger de toi. Pourquoi tu m'as piégée hier ?

— De quoi tu parles ? Qui t'as piégée ? rétorqua Ashley en faisant mine d'être innocente.

— Valeria, tu ne peux pas calomnier Ashley. C'est une fille si obéissante. Comment pourrait-elle te piéger ? intervint Julie.

— Tu le nies ? Tu crois que je ne sais pas quoi faire de vous deux ?

Cette mère et cette fille effrontées exaspéraient Valeria. Elle leva donc la main et gifla fortement le visage d'Ashley.

Ashley n'évita pas la gifle. Elle sentit une douleur brûlante sur son visage. Juste après cela, des larmes coulèrent de ses yeux.

Devant une telle scène, Julie attrapa le poignet de Valeria.

— Valeria, pourquoi as-tu frappé Ashley ? Elle n'a rien fait de mal !

Puis, d'une manière discrète, elle serra très fort le poignet de Valeria sans aucune pitié. En ressentant une douleur insupportable, cette dernière repoussa Julie.

C'était le moment tant attendu par Julie. Elle se cogna la tête sur la table à thé en tombant. Ensuite, elle saigna. Du sang commença à se couler.

— Maman ! Que s'est-il passé ? Valeria, comment peux-tu faire ça à ma mère ?

Après s'être habillé, Ronald ouvrit la porte et vit Julie étendue sur le sol. D'abord, il sursauta, ensuite il courut pour vérifier de plus près.

— Julie, tu vas bien ?

— Je vais bien, mais Ashley…

A ces mots, Ronald tourna la tête vers Ashley. Il put constater une marque de main très distincte sur son visage.

— Qu'est-ce que tu as sur le visage ? râla Ronald en s'adressant à Ashley.

— Ronald, ne blâme pas Valeria. Elle était juste très emportée par ses émotions, fit Julie pour faire semblant de défendre Valeria. En parlant, son regard se pointait dans la direction d'Ashley.

On dirait que cette dernière fut signalée. Elle savait s'en prendre.

— Papa, ça n'a pas d'importance si Valeria m'a frappée. De toute façon, ce n'est pas la première fois. Mais ne laisse pas ma mère seule, s'il te plaît. Laisseras-tu Valeria à la menacer ? se plaignait-elle à Ronald en pleurant.

Valeria était confuse.

— Qu'est-ce que tu as dit ? Comment viens-tu d'appeler mon père ?

— J'ai dit « Papa », rétorqua Ashley.

— Ashley, ne fais pas ça ! coupa Julie.

— Papa, combien de temps comptes-tu garder ce secret ? Même si tu n'as pas de considération pour ma mère, tu dois penser à moi, non ? Est-ce que tu veux que je vive avec la honte d'être une fille illégitime toute ma vie ?

Ashley n'écouta pas Julie cette fois et elle continua à pleurer et à se plaindre.

De son côté, Ronald était très en colère, mais il ne savait pas quoi faire. En fait, la vérité ne pouvait plus être cachée, et il était temps pour lui de tout dire à Valeria.

— Valeria ! En fait, Julie et moi sommes ensemble depuis longtemps. Et Ashley fait aussi partie de notre famille. C'est ta sœur !

— Quoi ?

Valeria était complètement abasourdie. Elle regarda Ronald. Un soupçon de culpabilité se faisait voir sur le visage de Ronald.

— Valeria, c'est de ma faute. Julie était enceinte quand ta mère et moi sommes mariés. Je ne savais pas qu'elle avait donné naissance à Ashley. Je leur dois beaucoup. J'ai décidé de ne pas te le dite parce que j'avais peur de te rendre malheureuse par cette vérité. Mais puisqu'on en a parlé aujourd'hui, à partir de maintenant, on est une famille.

Valeria l'interrompit avec colère :

— Papa, comment peux-tu dire ça ? Une famille ? Je veux que tu saches que j'ai décidé de couper un pont avec eux, maintenant et pour toujours !

Chapitre 4  Le pire est en train d’arriver

Valeria avait mis Ronald en colère pour ce qu'elle avait dit.

— Valeria, je ne veux plus entendre aucun mot grossier sortir de ta bouche, dit Ronald sur un ton sérieux.

Devant lui, Julie continuait à faire semblant d'être douce et sympathique.