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Un Patron Indécent
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Livre électronique135 pages1 heure

Un Patron Indécent

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À propos de ce livre électronique

Mon assistante virtuelle va comprendre qui est le patron…



Je dirige cette foutue société, mais il n'y a pas moyen d'avoir une aide décente… à part Olivia.

C'est mon assistante de réserve depuis des années, et elle travaille à distance du milieu de nulle part.
Je la paierai le double, lui donnerai des jours de congé, tout pour pouvoir respecter ce délai.

Je n'ai vraiment pas besoin d'une autre distraction.
Je n'ai jamais rencontré Olivia, mais j'imagine qu'elle est vieille fille, la quarantaine avec une dizaine de chats.
Idéale pour m'éviter les problèmes. Pas de tentation possible.


Jusqu'à ce qu'Olivia entre dans mon bureau, et c'est une vraie bombe aux yeux émeraude.
Je ne peux que secouer la tête en me disant que je suis vraiment dans le pétrin.
Et ma queue se dresse et s'exclame : « Ah ça oui, tu l'es ! 
»

Note de l'auteur:


Cette nouvelle pleine de sex-appeal vous fera passer un bon moment. Elle peut être lue sans connaître le reste de la série, et il n'y a pas d'infidélité !


LangueFrançais
ÉditeurJ. S. Wilder
Date de sortie13 avr. 2022
ISBN9798201799670
Un Patron Indécent

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    Aperçu du livre

    Un Patron Indécent - Sarwah Creed

    Un Patron Indécent

    Sarwah Creed

    Translation Copyright © 2021 Sarwah Creed 

    A Boss with Benefits© 2021 Sarwah Creed

    La reproduction de tout ou partie de ce livre est interdite, sous quelque forme que ce soit ou par tout moyen électronique ou mécanique, y compris les systèmes de stockage et de recherche d’informations, sans autorisation écrite de l’auteur, sauf pour l'utilisation, dans une critique de livre, de brèves citations.

    A Boss with Benefits est une œuvre de fiction. Les noms, personnages, entreprises, lieux, événements et incidents sont soit le fruit de l’imagination de l’auteur, soit utilisés de manière fictive. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou mortes, ou avec des événements réels est purement fortuite. Cette histoire aborde des thèmes adultes et peut contenir un langage parfois dur, ainsi que des situations sexuelles. Elle est uniquement destinée aux lecteurs adultes. 

    Tous les personnages impliqués dans les situations mentionnées ci-dessus sont âgés de plus de 18 ans, et tous les actes sexuels sont consentis.

    Vellum flower icon Réalisé avec Vellum

    À propos de Sarwah Creed

    Sarwah Creed est l’auteure de la série The FlirtChat. Elle écrit des romances contemporaines et érotiques, avec un ou plusieurs hommes adorant la même femme. Ses héroïnes sont adulées, choyées et aimées.

    Quand Sarwah n’écrit pas, elle court, lit et écoute de la musique. 

    Elle habite avec ses trois enfants à Madrid.

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    Table des matières

    Un patron indécent

    Chapitre un

    Chapitre deux

    Chapitre trois

    Chapitre quatre

    Chapitre cinq

    Chapitre six

    Olivia

    Chapitre sept

    Chapitre huit

    Chapitre neuf

    Chapitre dix

    Olivia

    Chapitre onze

    Chapitre douze

    Chapitre treize

    Chapitre quatorze

    Épilogue

    À propos de Sarwah Creed

    Du même auteur

    Triple #Sexto - Prologue

    Un patron indécent

    Mon assistante virtuelle va comprendre qui est le patron…

    Je dirige cette foutue société, mais il n’y a pas moyen d’avoir une aide décente… à part Olivia.

    C’est mon assistante de réserve depuis des années, et elle travaille à distance du milieu de nulle part.

    Je la paierai le double, lui donnerai des jours de congé, tout pour pouvoir respecter ce délai.

    Je n’ai vraiment pas besoin d’une autre distraction.

    Je n’ai jamais rencontré Olivia, mais j’imagine qu’elle est vieille fille, la quarantaine avec une dizaine de chats.

    Idéale pour m’éviter les problèmes. Pas de tentation possible.

    Jusqu’à ce qu’Olivia entre dans mon bureau, et c’est une vraie bombe aux yeux émeraude.

    Je ne peux que secouer la tête en me disant que je suis vraiment dans le pétrin.

    Et ma queue se dresse et s’exclame : « Ah ça oui, tu l’es ! »

    Note de l’auteur :

    Cette nouvelle pleine de sex-appeal vous fera passer un bon moment. Elle peut être lue sans connaître le reste de la série, et il n’y a pas d’infidélité !

    Chapitre un

    Ross

    — Mais qu’est-ce que tu veux, putain ? aboyé-je contre Scarlett, ma secrétaire sexy du Kansas, alors qu’elle entre dans mon bureau.

    Je n’aurais pas dû être si grossier ni lui crier dessus. Mais je suis fatigué et à bout de patience. Nous les New-Yorkais, nous avons une façon de parler qui par moments paraît grossière aux yeux du reste du pays, mais pour nous, c’est naturel.

    De toute façon, Scarlett est ma secrétaire, pas ma femme. J’ai commis l’erreur de la baiser une fois et ai répété cette erreur toute la semaine.

    Un homme devrait toujours apprendre de ses erreurs.

    J’aurais dû mettre un terme à tout cela lundi.

    Mardi était trop tentant.

    Mercredi, cela devenait un peu bête… et les jours suivants ne furent que pure stupidité et j’en paye le prix.

    En général, lorsqu’une femme me voit dans ma salle de jeux avec un fouet, elle me demande d’être gentil, ou quand j’ai une raquette, elle exige que j’y aille doucement.

    Mais pas Scarlett ; elle est le fantasme de tout homme, que ce soit dans une salle de jeu, une salle de conférence, un bureau, un parking ou un ascenseur, mais pas dans ma chambre. Elle s’est trop attachée dès que j’ai fait l’erreur de l’y baiser.

    C’est alors qu’elle s’est montrée sous son vrai jour, et ce n’était pas beau à voir. Elle a tout gâché le jeudi quand elle m’a supplié de l’étreindre au lit. C’est une chose que je ne fais jamais, mais pendant que je la portais de la salle de jeu au salon, elle a demandé si elle pouvait s’allonger dans mon lit un moment. Elle me regardait avec des yeux langoureux, et j’ai bêtement cédé. Dieu seul sait comment, mais elle a réussi à rester toute la nuit. Aucune femme ne passe la nuit chez moi, j’aurais donc dû tout arrêter là, mais je ne l’ai pas fait. J’étais un idiot excité, mais après cette nuit-là, j’ai pris la décision qu’elle ne viendrait plus jamais chez moi.

    J’irais chez elle, tirerais mon coup, et dès qu’elle serait endormie, je m’esquiverais. J’arrive toujours à l’épuiser, me sauver en douce ne serait donc pas difficile.

    Grossière erreur.

    Je suis maintenant coincé avec une femme… qui s’accroche. Un frisson de dégoût me parcourt, à peine ce mot me vient à l’esprit. Je lève les yeux lorsqu’elle me rejoint dans mon bureau, une petite larme commençant déjà à se former dans le coin de son œil.

    — J’ai l’impression d’être utilisée…

    Elle renifle légèrement en s’approchant de moi et là, l’appréhension me noue le ventre.

    C’est parti…

    — Comme s’il n’y avait que mon corps qui t’intéressait et rien d’autre.

    Elle se met à faire la moue, et je me doute qu’elle prépare quelque chose, car elle a laissé la porte ouverte. Nous sommes dans mon bureau et elle parle de problèmes de cœur. Mais pour moi, ce sont des problèmes de cul, et je sens qu’elle manigance quelque chose. Cela ne va pas bien se passer, loin de là. Elle veut que tout le monde entende. Et je ne veux pas que le personnel sache que j’ai recommencé.

    Encore une fois.

    La même putain d’idiotie contre laquelle les relations humaines, la direction, mes parents, mes amis et même ma femme de ménage m’ont déjà trop souvent mis en garde, et pourtant je l’ai refait.

    Je me lève rapidement et ferme la porte. Je me tourne vers elle pour la réconforter et trouver un moyen de m’extirper de cet énorme pétrin que j’ai créé, une fois de plus !

    Peut-être que si elle n’était plus ma secrétaire, cette énorme connerie disparaîtrait. Je la regarde d’un air interrogateur, essayant de gagner du temps, puis me détourne comme pour réfléchir à ce qu’elle vient de dire. Je dois rapidement trouver une solution. Je pourrais la virer, lui dire de sortir et de ne pas revenir, mais il se peut que cela se retourne contre moi.

    Si je n’y vais pas doucement, elle pourrait aller aux ressources humaines et leur dire que je ne peux pas me tenir. L’agence d’emploi s’occuperait de mon cas et fermerait le compte de la société pour harcèlement sexuel, et j’aurais peut-être même un procès sur les bras. Un autre compte fermé à cause de mon incapacité à me contrôler. Je dois réfléchir vite, je suis milliardaire, putain. C’est ce que je fais toute la journée. Ce n’est pas si différent d’un accord que je dois passer si je veux sortir vainqueur.

    — Il faut que tu réfléchisses à tout ça, lui dis-je.

    — Comment ?

    Elle a raison, où je vais avec ça ?

    Ma voix est enrouée, car j’ai fait l’aller-retour en courant pour fermer la porte, j’ai les mains moites à force de réfléchir à une solution, et j’ai la tête qui tourne comme pas possible. J’ai une réunion importante dans vingt minutes. Quand la vie est-elle devenue si compliquée et à quel moment ai-je perdu le contrôle ?

    Comment ai-je pu commettre à nouveau une erreur aussi stupide ?

    — Je sais que tu penses que je ne t’apprécie pas.

    J’observe ses yeux bleu marine, mon visage figé en un masque de contrition, de fausse contrition, mais elle n’a pas besoin de le savoir. Je décide de jouer le jeu, pour l’instant au moins, jusqu’à ce que ma réunion soit passée. Cela me laissera le temps de réfléchir et de trouver un plan.

    — Mais ce n’est pas le cas. Tu es si belle.

    Je caresse ses longs cheveux clairs en me disant que c’est vrai que les blondes savent mieux s’amuser. Une fois de plus, je suis distrait et laisse mes mains glisser vers ses seins. Ces gros melons bien ronds qui pourraient me rassasier pendant un mois tout entier. Ils sont tellement pulpeux que je commence à ouvrir son chemisier. Pas seulement à l’ouvrir, mais plutôt à l’arracher en faisant sauter les boutons tandis que l’eau me monte à la bouche et que ma verge s’éveille.

    — Tu vois, tu recommences. Un simple regard à mon corps, et tu veux me prendre.

    Perplexe, je fronce le sourcil gauche et pince les lèvres.

    Pardon ?

    Elle ne s’est jamais plainte auparavant.

    Mon regard descend vers son chemisier blanc qui recouvre ses merveilleux globes. Baiser, hum, oui baiser est précisément ce dont j’ai envie, là tout de suite.

    — Merde, tes seins, je n’ai jamais été avec femme avec des seins aussi gros…

    Je frôle sa poitrine, mais il y a une comme sorte d’échafaudage qui la retient. D’ordinaire, elle porte des soutiens-gorge sexy. Mais pas aujourd’hui. Elle a un engin qui devrait être illégal pour toute personne de moins de cent ans.

    Elle me repousse, mais je suis comme un loup affamé, prêt à devenir fou. Merde, elle est prête à me satisfaire, qu’elle le veuille ou non.

    — Ne fais pas

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