Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Calvin
Calvin
Calvin
Livre électronique78 pages1 heure

Calvin

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Quand la sœur de Calvin est kidnappée sera-t-il obligé de trahir un ami pour la récupérer ou Alesandro, le vampire sexy viendra-t-il à son secours ?

LangueFrançais
ÉditeurAmber Kell
Date de sortie14 déc. 2014
ISBN9781310058585
Calvin
Auteur

Amber Kell

Amber Kell is a dreamer who has been writing stories in her head for as long as she could remember.She lives in Seattle with her husband, two sons, three cats and one very stupid dog. To learn more about her current books or works in progress, check out her blog at http://amberkell.wordpress.com.Her fans can also reach her at amberkellwrites@gmail.com.

Auteurs associés

Lié à Calvin

Titres dans cette série (15)

Voir plus

Livres électroniques liés

Fiction gay pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Calvin

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Calvin - Amber Kell

    PROLOGUE

    — Vous savez ce que vous avez à faire, railla la voix profonde provenant des ombres.

    Calvin Sanders se tenait dans un entrepôt vide. Les odeurs de moisissures, d’urine et d’excréments emplissaient l’air, menaçant de le faire vomir pendant qu’il examinait le portrait d’un superbe homme blond qui brillait comme un rayon de soleil pris au piège.

    Comment sa vie avait-elle pu en arriver là ?

    — Je vais le capturer et vous l’amener.

    Il plissa les yeux dans l’obscurité, essayant de distinguer la forme de l’orateur, mais sa vision ne pouvait pas pénétrer la noirceur profonde de l’entrepôt.

    — Et qu’allez-vous lui faire ?

    — Ce ne sont pas vos affaires, grogna l’étranger. Il a tué mon frère. Amenez-le-moi et je m’assurerai que votre sœur ne soit pas la prochaine personne à mourir.

    — Elle va revenir en bonne santé ? demanda Calvin.

    Contre sa volonté, ses yeux revinrent sur la photo de sa sœur ligotée, les yeux écarquillés de terreur. En face d’elle se trouvait un journal maintenu en place pour qu’il puisse voir la date. Hier. Sa pauvre petite sœur était à la merci de ces psychotiques depuis hier. Des frissons secouèrent son corps en pensant à tout ce qu’ils pourraient faire à une jeune fille de vingt ans en vingt-quatre heures.

    — Elle sera relâchée.

    Il ne manqua pas l’évitement des mots « bonne santé » de la part de l’orateur. Calvin n’avait pas confiance en l’homme qui ne voulait pas lui dire son nom ou montrer son visage, mais quel autre choix avait-il ? Laisser sa sœur entre les mains de ce psychotique évident n’était pas une option, même s’il avait du mal à croire que cet homme à l’apparence innocente ait tué quelqu’un. Bien sûr, que le blond ait tué quelqu’un ou non n’avait pas d’importance dans l’ordre des choses, il voulait que sa sœur revienne.

    — Elle va bien ?

    Il ne pouvait pas retenir la note suppliante dans sa voix, même s’il avait souhaité pouvoir la reprendre.

    — Vous ne pouvez que l’espérer, n’est-ce pas ?

    — Je veux lui parler avant de faire ça.

    — Vous êtes dans la fausse illusion que vous avez des options, Monsieur Sanders. Vous n’avez que deux choix. Vous pouvez faire ce que je dis et sauver votre sœur, ou vous pouvez choisir de ne pas le faire et je peux vous rendre son corps morceau par morceau.

    Calvin ferma les yeux, se battant contre l’envie de pleurer. Il n’était pas quelqu’un de fort et loin d’être comme l’un de ces héros de films d’action qui aurait évité tous les coups de feu, aurait tué tous les méchants avant de sauver la fille et probablement le monde. Il était un menuisier qui avait essayé d’élever une petite fille qui avait perdu ses parents beaucoup trop jeune. Jusqu’à maintenant, il avait pensé qu’il avait fait un bon travail. Jusqu’à ce que celui-ci ne devienne la raison pour laquelle elle avait été kidnappée.

    Il n’allait plus jamais accepter un boulot où il devrait à nouveau travailler pour des paranormaux.

    Enfoirés !

    Ils savaient tous les deux qu’il n’avait aucune option, mais la pensée qu’elle puisse être déjà morte causa une vive douleur dans son cœur. Il prit une profonde inspiration.

    — Je vais le faire.

    — Je savais que nous parviendrions à un accord, dit l’homme, sa voix ronronnant de satisfaction. Ne perdez pas trop de temps à le capturer. Je n’ai pas beaucoup de patience et je ne peux pas vous garantir la sécurité de votre sœur plus longtemps qu’une semaine.

    Calvin hocha la tête, son estomac se retourna alors qu’il fuyait l’entrepôt sous des éclats de rire.

    CHAPITRE UN

    Alesandro se pencha et parla à l’oreille du magnifique bond.

    — Penses-tu qu’il soit célibataire ?

    — Peut-être. Il ne porte pas d’alliance et il m’a regardé quand nous avons été présentés.

    Le vampire grogna.

    — Cela signifie seulement qu’il n’est pas aveugle.

    Un rire rauque fut la seule réponse de son compagnon. Al sourit. Il aimait faire rire Anthony. Au cours de ces derniers mois de la construction de l’hôtel réservé uniquement pour les paranormaux, ils étaient devenus de bons amis. Il admirait beaucoup Anthony, c’était un homme doux et un brillant architecte. La réunion de ce soir était pour parler avec le menuisier de la conception des suites pour les vampires.

    Tous les deux étaient parvenus à un accord où Al, le maître vampire d’un petit groupe offrait des consultations en échange de l’utilisation occasionnelle d’une des chambres. Les vampires étaient extrêmement territoriaux et cela ferait preuve d’un geste conciliant lorsqu’un vampire important qu’il ne voulait pas héberger viendrait en ville.

    Regardant l’homme appétissant se pencher pour prendre une mesure, il devait admettre qu’il y avait plus d’un avantage à cet arrangement.

    — Arrête de baver ! Tu vas rendre ce pauvre homme nerveux. Sans mentionner qu’il pourrait glisser dans une zone humide, dit Anthony avec un sourire taquin.

    — Le nom du pauvre homme est Calvin, dit le menuisier en se retournant et en regardant les deux hommes. Et le jour où cela me dérangera d’être regardé par deux hommes magnifiques sera le jour où ils creuseront un trou pour me jeter dedans parce que je serais mort.

    Il leur adressa un sourire, montrant une paire de fossettes profondes dans ses joues tannées. Ses yeux bruns pétillaient

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1