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Prédateur De Soumises
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Livre électronique97 pages1 heure

Prédateur De Soumises

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À propos de ce livre électronique

Un prédateur de soumises dans ses péripéties insatiables et rubriques. Laquelle lui résistera, et laquelle sera la proie idéale de sa subversion et sa perversion.

Un roman intense et noir dans le monde de la  domination et de l'humiliation jouissive

LangueFrançais
ÉditeurDaryl Hanse
Date de sortie13 juin 2023
ISBN9798223190028
Prédateur De Soumises

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    Aperçu du livre

    Prédateur De Soumises - Daryl Hanse

    Copyright © 2022 Daryl Hanse

    Tous droits réservés.

    ISBN :

    ––––––––

    Quand est ce que ça a commencé ? Une belle rencontre, ou un hasard, je pense que c’est un peu ça. J’aurai pu être un homme normal aujourdhui si je peux dire, avec une sexualité normale, enfin, vous m’avez compris. Que sans cette rencontre je n’aurai probablement pas plongé dans le monde du vice, de la domination et de la perversion. J’aurai été un mari sympa je sais, mais c’était sans compter sur ce plaisir incroyable qu’est le BDSM. Un monde ou la domination exercée et la soumission ressentie et offerte sont un plaisir qui dépasse même le sexe en soi. Cette relation est beaucoup plus intense, beaucoup plus puissante et excitante qu’une simple partie de jambes en l’air. Tout le monde baise, ce n’est en rien extraordinaire, même les animaux le font. Mais pour les gens qui plongent dans le BDSM, c’est une autre paire de manches.

    Sans palabrer, je vais rentrer dans le vif du sujet. Je suis un homme plutôt bien fait, rien d’extraordinaire, brun, 1m 80 pour 70 kilos, tout ce qu’il y a de plus commun. Le sexe je l’ai connu comme tout le monde avec mes premières copines, le lycée, les vacances et le porno. Je me branlais, chaud lapin, et j’adorais ça. Et je m’en tirai plutôt pas mal, même qu’à cette époque j’en étais tout fier avec les copains. Jusqu’à ce moment, le sexe c’était surtout baiser, les gros nichons, lécher, jouir et recommencer. Certes c’était magnifique, enfin quelques fois, mais c’était tout. Je suis un peu dominateur naturel, même sur ce plan, ce n’étais pas dans l’excès, c’était juste moi, sans en rajouter.

    Je prenais mon élan avec les femmes, et c’était facile pour moi. Quelque chose en moi les attirait fatalement sans que je ne sache quoi exactement. Comme je le disais plus haut, je ne suis pas si extraordinaire que ça sur le plan physique, mais quelques chose revenait souvent avec quelques copines, c’était mon regard. Quand j’y pense oui, j’ai ce que l’on peut qualifier de regard perçant, ou limite méchant. C’était un détail, mais je compris plus tard que non, c’était loin d’être un détail. Le regard c’est ce qui apparait en premier, c’est la première impression et c’est dit-on, un indice assez pertinent pour savoir ce qui se cache derrière.

    J’avais eu plusieurs copines, certaines plus âgées que moi, et j’adorais les femmes matures. Je n’avais pas eu tellement d’expériences avec elles mais j’en raffolais, fallait juste voir les films porno que je matais, que des milf et des matures. Je fantasmais comme un malade sur les matures. Vous me direz que c’est du classique pour un jeunot de 19 ans. C’est vrai, mais je peux vous assurer qu’encore à mon âge, 41 ans, ça reste mon fantasme et que rien n’a changé, même que c’est encore plus puissant. On y viendra.

    J’avais une superbe copine à l’époque. Stéphanie. Une belle blonde qui faisait bander tout le monde. On s’envoyait en l’air souvent mais comment vous dire. C’était juste bien. Elle avait un beau corps, une poitrine de rêve, et était d’une douceur exquise. Je faisais attention bien sûr à ne jamais la brusquer quand on faisait l’amour. J’étais attentionné, je le suis toujours ceci dit mais autrement. Bref, je l’aimais bien Steph, mais j’en garde pas le souvenir d’une baise exceptionnelle, entre maladresses de débutants et appréhensions et attention, on s’est jamais lâchés, comme j’apprendrai plus tard à le faire.

    J’étais encore chez les parents à l’époque. C’était ma première année de fac et je songeais à déménager pour avoir un chez moi. Je n’étais pas dans le besoin, mes parents ont de super boulots et je vis dans une grande maison spacieuse et accueillante. Un quartier calme ou tous les voisins se connaissaient, et on organisait souvent des soirées voisinage. Ça me permettait de jouer très tard quand j’étais gosse et j’adorais ça, mais à mon âge, 19 ans, ça ne me disait plus grande chose, mais bon, ce jour-là comme par hasard, je n’avais rien de précis  à faire, et ma mère avait tellement insisté pour que je sois là. Ce n’était pas si mal non plus, je discutais avec des copains, on rigolait et c’était une belle soirée printanière.

    Parmi les voisins il y avait les Béranger. Un couple avec un seul enfant qui devait avoir 6 ou 7 ans. Madame Béranger avait 34 ans, une femme que bizarrement je n’avais jamais reluquée de prés. J’avais le béguin pour certaines voisines bien sûr, mais pas pour elle. Elle était assez sobre, belle femme certes mais un peu timide et effacée. Elle habitait de l’autre côté, donc je ne la croisais pas tellement non plus. Ce soir-là, elle me regardait et j’ai croisé son regard beaucoup de fois, avec de petits sourires de sa part. Et je ne sais pas ce qui m’aveuglait avant mais je me rendis compte en y regardant de plus près qu’elle avait une superbe poitrine bien droite et surtout un cul d’enfer. Un peu ronde, elle avait un énorme fessier serrée dans sa mini-jupe. Des courbes si féminines et sensuelles. Je la matais avec insistance désormais et je fantasmais un peu. Sa peau blanche, ses jambes charnues, sa poitrine droite, et ses petits tics avec sa mèche. Elle me surprit plusieurs fois la regarder et elle semblait aimer ça, du moins, c’est à des sourires que j’ai eu droit. Un sourire loin d’être amical, non, elle avait compris que je la matais et elle souriait pour ça. Je bandais sans cesse et je fis fixette sur elle pendant toute la soirée.

    Autour du barbecue ou de la table, pendant qu’on mangeait, qu’on dansait, je devenais fou. Mais bon, elle était avec les vieux si je peux dire et moi avec les jeunots de mon âge. On avait fumé, bu et je m’éclatais avec les copains. Ça ne m’avait pas fait oublié Nathalie, je la reluquais des fois et je voyais que elle aussi désormais me cherchait du regard. Je n’en revenais pas. Si seulement je pouvais l’approcher.

    La chance du débutant existe, eh oui, parce que ce jour la Nathalie était seule. Son mari état en voyage. Je profitais finalement à la fin du Barbecue pour l’approcher. Elle débarrassait un peu avec tout le monde la table et le reste quand je me suis mis à son niveau. Je n’allais surement pas l’aborder, je manquais d’assurance et de confiance en moi pour faire ça. Je me suis juste rapprocher, je voulais la regarder de plus près, et c’était exquis. Elle me regarda, me sourit encore et c’est elle qui m’a parlé.

    -  Manuel c’est ca ? Tu as sacrement grandi.

    Je vous avoue que ces deux mots m’ont renvoyé à mon adolescence, et m’ont fait sortir de mes fantasmes fous. Pour elle je n’étais que le gosse des voisins qui avait grandi. J’aurai pu être son fils, pff.

    -  Merci Madame Béranger, oui je grandis, je lui lançais en souriant aussi.

    Je me demandais si finalement c’était une bonne idée d’être venu vers elle, je jouais le jeu, ramassait les gobelets et fourchettes et le reste quand elle me tendit le sac poubelle. Je m’approchais et elle se courba un peu sur ses genoux pliés pour tenir le sac. Elle avait la poitrine qui s’écrasait que ses genoux et son bras. J’étais scotché, je regardais ses seins éclaboussés sur ses genoux et je n’ai pas pu retenir mon érection instantanée. J’avais les yeux écarquillés et quand je me rendis compte qu’elle me regardait j’ai levé les yeux vers elle. Je la regardais avec une envie impossible à dissimuler. Elle se mord les lèvres, me fit un grand sourire, gonfla encore plus sa poitrine et s’écrasa encore.

    J’étais tellement perturbé par ça que je suis parti, oui, comme ça, parti. Je lui ai dit que c’était fini et je me suis littéralement enfui. J’avais peur de lui manquer de respect et j’étais honteux à l’idée qu’elle aurai pu voir mon érection. Pourtant, j’étais quelques part certain qu’elle avait bien compris et qu’elle jouait le jeu. Je n’étais pas sûr, je n’en savais rien. Mon fantasme avait peut être pris le dessus et je ne voulais pas faire de connerie avec

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