Karina Soumise à 40 ans

Par Daryl Hanse

Karina etait au bord de la depression, rien n'allait plus entre son boulot, ses filles et son mari malade. Ce n'etait pas lemoment propice d'une recontre, encore moins d'une decouverte, mais lesalut peut venir de laou l'on attends le moins. Une plongée lubrique dans le monde de la soumission pour cette femme mature fatale 

• Langue: Français
• Éditeur: Daryl Hanse
• Date de sortie: 26 juin 2023
• ISBN: 9798223312147

Aperçu du livre

Je m’appelle Sylvie, j'ai 45 ans bien faites et je suis veuve depuis plus de 3 ans et ce que je vais vous raconter remonte à avant la mort de mon défunt époux, j’avais tout juste la quarantaine à l’époque. Je suis maman de deux formidables jeunes filles, l’ainée à 21 ans qui vivait avec son copain depuis une année, et sa sœur d’un an de moins qui faisait ses études en Espagne, et donc c’est vous dire que j’étais seule avec mon mari dont la santé devenait de plus en plus fragile et son état qui s’aggravait. Ce n’était malheureusement pas tout. Mon entreprise a fait faillite et j’ai perdu mon emploi. J'étais au chômage et je n’arrivais pas à décrocher un autre poste car j’étais très préoccupée par l’état de santé de mon mari qui nécessitait beaucoup d’attention.  

Avec le temps, sa situation se compliquait et la mienne aussi, financièrement on n’arrivait plus à joindre les deux bouts, et j’avais que des retours négatifs aux quelques entretiens que j’avais passé, essentiellement à cause de mon âge je présume. Je me suis retrouvée dans une situation que je ne souhaite à personne, je déprimais seule, je n’avais aucun soutien ou presque à part mon amie et je me sentais au bord de la dépression. Je n'arrivais pas à trouver un travail stable, ni avoir une vie ordinaire, j’étais devenue très malheureuse, mais je me devais d’être courageuse malgré tout et de ne rien montrer à mon mari, mon entourage ou mes filles, mais au fond, j’étais bien triste.

Anna, ma fille ainée finit par me proposer de demander au mari de son amie de m'embaucher. Il était chef d’entreprise et selon elle prédisposé à aider. C’était pas comme si j’avais le choix, j'ai tout de suite accepté sans grande conviction, je n’avais ni le choix ni je pouvais perdre encore plus. Elle s’est occupée de tout et je n'avais plus qu’à attendre. J’avais peur de me faire recaler une fois de plus. J'ai donc attendu avec impatience le jour de l'entretien, la peur au ventre avec un infime espoir.  

La société était à une vingtaine de minutes de chez moi, ce qui m’arrangeait vraiment et je me suis présenté ce jour-là comme une novice en espérant décrocher un poste dans cette entreprise de textile. 

Je m’étais complètement oublié ces fameux mois, j’avais la tête ailleurs, et il m’arrivait de me regarder dans le miroir non sans lâcher une larme. Je suis une femme plutôt belle malgré mon âge, ou je dirai même, grâce à mon âge. La maturité me va bien, à 40 ans j'avais toujours une poitrine généreuse et bien droite, de belles lèvres, et aucune ride. Je suis blanche, des yeux bleus et les cheveux courts. Un peu pulpeuse, mais rien de repoussant, au contraire, ça me faisait de belles rondeurs et les regards des hommes sur moi me le rappelait tout le temps. J'étais habillée décemment ce jour-là pour faire bonne impression. Après quelques minutes d’attente dans le secrétariat, j’ai fini par rencontrer Rob, le mari de Rose la copine à ma fille.  

Ce n’était clairement pas mon jour. Je ne sais pas si c'était le trac ou la peur de ne pas être embauchée qui faisait ça  mais je me sentais très mal. J’avais du mal à formuler des phrases correctes ou faire preuve d’imagination. Je balbutiais difficilement des fragments de phrases pour répondre aux questions de Rob. Il était aussi pour quelque chose je pense. Il était vraiment intimidant. Un vrai boss au regard imposant, à la voix affirmée et aux questions pertinentes. Il avait reçu quelques coups de téléphone pendant notre entretien, et je le regardais pendant qu’il répondait avec une assurance et une confiance en soi que je n'ai jamais eu, ce qui accentuait mon malaise.

C'était un italien de par ses origines, plutôt beau mec, très grand avec une petite barbe et devais probablement avoir une dizaine d'années de moins que moi. 

Je venais de me rappeler aussi qu'on s'était