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Le ménage de Jewel: Le Key Club, #5
Le ménage de Jewel: Le Key Club, #5
Le ménage de Jewel: Le Key Club, #5
Livre électronique112 pages1 heure

Le ménage de Jewel: Le Key Club, #5

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À propos de ce livre électronique

Elle pensait qu’elle ne ferait plus jamais confiance à un homme…

Jusqu’à une nuit pluvieuse où deux camionneurs musclés viennent à la rescousse de Jewel, suscitant un délicieux désir de ménage à trois brûlant. Quand elle ne peut plus nier ses envies, elle sait qu’il est temps de retourner à la chaleur et à la passion qu’elle connaissait jadis dans les limites sûres du Key Club.

« Apportez vos propres toys », une soirée de ménage arrive au Key Club et les camionneurs Adam et Carson vont conduire Jewel vers une soirée érotique remplie de jouets voluptueux, de rubans soyeux et de beaucoup d’amour torride.

Le Key Club - 1. Ménage  2. Le Ménage De Marley  3. Un joyeux ménage de Noël  4. Le ménage de Sophie 5. Le Ménage de Jewel

Autres livres en français par Jan Springer: Des cow-boys pour Noël, Délices Comestibles, Le Petit Ami Milliardaire, Prise Par Lui, Mise à nue pour lui.

LangueFrançais
Date de sortie30 nov. 2019
ISBN9781071515365
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    Aperçu du livre

    Le ménage de Jewel - Jan Springer

    Chapitre un

    — Bon sang, tu parles d’une tempête, souffla Jewel alors qu’elle courait sous une pluie torrentielle jusqu’à sa camionnette de livraison.

    L’appréhension lui piquait la nuque et, bien qu’elle se soit garée aussi près que possible de l’entrée arrière du Key Club, une anxiété déchirante la martelait. Il faisait noir et orageux. Bien trop sombre. Elle aurait souhaité accepter l’offre de Jaxie de l’accompagner pour récupérer les deux dernières boîtes d’articles dans le fourgon. Mais au cours des deux dernières années, Jewel s’était efforcée de devenir aussi indépendante que possible. Peut-être était-elle trop indépendante et s’était-elle mise en danger en s’aventurant seule dans le stationnement isolé.

    Avec toute cette pluie qui tombait sur elle, l’eau ruisselait dans ses yeux, trempait son t-shirt rouge et son jean bleu. Elle aurait préféré être en sécurité dans son petit chalet de location à écouter la pluie qui tombait sur son toit en métal. Au lieu de cela, elle était coincée là, juste parce qu’elle voulait que cette livraison soit faite ce soir. Elle n’avait pas prévu de se faire prendre dans cette tempête inattendue. Elle maudit son obstination et donna un coup de coude à l’une de ses boîtes de 18 kg contre sa hanche, puis tenta de refermer la porte du fourgon avec sa main libre.

    — On peut t’aider ?

    La terreur l’envahit comme une lame tranchante sous la voix grave d’un homme sorti de l’obscurité. Elle faillit laisser tomber la boîte et courir, mais la silhouette sombre lui prit facilement et rapidement le carton et le porta dans ses bras.

    Oh ! Elle ne l’avait ni vu ni entendu. Elle se retourna pour s’assurer qu’elle disposait d’une issue de secours, juste au cas où, mais elle réalisa immédiatement qu’elle s’était garée trop près des énormes poubelles. Il n’y avait pas moyen de sortir. Elle était bloquée !

    Elle ouvrit la bouche pour crier. Horrifiée, elle ne sortit qu’un cri pathétique.

    — Hé, Jewel, nous ne voulions pas te faire peur.

    La voix d’un autre homme résonna sous la pluie.

    Ils connaissaient son nom.

    Malgré cela, elle trembla comme une feuille, se retourna et cligna des yeux pour chasser les gouttes de pluie et essayer de voir qui ils étaient. Un grand gars musclé se dressait devant elle. Il avait les cheveux noirs et un doux sourire. Elle l’avait vu en ville à quelques reprises au cours de la dernière année. Il était beau et elle se souvenait qu’elle avait aimé l’observer, mais elle restait à l’écart des hommes en général et n’avait pas cherché à le rencontrer.

    — Jaxie nous a dit que nous devrions te donner un coup de main. Nous sommes venus immédiatement, dit-il.

    Son front se plissa lorsqu’il l’examina. Il semblait préoccupé par sa réaction.

    Un soulagement devrait apparaître, mais elle ne pouvait s’empêcher de trembler.

    — Tiens, mets ma veste sur ta tête et retourne à l’intérieur. Nous allons apporter les cartons, dit l’autre homme en regardant par-dessus la large épaule du premier.

    Elle se souvenait de l’avoir vu aussi. Les deux hommes étaient toujours ensemble. Il avait aussi des cheveux noirs et une barbe naissante sur les joues et son menton. Ils se ressemblaient un peu.

    Elle se raidit quand il tendit une veste en cuir noir. À contrecœur, elle l’accepta. La chaleur l’enveloppa alors qu’elle la tenait par-dessus sa tête. Elle n’hésita plus à les dépasser. S’ils voulaient la voler, qu’ils le fassent. Elle n’allait pas rester pour voir ce qu’ils voulaient lui faire d’autre.

    Tandis qu’elle se précipitait par-derrière vers le Key Club, elle s’attendait à être attrapée. Comme rien ne se passait, et qu’elle parvint sans encombre à la porte arrière du club, la panique s’apaisa. Les doigts tremblants, elle suspendit la veste en cuir à un crochet du hall et regarda par la fenêtre. Des éclats de pluie argentés frappaient le stationnement et elle pouvait à peine distinguer les deux personnages devant sa camionnette.

    Merde ! Elle pensait qu’elle était devenue plus forte mentalement au cours de la dernière année. Elle pensait pouvoir tout gérer, mais devant sa réaction de ce soir, elle réalisa qu’elle vivait avec de faux espoirs. Elle s’était trompée en pensant qu’elle était guérie. Elle était toujours une épave pathétique et nerveuse, le résultat d’une mauvaise relation qu’elle avait laissée devenir incontrôlable.

    L’amertume la traversa et des larmes chaudes bouillirent dans ses yeux. En colère, elle essuya les larmes. Son ex-petit ami était vraiment un drôle de numéro. Ne parviendrait-elle jamais à redevenue normale ?

    — Te voilà !

    Jaxie, la propriétaire du Key Club, apparut au fond du couloir. Sa voix joyeuse apaisa les nerfs à fleur de peau de Jewel, soulageant un peu sa tension. Lorsque Jaxie s’approcha, elle fronça soudain les sourcils.

    — Qu’est-ce qui t’est arrivé ? Tu ressembles à un chat tout mouillé. Les gars ne t’ont pas aidé avec tes boîtes ? Je les ai envoyés vers toi dès qu’ils sont entrés dans le club.

    Avant que Jewel puisse répondre, la porte s’ouvrit brusquement et les deux hommes entrèrent, apportant un vent froid et des éclaboussures d’eau. Ils portaient les cartons et leurs regards sombres se posèrent sur Jewel. L’intérêt et l’appréciation brillaient dans leurs yeux et malgré cela, elle tremblait toujours. Elle était abasourdie par la chaleur qui la picota tout à coup.

    D’accord, cette réaction n’était pas normale, surtout après avoir été effrayée à mort quelques instants plus tôt. Elle n’avait pas réagi à un type, ni dans ce cas-ci à deux, tellement elle pensait que sa vie sexuelle était finie pour toujours et qu’elle espérait qu’elle resterait ainsi.

    Jusqu’à ce soir.

    — Où veux-tu qu’on mette ces boîtes, Jax ? demanda le plus grand des deux, celui qui avait tendu à Jewel sa veste en cuir tout en regardant ses seins, le regard brûlant.

    Magnétisée par son appréciation torride, Jewel suivit son regard et remarqua que ses mamelons se pressaient hardiment contre son t-shirt mouillé.

    Tes mamelons sont durs. Oh zut. Elle croisa les bras sur sa poitrine.

    Les hommes souriaient. Le plus grand fit un clin d’œil. Ses joues rougirent.

    Mon Dieu, elle n’avait pas rougi depuis longtemps, elle avait même oublié que ça existait.

    — La pièce du fond fera l’affaire, dit Jaxie.

    Les deux hommes ricanèrent et parlèrent à voix basse lorsqu’ils disparurent dans le couloir.

    — Ils t’apprécient, dit Jaxie avec un sourire chaleureux.

    Ses yeux bleus brillaient d’une lueur taquine.

    Le

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