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LE LAIT EST VACHEMENT BETE
LE LAIT EST VACHEMENT BETE
LE LAIT EST VACHEMENT BETE
Livre électronique232 pages2 heures

LE LAIT EST VACHEMENT BETE

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À propos de ce livre électronique

Hippocrate, le père de la médecine avait bien dit: «Fais de l’aliment ton remède». Mais qu’arrive-t-il quand c’est l’aliment lui-même qui nous rend malades?

Dans ce livre, l’auteure nous partage ses recherches concernant la plupart des maladies physiques et mentales qui sont causées par le lait de vache et ses produits dérivés. Le lait n’est pas aussi blanc qu’il en a l’air et pas autant que ce qu’on a toujours voulu nous faire croire.
LangueFrançais
Date de sortie4 oct. 2021
ISBN9782898311253
LE LAIT EST VACHEMENT BETE
Auteur

Evelyne Claessens

Evelyne Claessens a fait des études en théâtre, en création littéraire, en scénarisation cinématographique, en communication, en arts plastiques et en enseignement. Elle est détentrice de deux Diplômes d’Études Collégiales, de deux Baccalauréats plus un certificat; ce qui équivaut à une maîtrise. Depuis plusieurs années, elle travaille à la Formation Générale Adulte pour aider des raccrocheurs à terminer leurs études secondaires; cet emploi l’a sensibilisée aux problèmes sociaux des jeunes. Elle s’intéresse aussi aux médecines naturelles et aux thérapies alternatives dont l’alimentation saine et l’herboristerie. Elle est l’auteure de 9 oeuvres touchant à la santé, au bien-être, à la croissance personnelle, à la spiritualité et à la philosophie qui ont été publiés au Québec et en Europe. Avec ce livre, elle désire réveiller les consciences concernant ce mal qui persiste toujours dans la société actuelle afin de pouvoir le condamner une fois pour toutes..

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    Aperçu du livre

    LE LAIT EST VACHEMENT BETE - Evelyne Claessens

    MOT DE L’AUTEURE

    On m’a posé la question suivante : « Pourquoi écris-tu des livres ? » La réponse est toute simple : c’est parce que j’aime faire connaître les découvertes de mes recherches ou les leçons issues de mes expériences personnelles aux autres dans le but de les aider.

    Certes, il y a eu deux grands événements déclencheurs. Pour celles et ceux qui désirent en savoir plus, je leur propose de lire mon récit de voyage intitulé « Vision nouvelle de l’autisme : Jack et le haricot magique ».

    J’avais été invitée en Belgique pour donner une conférence sur l’autisme puisque j’avais guéri mon fils en retirant les produits laitiers et le gluten de son alimentation. À Liège, j’ai rencontré un médecin qui est à la fois chercheur et professeur d’université. Il a fait des recherches durant 30 ans pour découvrir que les produits laitiers étaient responsables de la dépression, de l’anxiété, de l’autisme, des TDAH, de l’Alzheimer, de la démence, de la psychose, de l’épilepsie, de la schizophrénie et j’en passe, car le lait de tous les mammifères interfère avec les folates au niveau des neurotransmetteurs.

    Le 7 juin 2019, ma fille de 14 ans est décédée suite à une noyade lors d’une activité scolaire. Elle savait pourtant nager comme un dauphin. Peu de temps avant, elle avait commencé à faire des crises d’épilepsie depuis que ses intolérances alimentaires furent plus ou moins respectées. Lors de l’une de ses hospitalisations, le médecin nous avait expliqué qu’une allergie au gluten pouvait faire convulser. Donc le gluten et les produits laitiers peuvent causer de l’épilepsie.

    L’autopsie ne révélait pas de signes convulsifs. Le fait qu’elle ait été retrouvée entre deux roches et qu’elle faisait de petits plongeons, le coroner en est venu à la conclusion qu’elle se serait assommée contre une roche, même si elle n’avait pas de blessures à la tête. Malgré cela, j’ai ressenti le besoin de mettre en garde les gens parce que cela aurait très bien pu en être la cause. Je suis certaine que ma fille aurait voulu que je tienne les gens au courant. Il arrive que des personnes épileptiques se noient dans leur bain.

    Parfois on se demande ce que l’on fait ici sur Terre. Je crois que j’ai peut-être une mission à accomplir. Qui sait ? Puis un beau jour, ce titre m’est apparu comme descendant tout droit du ciel. Il me restait seulement à faire des recherches et à rédiger ce texte.

    Je sais que plusieurs personnes tenteront de tourner au ridicule ce qui est écrit dans ce livre, surtout les industries laitières et agroalimentaires ainsi que le monde médical et pharmaceutique. Galilée, qui a été poursuivi et persécuté, a dit que la Terre est ronde et non plate. Cela a pris un siècle avant que les gens le croient. Pourtant il avait raison. Je m’attends un peu à la même chose.

    Une expression dit ceci : « Une nouvelle hypothèse est d’abord tournée au ridicule. Puis une grande contestation s’y oppose. Finalement, elle est acceptée comme étant l’évidence même. »

    Je ne fais rien de mal en prônant une meilleure alimentation qui respecte notre véritable nature.

    Ce médecin m’avait dit qu’il avait donné des conférences à travers l’Europe durant 10 ans, mais que personne ne pouvait croire comment quelque chose d’aussi « anodin » que le lait pouvait causer autant de troubles de santé.

    INTRODUCTION

    Nous sommes le seul mammifère au monde qui consomme des produits laitiers provenant d’une autre espèce animale ; et ce toute notre vie. Et quel est l’être vivant qui est le plus souffrant et aux prises avec des maladies modernes, chroniques et dégénératives ? Est-ce que ce liquide blanc mériterait, encore aujourd’hui, toutes les vertus qu’on lui attribuait autrefois ? Et si le lait pouvait être à l’origine de bien des problèmes de santé physique et mentale dans notre société actuelle !

    Ce livre a fait l’objet d’innombrables recherches. Il est ponctué de citations d’experts, de chercheurs et de médecins qui ont été capables, à la suite d’études, d’établir un lien entre les produits laitiers et plusieurs maladies des temps modernes. Je ne suis donc pas la seule à penser que le lait de vache ne nous convient pas.

    SON ORIGINE

    Durant la préhistoire, l’être humain est passé de nomade, à chasseur cueilleur et à sédentaire avec les premiers agriculteurs. Il s’est mis à consommer des produits laitiers lorsqu’il a commencé à pratiquer l’élevage. À cette époque, c’était surtout le lait de brebis et de chèvre qui était consommé, car les plus petites bêtes étaient plus faciles à manipuler et à domestiquer. Dans ce temps-là, le lait aurait été utilisé seulement dans le but d’aider au sevrage du nourrisson, l’aidant à passer aux aliments solides.

    Pour s’habituer à un nouvel aliment, 10 000 ans représentent une période d’adaptation assez courte dans l’histoire de l’évolution humaine. La capacité à digérer le lait varie d’une région à l’autre selon les usages que l’on en faisait. Lors de fouilles archéologiques, on a découvert des traces de lait fermenté dans la poterie. Cela laisse sous-entendre que le fromage est plus digeste, car la fermentation réduit la teneur en lactose. L’enzyme permettant de le digérer est présent chez les nourrissons et diminue avec le temps.

    Une mutation génétique serait à l’origine de la tolérance au lait après un certain âge, mais cela est arrivé tardivement dans l’évolution humaine. Ce nouveau gène était encore très rare il y a 5 000 ans, et ce n’est pas tout le monde qui l’a développé. Les vaches laitières seraient arrivées d’Europe en Amérique du Nord il y a de cela 400 ans. Certes, au début, cela a pris une certaine adaptation ou une sélection naturelle. Encore aujourd’hui, il y a des différences régionales dans la tolérance du lait à l’âge adulte. L’intolérance au lactose est un phénomène naturel chez les mammifères qui ont dépassé l’âge de téter.

    L’APPARITION DES GROUPES

    SANGUINS DANS L’HISTOIRE

    Des changements environnementaux et alimentaires ont forcé l’être humain à développer un nouveau mode de vie afin de survivre. Des modifications ont eu lieu au niveau des systèmes digestif et immunitaire. Une évolution adaptative s’est produite dans l’histoire des groupes sanguins.

    Il y a un code génétique relié à l’alimentation, à l’environnement et au mode de vie inscrit dans chaque groupe sanguin. Ainsi, les éléments géographiques et culturels entrent également en jeu. Par exemple, les Asiatiques ne consomment pas ou peu de produits laitiers.

    Nos plus anciens ancêtres africains étaient du groupe 0. Ils se nourrissaient surtout de fruits et de viande et toléraient mal les céréales. Tous les autres groupes sanguins le reconnaissent, car c’est le plus ancien, ce qui fait de lui un donneur universel, mais le sang du groupe O ne peut pas reconnaître ceux qui ont suivi, puisqu’ils n’existaient pas à son époque.

    Puis, il y a eu une migration vers l’Europe et l’Asie, ce qui a fait naître le groupe sanguin A. Les agriculteurs se nourrissaient surtout de grains et de légumes qu’ils cultivaient. Les groupes O et A demeurent donc intolérants aux produits laitiers et pas seulement au lactose.

    Avec la venue de l’élevage et le début d’une plus grande consommation de lait de provenance animale est apparu le groupe sanguin B, capable de digérer cet aliment. Plus tard, avec la modernisation, l’industrialisation et le mélange ethnique, cela a fait naître le groupe sanguin AB qui est le plus jeune et le plus rare, capable de manger et d’assimiler presque n’importe quel aliment.

    Cependant le groupe O demeure le plus répandu. La plupart des gens aujourd’hui ne digèrent pas les produits laitiers bovins. Les lobbies de l’industrie laitière ont fait croître en sa popularité en misant sur les bienfaits pour la santé, alors que le guide alimentaire canadien lui a dernièrement retiré la grande place qu’il lui octroyait autrefois. Certaines personnes tolèrent mieux le lait de brebis ou de chèvre, car il est plus digeste et plus proche de notre nature. Des chercheurs ont tenté de démontrer que le lait provenant d’une autre espèce de vache que la Holstein serait plus adéquat, comme s’ils s’étaient trompés d’espèce de vache.

    Lorsqu’on ne peut pas digérer un aliment, il se transforme en une substance toxique, un poison. Par exemple, si l’on donne du chocolat à un chien, il peut en mourir.

    LA PASTEURISATION

    Il s’agit d’un procédé thermique agressif qui consiste à éliminer la plupart des micro-organismes, comme ceux qui sont bénéfiques à l’organisme, en le chauffant à une haute température sans qu’il atteigne le degré d’ébullition, suivi par un refroidissement rapide. Le goût du lait est modifié. Le traitement tue les bonnes bactéries utiles à notre flore intestinale pendant que des mauvaises bactéries y résistent. La plupart des enzymes qui nous aideraient à le digérer sont détruits. Des minéraux comme le manganèse, le cuivre et le fer diminuent. Des vitamines sensibles à la chaleur se perdent, le calcium se dégrade ; cela cause une perte en nutriments. Il devient un aliment mort. Il y a aussi une modification des protéines. Il s’agit donc d’une transformation qui n’est pas sans conséquence.

    Il se produit une réaction chimique entre les sucres et les acides aminés. La réaction de Maillard conduit à plusieurs pathologies, telles que les maladies cardio-vasculaires, dégénératives et le diabète, selon le professeur Monnier de l’Université de Cleveland.

    D’après le livre « La Vache qui pleure » de Véronique Richez-Lerouge, on peut lire :

    « La réaction de Maillard provoquée par les montées en température trop radicales est bien au cœur du débat de l’allergie aux protéines de vache et de l’intolérance au lait animal en général. Ces cuissons élevées dénaturent la composition physio-chimique du lait et, ce faisant, sa fonctionnalité et sa digestibilité. »¹

    L’industrialisation a dénaturé le lait pour qu’il se conserve plus longtemps. Mais à quel prix ? Le lait est devenu ainsi indigeste pour plusieurs.

    Au début du 20e siècle, le lait de vache était considéré comme un propagateur de maladies d’une espèce à l’autre, comme la tuberculose, la fièvre typhoïde et la salmonelle. Cela aurait pu être des signes de Dame Nature nous indiquant que cet aliment n’est pas bon pour nous. Mais ce message aurait été ignoré, malgré les nombreux dommages que ces maladies ont causés.

    Le lait peut être aussi stérilisé à haute température dépassant le seuil d’ébullition ou être microfiltré. Tous ces mécanismes créent la disparition d’une biodiversité. Nous vivons dans un monde trop aseptisé.


    1 France Asso Santé, La voix des usagers, 1er avril 2016, https ://www.france-assos-sante.org/2016/04/01/lu-lait-oui-mais-cru, Véronique Richez-Lerouge, « La vache qui pleure : retour au lait naturel, une question de santé », Éditions Nouveau Monde.

    L’HOMOGÉNÉISATION

    Ce procédé mécanique consiste à mélanger les différents éléments pour en faire une substance homogène en forçant le lait à passer par une petite extrémité sous haute pression, ce qui fait éclater les particules graisseuses qui demeurent ainsi réparties dans le liquide. La propriété des cellules graisseuses est modifiée. Ce procédé sert à éviter la séparation du lait de sa crème et empêche donc la crème de remonter à la surface. Normalement ces deux substances ne se mélangent pas. Nous n’avons qu’à observer de l’huile sur de l’eau.

    Autrefois, la crème qui flottait à la surface « naturellement » était retirée pour en faire du beurre, mais aujourd’hui, en soumettant le lait à ce traitement, la crème demeure mélangée au liquide, augmentant ainsi sa quantité de matières grasses. Il y aura toujours un danger d’aller contre Dame Nature. Cela ne va pas sans causer des problèmes de santé.

    Des spécialistes tels que Monsieur B. Gaborit explique ceci :

    « Ces nanoglobules de gras réduits à l’état microns passent directement dans la lymphe puis dans le sang sans être digérées par l’intestin qui ne les reconnaît pas » ²

    Ce procédé favorise le développement de l’obésité et des problèmes de santé reliés au cholestérol. La caséine, cette protéine réduite, passe à travers la muqueuse intestinale, voyage dans le sang jusqu’au cerveau où ce peptide agit comme un opiacé et peut provoquer des dérangements dans le développement et le fonctionnement du cerveau.

    Témoignage

    « J’ai grandi sur une ferme en Ontario. On consommait le lait directement tiré de la vache. Je souffrais de crampes intestinales quand mes parents ont commencé à acheter le lait vendu en magasin.

    Mon père m’a appris qu’il ne fallait pas changer la vache qui allait bientôt vêler de place, car durant la gestation, son lait a fabriqué des anticorps pour son veau, selon son environnement. Son lait est destiné aux besoins de son veau.

    Les veaux que l’on nourrissait au lait en poudre mourraient des suites d’une longue diarrhée. Il ne faut pas séparer le petit de sa mère.»


    2 France Asso Santé, La voix des usagers, 1er avril 2016, https ://www.france-assos-sante.org/2016/04/01/lu-lait-oui-mais-cru, Véronique Richez-Lerouge, « La vache qui pleure : retour au lait naturel, une question de santé », Éditions Nouveau Monde.

    LES BIENFAITS DU LAIT CRU

    Il faut préserver le côté vivant des aliments. Le lait cru n’est pas un aliment mort comme celui qui a été traité industriellement. Il conserve ses vertus, il a meilleur goût et garde ses nutriments comme les vitamines A et D, le calcium et le phosphore. Il contient des bons gras, donc il est à

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