Mortelle suspicion

Par D.F Novel

Une histoire basée sur des faits réels.
Une famille en apparence parfaite, une vie aisée dans un quartier huppé.

- Quel secret se cache derrière cette image idyllique ?
- Que fait Patricia la journée quand son mari est au travail ?
- Quel est cet inconnu qu'elle fréquente ?

Le doute, la jalousie, des destins qui se croisent, un couple à la dérive, mais jusqu'où le drame ira-t-il ?
L'auteur nous entraîne dans les méandres de l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus sombre. La jalousie, la violence, le déni et le meurtre, un mélange détonant pour un thriller sombre et violent.

Mortelle suspicion est un thriller psychologique que vous n'oublierez pas...


EXTRAIT DU LIVRE :

"Le ciel était gris et désenchanté ce dimanche après-midi pluvieux.
Le soleil peinait à traverser la couverture épaisse des nuages et quelques rayons de lumière venaient scintiller dans les gouttelettes d’eau qui coulaient sur le cercueil.
Une dizaine de personnes habillées de noir entouraient la dernière demeure de Patricia.
Des amis proches et la famille de la défunte avaient été conviés pour cet enterrement intime.
Les visages étaient blêmes, le chagrin et la peine remplissaient les cœurs.
La mort tragique et accidentelle de Patricia avait jeté sur les personnes qui l’aimaient comme un voile noir sur leur existence.
La vie avait été injuste et cruelle pour cette femme généreuse, adorée de tous.
Sa mort dans cet accident de voiture paraissait absurde pour la plupart des personnes présentes pour la cérémonie.
Fabrice pris d’un chagrin immense, serrait contre lui sa fille Cécilia qui avait peine à tenir debout, abattue par la douleur de perdre sa mère dans de telles circonstances.
Le prêtre, au bord du profond caveau en béton qui devait contenir le cercueil, commença son discours.
À la fin de la prière du prêtre, deux hommes, aidés de cordes, descendirent doucement le cercueil de Patricia dans la cavité de béton...


AVIS RECENTS :

"Fan de thriller, j'avoue que j'ai beaucoup aimé ce livre, l'histoire est noire, les personnages sont forts..."
Magali.D

"J'ai hésité à faire confiance à cet auteur, mais je n'ai pas été déçue ! une histoire moderne et des personnages hantés par leur passé"
ThrillerAddict

"On suit l'histoire de cette homme, rongé par la jalousie et la colère, un livre prenant"
Jocelyne.M

"C'est violent, mais sa reflète la réalité de certains drame qui se passent maintenant. Un livre qui m'a personnellement marquée"
EmaRock

"D'une certaine manière ce livre dénonce la folie de certain homme..."
Catherine P

"Cela faisait longtemps que j'avais pas lu une histoire aussi forte..."
Aurélie Fan de thriller

• Langue: Français
• Éditeur: XinXii
• Date de sortie: 19 mars 2019
• ISBN: 9782955601464

Aperçu du livre

Titre

Mortelle suspicion

Par

D.F Novel

www.nouvelles-fantastiques.fr

Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux, les marques, les médias, et les incidents sont le produit de l’imagination de l’auteur ou sont utilisés fictivement. Toute ressemblance avec des personnes, des événements ou des situations de la vie réelle est purement fortuite et le produit du hasard.

Copyright © 2017 par l’auteur

Tous les droits sont réservés.

Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen, électronique ou mécanique, sans l’autorisation écrite de l’auteur, à l’exception de l’utilisation de courtes citations dans un avis.

Site Web de l’auteur

www.nouvelles-fantastiques.fr

E-mail : [e-mail]

Première édition : février 2017

E-Book Distribution: XinXii

www.xinxii.com

« L’amour craint le doute, cependant il grandit par le doute et périt souvent de la certitude. »

Gustave Le Bon

(Aphorismes du Temps présent)

Remerciements

À ma femme pour son inspiration.

À ma mère pour ses relectures attentives.

Table des matières

Remerciements

Mortelle suspicion

Chapitre I

Chapitre II

À propos de l’auteur

Les autres livres de l’auteur

Mortelle suspicion

Chapitre I

Le ciel était gris et désenchanté ce dimanche après-midi pluvieux.

Le soleil peinait à traverser la couverture épaisse des nuages et quelques rayons de lumière venaient scintiller dans les gouttelettes d’eau qui coulaient sur le cercueil.

Une dizaine de personnes habillées de noir entouraient la dernière demeure de Patricia.

Des amis proches et la famille de la défunte avaient été conviés pour cet enterrement intime.

Les visages étaient blêmes, le chagrin et la peine remplissaient les cœurs.

La mort tragique et accidentelle de Patricia avait jeté sur les personnes qui l’aimaient comme un voile noir sur leur existence.

La vie avait été injuste et cruelle pour cette femme généreuse, adorée de tous.

Sa mort dans cet accident de voiture paraissait absurde pour la plupart des personnes présentes pour la cérémonie.

Fabrice pris d’un chagrin immense, serrait contre lui sa fille Cécilia qui avait peine à tenir debout, abattue par la douleur de perdre sa mère dans de telles circonstances.

Le prêtre, au bord du profond caveau en béton qui devait contenir le cercueil, commença son discours.

À la fin de la prière du prêtre, deux hommes, aidés de cordes, descendirent doucement le cercueil de Patricia dans la cavité de béton.

Fabrice et sa fille s’avancèrent vers la tombe, des roses dans les mains. Fabrice murmura, la gorge nouée par la tristesse : « Ma chérie… Tu sais que je t’ai toujours aimée. Tu as été là pour soutenir ta famille quand le malheur nous frappait… Adieu mon amour, je ne t’oublierais jamais… »

Se retournant vers sa fille, Fabrice croisa son regard plein de larmes. Cécilia regarda son père et entre deux spasmes de douleur elle dit : « C’est trop dur papa… Pourquoi ? Pourquoi ça nous arrive à nous… »

Dans un geste lent, la main tremblante, Cécilia lança une rose qui vint tomber sur le cercueil en chêne.

Après avoir embrassé sa fille sur le front, Fabrice lança également une rose rouge sur le cercueil.

Chaque participant vint alors se joindre à ce solennel geste d’amour et jeta aussi une rose dans le caveau.

Le cercueil était couvert de toutes ces fleurs. Le tableau final de cette triste journée était terminé.

Chacun resta là debout au bord du caveau, immobile, le visage fermé, pris dans leur chagrin.

Après de longues minutes, la pluie s’invita à la cérémonie comme pour accentuer la scène sinistre qui se déroulait.

Fabrice, fixant le cercueil de sa femme dit : « Cécilia, il faut partir… Elle sera toujours là dans nos cœurs et nous la ferons vivre dans nos souvenirs… Viens, rentrons à la maison ma chérie…

— Je ne veux pas la laisser papa… répondit la jeune femme en s’essuyant les larmes qui coulaient abondamment sur son visage.

— Tu dois la laisser partir maintenant… Rentrons… »

Fabrice invita les personnes présentes à venir chez lui pour se retrouver ensemble et se soutenir dans cette épreuve.

La dizaine de personnes se retrouva dans la grande maison de Fabrice et feu Patricia.

Le couple vivait aisément dans un quartier huppé de la ville. Fabrice était chef d’une grande entreprise d’informatique, spécialisée dans la création de logiciel de sécurité.

Il s’était fait lui-même, un self-made-man comme aurait pu dire un Américain. Venant de la classe moyenne, il avait réussi à force de travail et grâce à ses amis de l’université à créer une société prospère.

Fabrice avait connu Patricia à l’université. Elle étudiait la littérature et préparait une maîtrise quand leur histoire d’amour avait commencé.

La passion avait été intense entre eux et bien que Patricia utilisât des moyens de contraception, ils eurent le bonheur et l’immense responsabilité de faire face à la naissance de leur fille deux ans après leur rencontre.

Cécilia était arrivée au sein de ce couple amoureux et elle fut adorée comme un cadeau du ciel.

Fabrice, entouré de ses amis, avait à l’époque commencé la création de son entreprise et son chiffre d’affaires grandissait de mois en mois

D’un commun accord, Patricia prit la décision d’arrêter ses études pour s’occuper de sa fille. Ce fut pour la jeune femme une décision difficile à prendre, un véritable déchirement.

Elle était la petite dernière d’une famille de cinq enfants. Le moins que l’on puisse dire, c’est que sa famille ne roulait pas sur l’or. Son père était ouvrier métallurgiste et sa mère faisait des ménages pour arrondir les fins de mois.

Sortant du lycée elle avait réussi à décrocher une bourse d’étude grâce à ses très bons résultats scolaire. Patricia considérait ses études comme toute sa vie, l’ultime moyen de sortir de la misère.

Malgré tout, et dans l’espoir de reprendre ses études plus tard,