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Poulet: Plats de semaine et recettes de weekend
Poulet: Plats de semaine et recettes de weekend
Poulet: Plats de semaine et recettes de weekend
Livre électronique308 pages1 heure

Poulet: Plats de semaine et recettes de weekend

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À propos de ce livre électronique

Tout le monde sait cuisiner le poulet, mais qui peut se vanter de posséder un répertoire d’une centaine de recettes plus savoureuses les unes que les autres ? Polyvalent et autant apprécié des petits que des grands, le poulet est l’une des viandes les plus maigres que l’on trouve sur le marché et fait partie des plus protéinées : que demander de plus ? Que ce soit pour un souper express de semaine, un repas entre amis ou tout simplement pour découvrir de nouvelles saveurs, le poulet est toujours une option gagnante ! Ce livre de la collection Les plaisirs gourmands de Caty se veut un outil indispensable pour renouveler le plaisir de cuisiner cette viande chouchou des Québécois à travers les 100 meilleures recettes publiées à ce sujet.
LangueFrançais
ÉditeurLes plaisirs gourmands de Caty
Date de sortie4 août 2025
ISBN9782898563560
Poulet: Plats de semaine et recettes de weekend

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    Aperçu du livre

    Poulet - Pratico Édition

    Mes plaisirs gourmands

    Hommage au poulet

    J’aime le poulet.

    D’abord, pour sa polyvalence. C’est incroyable tout ce qu’on peut faire avec du poulet ! Grâce à la multitude de découpes dans lesquelles il est offert, il se prête à toutes sortes de mets, allant du simple sandwich au sauté exotique.

    Comme j’ai le souci de m’alimenter sainement, je l’apprécie aussi pour sa valeur nutritive et son faible apport en gras. Saviez-vous qu’une portion de 75 g de poitrine de poulet rôti sans peau fournit 25 g de protéines et seulement 2 g de gras (environ 1 c. à thé – 5 ml d’huile)?

    Et ce qui me plaît par-dessus tout, c’est qu’on peut compter sur lui autant la semaine que le weekend, puisqu’il sait s’adapter à toutes les occasions, qu’il s’agisse d’un souper chic ou d’un dîner à la bonne franquette.

    Si, comme moi, vous avez un faible pour cette volaille, ce livre est pour vous. Dans celui-ci, l’équipe de Les plaisirs gourmands de Caty partage avec vous ses 100 meilleures recettes pour cuisiner le poulet. Bouchées à partager, soupes, salades, pâtes, plats réconfort, mets exotiques, repas express (prêts en 30 minutes !), repas minceur (400 calories ou moins par portion !), repas pour recevoir… autant de façons de mettre en valeur cette chair tendre et juteuse. Et pour votre plus grand plaisir, la cerise sur le sundae : 10 recettes de poulet croustillant à dévorer sans culpabilité !

    Alors, vous mangez quoi ce soir ?

    Bon appétit !

    Le poulet

    nutritif et polyvalent

    Sans contredit l’une des viandes les plus polyvalentes que l’on trouve sur le marché, le poulet est un aliment nutritif qui, grâce à la grande variété de découpes dans lesquelles il est offert, permet une diversité incomparable dans l’assiette ! Faible en gras, riche en protéines et abordable, il n’y a aucune raison de se passer de cet aliment qui fait l’unanimité !

    Le Guide alimentaire canadien suggère de consommer quotidiennement de deux à trois portions du groupe « viandes et substituts ». La volaille, qui fait partie de ce groupe, nous procure plusieurs vitamines et minéraux essentiels en plus d’être la viande la plus protéinée. Solidité des os, bon état de la masse musculaire, maintien du système immunitaire : voici à quoi les protéines contribuent. Les protéines du poulet ont d’ailleurs une haute teneur en acides aminés, des éléments essentiels à la croissance, au maintien et à la réparation des tissus.

    Quant aux matières grasses, la volaille est le type de viande qui en contient le moins. En effet, 100 g de poitrine de poulet rôti (dont on a préalablement retiré la peau) contiennent aussi peu que 2,1 g de matières grasses. C’est l’équivalent de moins de 5 ml (1 c. à thé) d’huile, de beurre ou de margarine. En comparaison, la même portion de bœuf haché maigre bien cuit contient 13,9 g de matières grasses.

    Comme au resto !

    Vous cherchez en vain comment cuisiner du poulet rôti digne de votre rôtisserie favorite ? Rien de plus simple : le secret est dans la saumure ! C’est grâce à elle si la chair du poulet reste moelleuse et juteuse. Déposez votre volaille crue dans un grand sac refermable en plastique (de type Ziploc), puis ajoutez 2 litres (8 tasses) d’eau froide et 125 ml (1/2 tasse) de sel. Réfrigérez le tout de 3 à 4 heures, puis rincez abondamment la volaille à l’eau froide. Asséchez-la à l’aide de papier absorbant et faites-la cuire avec la peau – elle retient le jus et rend la viande tendre – en calculant plus ou moins 1 heure de cuisson au four par kilo (2,2 lb) à 190 °C (375 °F).

    Calculer ses portions à la perfection

    Vous avez toujours peur d’en avoir trop acheté, ou pire, d’en manquer ? Ces quelques notions vous aideront à calculer les bonnes portions pour vos invités : un poulet entier de 1,8 kg (environ 4 lb) donne quatre portions, alors que 175 g (environ 1/3 de lb) de poitrine ou 200 g (environ 1/2 lb) de cuisse en donnent une.

    Truc :

    à l’achat, optez pour les gros poulets puisque leur proportion de chair (ce qui nous intéresse !) par rapport aux os est plus élevée qu’avec les petits poulets.

    Une cuisson sans risque

    S’il est trop cuit, le poulet devient sec. En revanche, s’il ne l’est pas assez, il risque de contenir des traces de bactéries nocives, comme la salmonelle. Comment peut-on s’assurer d’obtenir une cuisson à la fois optimale et sécuritaire ? C’est simple : il vous suffit de vous procurer un thermomètre à cuisson ! Ils sont peu coûteux et assurent la cuisson parfaite de toutes les découpes. La température interne du poulet (comme celle du dindon) devrait atteindre 77 °C (170 °F), celle de la volaille hachée 80 °C (176 °F) et celle de la volaille entière 83 °C (181 °F) sur le thermomètre. Pour une lecture adéquate de la température, piquez le thermomètre dans la partie la plus épaisse de la chair en prenant soin de ne pas toucher d’os ou, dans le cas d’un poulet entier, dans une cuisse. En cas de doute, sachez que les cuisses d’un poulet bien cuit doivent se détacher facilement et que le jus qui s’écoule de la chair doit être transparent (et non pas rosé !).

    Le poulet aux hormones : un mythe ?

    De nombreux mythes alimentaires mènent la vie dure au poulet, principalement ceux qui concernent le fameux « poulet aux hormones ». Rassurez-vous : l’hormone diéthylstilboestrol (DES) est interdite au Canada depuis 1973, année où une étude a démontré qu’elle pouvait être cancérigène. Depuis quatre décennies, il est donc interdit de vendre toute substance possédant une action estrogène pour l’administrer à des volailles destinées à la consommation.

    Et le poulet de grain, c’est bien ?

    Au goût, il est pratiquement impossible de distinguer le poulet dit « régulier » du poulet de grain. La principale différence apparaîtra sur la facture, qui sera beaucoup plus salée pour le poulet de grain. Un poulet de grain doit répondre à deux critères établis par le gouvernement du Québec. Premièrement, il ne doit avoir reçu aucune substance favorisant la croissance. Mais puisque cette pratique est interdite au Canada depuis 1973, ni les poulets « réguliers » ni les poulets de grain en contiennent. Deuxièmement, le poulet ne doit pas avoir consommé de matières grasses d’origine animale. Puisque tous les types de poulets sont nourris à 80 % de grains, plusieurs compagnies jouent avec les mots en inscrivant sur les emballages « grains » ou « poulet nourri aux grains », mais sachez que ces allégations ne garantissent en rien qu’il s’agit d’un poulet de grain. Il faut donc se fier à la bonne foi des éleveurs.

    Prudence avec la volaille !

    Bien que la bactérie appelée salmonelle doive être prise très au sérieux, quelques astuces et précautions simples pour la manipulation et la cuisson suffisent à prévenir la prolifération des bactéries.

    •Après tout contact avec la volaille crue, lavez vos mains, vos ustensiles et votre espace de travail avec de l’eau chaude et du savon antibactérien.

    •Ne mettez jamais la volaille crue en contact avec d’autres viandes (dans une assiette à fondue, par exemple).

    •Utilisez un thermomètre pour vérifier la cuisson.

    •Ne laissez jamais décongeler le poulet à température ambiante.

    •La farce offrant un milieu propice à la prolifération des bactéries, farcissez votre poulet juste avant de le cuire.

    La conservation

    Puisque toutes les précautions sont de mise avec le poulet, voici un rappel des durées de conservation des différentes découpes.

    Décongeler sans danger

    Le fait de laisser décongeler du poulet à température ambiante augmente la

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