Camp de travail: Derrière les lignes ennemies, survie dans la prison oubliée

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce qu'un camp de travail

Un camp de travail ou camp de travail est un centre de détention où les détenus sont forcés de s'engager dans des travaux pénaux comme forme de punition. Les camps de travail ont de nombreux aspects communs avec l’esclavage et les prisons. Les conditions dans les camps de travail varient considérablement selon les opérateurs. Convention n° L'article 105 de l'Organisation internationale du travail (OIT), adopté au niveau international le 27 juin 1957, a aboli les camps de travail forcé.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Camp de travail

Chapitre 2 : Goulag

Chapitre 3 : Laogai

Chapitre 4 : Colonie pénale

Chapitre 5 : Internement

Chapitre 6 : Katorga

Chapitre 7 : Camp de concentration de Hoeryong

Chapitre 8 : Travail pénal

Chapitre 9 : Camp de concentration de Jaworzno

Chapitre 10 : Extermination par le travail

(II) Répondre aux principales questions du public sur le camp de travail.

À qui s'adresse ce livre

Les professionnels, les étudiants du premier cycle et des cycles supérieurs, les passionnés, les amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout une sorte de camp de travail.

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 3 juin 2024

Aperçu du livre

Camp de travail

Derrière les lignes ennemies : la survie dans la prison oubliée

Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.

Un milliard de connaissances

Camp de travail

Derrière les lignes ennemies : la survie dans la prison oubliée

Fouad Sabry

Copyright

Camp © de travail 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.

Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit ou par quelque moyen électronique ou mécanique que ce soit, y compris les systèmes de stockage et de récupération d'informations, sans l'autorisation écrite de l'auteur. La seule exception est celle d'un critique, qui peut citer de courts extraits dans une critique.

Couverture conçue par Fouad Sabry.

Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.

Table des matières

Chapitre 1 : Camp de travail

Chapitre 2 : Goulag

Chapitre 3 : Laogai

Chapitre 4 : Colonie pénitentiaire

Chapitre 5 : L'internement

Chapitre 6 : Katorga

Chapitre 7 : Le camp de concentration de Hoeryong

Chapitre 8 : Travail pénal

Chapitre 9 : Le camp de concentration de Jaworzno

Chapitre 10 : Extermination par le travail

Appendice

À propos de l'auteur

Chapitre 1 : Camp de travail

Un camp de travail (ou camp de travail ; voir les variantes orthographiques) ou camp de travail est un établissement correctionnel dans lequel les détenus sont tenus d'effectuer des travaux forcés en guise de punition. Il existe de nombreuses similitudes entre les camps d'esclaves et les prisons (en particulier les fermes pénitentiaires). Les conditions des camps de travail varient fortement selon les opérateurs. Adoptée dans le monde entier le 27 juin 1957, la Convention n° 105 de l'Organisation internationale du travail (OIT) des Nations Unies interdit les camps de travaux forcés.

Au XXe siècle, un nouveau type de camps de travail a émergé pour l'enfermement de millions d'individus qui n'étaient pas des criminels en soi, mais plutôt des opposants politiques (réels ou imaginaires) et d'autres soi-disant indésirables sous les gouvernements communistes et fascistes. Certains de ces camps ont été qualifiés de « centres de rééducation » pour la contrainte politique, bien que la grande majorité ait agi comme des piliers économiques et agricoles au profit de l'État, en particulier en temps de guerre.

Les nations du début de l'ère moderne ont pu exploiter les dissidents et les personnes aux idéologies politiques ou religieuses douteuses en combinant l'incarcération et le travail utile dans le fonctionnement de leurs galères. C'est la sentence infligée à de nombreux captifs chrétiens dans l'Empire ottoman et aux calvinistes (huguenots) dans la France prérévolutionnaire.

Après la Seconde Guerre mondiale, les Alliés contrôlaient un certain nombre de camps de travail. Lors de la conférence de Yalta de 1945, il a été décidé que le travail forcé allemand servirait de réparation. Plus d'un million d'Allemands ont été forcés de travailler dans les mines de charbon françaises et les terres agricoles britanniques, en plus de 500 000 dans les unités du service du travail militaire dirigées par les États-Unis en Allemagne occupée. Voir Travail forcé allemand après la Seconde Guerre mondiale.

Selon le New Statesman, entre 1962 et 2011, l'administration militaire birmane a maintenu environ 91 camps de travail pour prisonniers politiques.

Entre 1938 et 1949, le Kuomintang anticommuniste a dirigé de nombreux camps, notamment le Northwestern Youth Labor Camp pour les jeunes militants et étudiants.

Depuis au moins 1949, date à laquelle il a pris le contrôle, le Parti communiste chinois a géré de nombreux camps de travail pour diverses infractions. Deng Xiaoping et Liu Shaoqi faisaient partie des dirigeants chinois envoyés dans des camps de travail à la suite de purges. Les écoles cadres du septième mai sont un exemple de camps de travail pendant la Révolution culturelle.

Camps d'internement du Xinjiang

Les personnes classées comme « contre le gouvernement » ont reçu l'ordre de se rendre dans des camps « Unités militaires d'aide à la production » à partir de novembre 1965. (UMAP).

En 1948, après la prise de pouvoir communiste de la Tchécoslovaquie, de nombreux camps de travaux forcés ont été créés. Les détenus comprenaient des prisonniers politiques, des membres du clergé, des koulaks, des chefs scouts et un certain nombre d'autres groupes considérés comme des ennemis de l'État. Environ cinquante pour cent des détenus travaillaient dans des mines d'uranium. Ces camps ont existé jusqu'en 1961.

En outre, entre 1950 et 1954, certains hommes ont été jugés « politiquement indignes de confiance » pour le service militaire et ont été enrôlés dans des bataillons de travail (tchèque : Pomocné technické prapory (PTP)) à la place.

Pendant la colonisation de la Libye, les Italiens ont déporté la majorité des Libyens de Cyrénaïque vers des camps de concentration et ont exploité les survivants pour construire la route côtière et de nouveaux projets agricoles dans des conditions semi-esclavagistes.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont géré de nombreux types d'Arbeitslager (camps de travail) pour diverses catégories de prisonniers.

Le plus grand