Principe de non-agression: Restriction stratégique et guerre éthique dans les conflits modernes

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce que le principe de non-agression

Le principe de non-agression (NAP), également appelé axiome de non-agression, est la règle juridique ou morale qui stipule que toute personne est autorisé à tout faire avec ses biens, à l'exception de l'agression, qui est à son tour définie comme le lancement d'une action par la force, qui est à son tour définie comme « l'application ou la menace de » « une ingérence physique ou une fraude », le tout sans consentement. Le principe est également appelé non-usage de la force. Le principe intègre une force exécutoire universelle.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Principe de non-agression

Chapitre 2 : Anarcho-capitalisme

Chapitre 3 : Murray Rothbard

Chapitre 4 : Perspectives libertaires sur la propriété intellectuelle

Chapitre 5 : Perspectives libertaires sur l'immigration

Chapitre 6 : Perspectives libertaires sur l'avortement

Chapitre 7 : Hans-Hermann Hoppe

Chapitre 8 : Propriété de soi

Chapitre 9 : État veilleur de nuit

Chapitre 10 : Anarchisme et capitalisme

(II ) Répondre aux principales questions du public sur le principe de non-agression.

À qui s'adresse ce livre

Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type de principe de non-agression.

 

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 3 juin 2024

Aperçu du livre

Principe de non-agression

Retenue stratégique et guerre éthique dans les conflits modernes

Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.

Un milliard de connaissances

Principe de non-agression

Retenue stratégique et guerre éthique dans les conflits modernes

Fouad Sabry

Copyright

Principe © de non-agression 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.

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Couverture conçue par Fouad Sabry.

Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.

Table des matières

Chapitre 1 : Principe de non-agression

Chapitre 2 : L'anarcho-capitalisme

Chapitre 3 : Murray Rothbard

Chapitre 4 : Perspectives libertariennes sur la propriété intellectuelle

Chapitre 5 : Perspectives libertariennes sur l'immigration

Chapitre 6 : Perspectives libertariennes sur l'avortement

Chapitre 7 : Hans-Hermann Hoppe

Chapitre 8 : Propriété de soi

Chapitre 9 : État de veilleur de nuit

Chapitre 10 : Anarchisme et capitalisme

Appendice

À propos de l'auteur

Chapitre 1 : Principe de non-agression

Le principe de non-agression (NAP), parfois connu sous le nom d'axiome de non-agression, est un concept dans lequel l'agression, définie comme le fait d'initier ou de menacer toute atteinte par la force (violation ou violation d'une activité) contre un individu, ses biens ou sa personne, est interdit. Il n'y a pas de compréhension ou de définition unique ou universelle du PAN, avec des interprétations différentes concernant le traitement de la propriété intellectuelle, de la force, de l'avortement et d'autres questions.

Certains considèrent le principe de non-agression comme un concept clé du libertarianisme, du volontarisme, de l'anarcho-capitalisme et du minarchisme.

L'idée a été dérivée d'une variété de perspectives philosophiques, notamment :

Certains théoriciens libertariens de droite contemporains justifient le principe de non-agression en faisant appel aux présupposés praxéologiques de tout discours éthique, un argument lancé par l'universitaire anarcho-capitaliste Hans Hermann Hoppe. Selon eux, argumenter pour le début de l'agression est incompatible avec le principe de non-agression. Parmi ses partisans se trouve Stephen Kinsella.

Certains partisans du principe de non-agression le basent sur l'utilitarisme de la règle ou l'égoïsme de la règle. Bien que les violations du principe de non-agression ne puissent pas être considérées comme objectivement immorales, l'adhésion à ce principe aboutit presque toujours aux meilleurs résultats possibles, et elle devrait donc être considérée comme une ligne directrice morale, selon ces perspectives. David D. Friedman, Ludwig von Mises et Friedrich Hayek font partie de ces chercheurs.

L'objectivisme d'Ayn Rand rejetait les théories des droits naturels ou innés ainsi que les revendications surnaturelles, proposant à la place une philosophie basée sur la « réalité observable » et une éthique basée sur les « nécessités factuelles » de la vie humaine dans un contexte social.

La doctrine juridique de la préclusion, selon Stephan Kinsella, implique et valide le principe de non-agression.

Les partisans et les opposants libertariens du droit à l'avortement fondent leurs arguments sur le NAP. Afin d'évaluer si l'avortement est compatible ou non avec le NAP, il faut déterminer à quelle période de développement un ovule humain fécondé peut être considéré comme une personne ayant le statut et les droits associés à la personnalité. Certains partisans du NAP affirment que cela se produit au moment de la conception, tandis que d'autres soutiennent que parce que le fœtus n'a pas de sensibilité jusqu'à un certain point de développement, il ne peut pas être considéré comme un être humain et peut être considéré comme la propriété de la mère. Cependant, les opposants à l'avortement soutiennent que la sensibilité n'est pas un élément qualificatif. Ils se rapportent au débat sur les droits des animaux et mettent en évidence l'argument tiré de situations marginales selon lequel le PAN s'étend également aux humains non sensibles (c'est-à-dire handicapés mentaux).

Le PAN a été décrit comme s'appliquant à tous les actes non autorisés contre la propriété d'une personne. Les partisans du PAN sont divisés sur la question de savoir s'il devrait s'appliquer aux droits de propriété intellectuelle en plus des droits de propriété physique.