La Mélodie du Montagnard: Amour Inattendu Entre Les Sommets

Par Vesta Romero

Une romance satisfaisante et condensée qui se déroule au cœur de la beauté imprévisible du refuge montagnard de Gable. Amelia, une pilote forcée par une tempête, se retrouve dans l'isolement sauvage qui devient le décor d'une histoire d'amour inoubliable.

Dans ce conte sexy, le parcours d'Amelia et Gable commence avec des étincelles, où la bonne humeur rencontre la bougonnerie et où les rires résonnent à travers leurs moments intimes. Tandis qu'ils naviguent à travers des émotions tumultueuses, des regards partagés et la chaleur d'une cheminée crépitante, leur histoire d'amour éclot contre toute attente.

La femme voluptueuse et passionnée perce les défenses du montagnard, révélant que les mélodies les plus envoûtantes se découvrent dans les endroits les plus inattendus.

Prêt pour une lecture pleine de désir qui se dévoile quand on s'y attend le moins? La Mélodie du Montagnard est votre billet pour une saga amoureuse remplie de passion et de chaleur qui vous tiendra en haleine du début à la fin.

• Langue: Français
• Éditeur: Vesta Romero
• Date de sortie: 26 mai 2024
• ISBN: 9798224469598

Vesta Romero

Vesta Romero writes short and sweet romance books featuring curvy women and men who love them. She believes in HEA so everyone gets their happy ending. Always.

Aperçu du livre

CHAPITRE 1

Les montagnes se dressaient, hautes et imposantes, leurs sommets disparaissant dans les brumes accrochées à leurs pentes.

Nichée dans l'étreinte rugueuse de ces géants inébranlables, une cabane solitaire servait de refuge à un homme qui s'était retiré d'un monde lui ayant laissé un goût des plus amers.

Gable, un homme brisé au cœur meurtri par l'amour, trouvait refuge dans l'isolement des montagnes.

À 40 ans, grand et robuste, son physique musculeux se découpait sur l'imposant décor montagneux devenu son foyer.

Sa carrure athlétique, accentuée par des biceps saillants, témoignait d'une vie bien remplie dans l'étreinte des montagnes.

Ses cheveux clairs et sa barbe soigneusement taillée encadraient son visage buriné, ajoutant à l'aura d'un homme profondément lié à la nature sauvage.

Dans la solitude de la cabane, Gable trouvait non seulement le réconfort du calme de la montagne, mais aussi la compagnie des livres.

Lecteur passionné, il s'entourait d'étagères remplies d'ouvrages bien usés, leurs pages regorgées d'histoires de contrées lointaines et d'aventures dont il n'avait pu que rêver.

En plus de son amour pour la lecture, Gable avait un côté artisan et prenait plaisir à fabriquer des meubles sur mesure à la main.

Son agent, qui faisait occasionnellement l'ascension de la montagne pour récupérer les créations exquises de Gable, s'émerveillait devant la qualité et le savoir-faire reflétant la touche d'un véritable artisan.

Malgré son apparence robuste, les mains de Gable étaient habiles et précises, façonnant chaque morceau de bois en véritables œuvres d'art fonctionnelles.

Son autonomie allait au-delà de l'ébénisterie, englobant les nécessités de la vie.

Il descendait rarement au village, sauf pour faire quelques courses, préférant la simplicité et la tranquillité de son refuge montagnard.

La vie de bûcheron lui convenait parfaitement, et la cabane, avec sa chaleur et son parfum de bois fraîchement coupé, devint un havre où ses passions pour la littérature et l'artisanat se mêlaient au rythme paisible de la vie en montagne.

Grâce à l'abondance de la rivière, il pouvait s'adonner à sa passion pour la pêche.

Il trouvait refuge dans le bruissement des feuilles et les appels lointains d'animaux invisibles, seule compagnie qu'il désirait.

L'extérieur usé de la cabane, portant les marques des années passées, et sa structure solide, défiant les vents violents de la montagne, semblaient refléter le profond sentiment de solitude et de désespoir qui vivait dans son cœur.

L'amour l'avait déçu, le poussant à lui tourner le dos et à se reclure pour se protéger de toute nouvelle peine.

Bien que près de quatre années se soient écoulées, les émotions étaient encore vives. Oui, il était mieux seul.

Un après-midi orageux, alors que les montagnes étaient voilées de nuages sombres et que la pluie s'abattait contre les fenêtres de la cabane, le son lointain d'un rotor d'hélicoptère vint rompre le silence.

Gable fronça les sourcils, irrité par cette intrusion dans la solitude qu'il avait si soigneusement cultivée.

Il se demanda qui diable pouvait bien être le pilote, volant par un temps aussi imprévisible.

Peut-être s'agissait-il de l'un de ces drones envahissants qui ont établi leur domination partout sur la planète ?

Ils semblaient