l'esprit de Kendra

Par Edward M Wolfe

L’esprit de Kendra par Edward M Wofle

Une histoire d’amour logique astrale, caractérisé par une expérience de mort imminente, certains OBE, Paul McCartney, des terroristes, Pink Floyd, des médiums, et certains dauphins sympathiques.

Kendra est une jeune journaliste passionnée en mission en Irak pour couvrir la fin de la guerre.

Keith chez lui aux Etats-Unis, apprend qu’il y a eu un bombardement suivant une attaque suicide quelque part à Bagdad. Un rapport non confirmé que des journalistes étrangers sont la cible.

Quand Keith est incapable de confirmer que Kendra va bien, il commence à s’inquiéter. Comme il envoi plusieurs messages textes et courriels sans réponses, et consulte sa boite courriels à chaque fois qu’il appelle, Keith devient obsédé de l’atteindre. Puis il le fait finalement – tandis qu’il est endormi, entrain de rêver.

Les intenses rêves étranges sont si réels, il ne peut pas dire s’ils sont seulement des rêves, où quelque chose de plus.

Une fois qu’il découvre la vérité, il entre dans une course contre le temps et dans la résistance à sauver la vie de Kendra.

• Langue: Français
• Éditeur: Edward M Wolfe
• Date de sortie: 21 avr. 2021
• ISBN: 9781071597286

Aperçu du livre

L’esprit de

Kendra

Edward M WolfE

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Il s’agit d’un travail de fiction. Tous les personnages, organisations, événements et emplacements dépeint dans cette histoire sont soit le produit de l’imagination de l’auteur ou utilisé de manière fictive.

L’esprit de Kendra

© 2015 Noetic ePress

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Tous droits réservés

Dédié à tous ceux qui ont aimé et à tous ceux qui ont perdu leur amour.

Un

Keith était assise dans un Starbucks un samedi matin essayant de ne pas regarder la déesse malheureuse à deux table de là. Elle fixait attentivement son ordinateur portable et frappant de temps en temps des touches et ayant toujours l’air d’être à deux secondes de le balancer par la fenêtre Il l’a sentait – quelque soit le problème il devait s’empêcher de regarder – Elle était si belle il était difficile de la quitter des yeux.

Deux fois elle regarda par-dessus son épaule avant qu’il regarde au loin et le surprenne à le regarder. Il essayait d’avoir un sourire plaisant amical. Juste un gars buvant un Frappuccino et lisant un livre, c’est tout. Cela ne pouvait pas aider mais il pouvait être remarqué.

Pour reprendre sa fascination, il se souvenait lui-même qu’il ne savait rien à propos d’elle en tant que personne. La beauté de l’extérieur n’est souvent rien de plus qu’une jolie enveloppe dissimulant un vrai désordre à l’intérieur. Il a récemment appris que le chemin serait difficile. Sa dernière petite amie pouvait faire tourner des têtes en un quart de seconde. Elle était aussi littéralement folle. Il avait les dossiers de l’hôpital pour le prouver.

Maintenant il espérait rencontrer quelqu’un qui était juste dans la moyenne de l’extérieur et très douce et normale à l’intérieur. Keith était déterminé à imposer une certaine évolution intelligente sur son impulsion naturelle à chercher la plus attirante des filles du sexe opposé. Il se dit à lui-même qu’il n’y avait pas de raison rationnelle pour l’attirance. C’était biologique, et tel quel ne devrait pas être autorisé à influencer ces actions.

La beauté frustrée travaillant sur son ordinateur portable n’était rien d’autre qu’un stimulant visuel bien agréable; comme un lit de roses à l’aube et au coucher du soleil sur la plage. Il avait aucune raison d’assumer qu’elle était même compatible avec lui, et il n’avait pensé à une manière de l’approcher.

Keith savait à quel point la beauté pouvait affecter le jugement d’une personne. Il l’avait vu dans toute sa vie. Sa propre beauté avait parfois joué en sa faveur. Dans son travail actuel comme directeur en informatique, il était très jeune pour avoir ce poste et il était certain d’avoir battu le concurrent le plus qualifié qui était moins attirant et moins charismatique.

Keith risquait un autre regard vers la belle jeune femme et maintenant elle était assise les bras croisés et faisait la moue devant son écran. Il se demandait si le problème venait du matériel ou du logiciel. Peut être qu’il pourrait le découvrir. Il devait être capable de l’aider.

Il savait que quelques fois les problèmes les plus simples pouvaient être si frustrants pour l’utilisateur qui ne savait pas ce qui allait de travers. Les messages d’erreurs était presque toujours mal marquées, n’avait pas de sens et cela n’aidait pas pour trouver le problème. Ils demandaient souvent aux utilisateurs de voir (votre administrateur) comme si les gens ne rencontraient que des problèmes sur leur lieu de travail où un administrateur pouvait les aider.

Devrais-je lui demander si elle a besoin d’aide? Non, ce dit-il à lui-même. Ne jamais pensé à cela. Il voyait une fille moins attirante à sa droite. Elle était très en forme et lisait un livre Cela pouvait être un signe qu’elle était intelligente et qu’elle pensait profondément. Bien qu’il soit également possible qu’elle soit entrain de lire un livre quelque chose de ridicule.

Comme il était entrain de penser à ces choses, il sentit quelque chose de délicieux et intoxiquant dans l’air, venant vers lui à sa gauche. Il tournait sa tête, et elle était debout en face de lui. Sa première pensée était de dire quelque chose comme un compliment sur son parfum ou qu’importe ce que c’était cela sentait si bon. Mais avant qu’il ne puisse penser à quoi que se soit, elle interrompait ses pensées.

"Je déteste vous déranger, mais je me demandais si vous saviez quelque chose à propos des ordinateurs. Je suis dans une terrible impasse ! J’essai de respecter une échéance. Et mon ordinateur fait de ma vie un enfer à ce moment. J’ai vraiment besoin d’aide.

Parfait, pensa-t-il. Trop parfait. Il l’a regarda dans les yeux pendant seulement une seconde et il était complètement à son service. Toutes ses pensées sur l’auto-restriction et faisant un choix informé sur le type de femme avec qui il pouvait avoir un rendez-vous évitant les types super sexy évaporé comme la vapeur.

Bien, possiblement. Qu’est ce qu’il se passe avec celui-ci? demandait-il nonchalamment.

C’est ok si je m’assois? Elle regardait la chaise vide à côté de lui.

Bien sûr.

Juste une seconde. Je reviens tout de suite Elle partit et saisit son ordinateur portable et son café et revenait à sa table, posant ses affaires avant de retirer la chaise. Elle s’assit et tournait l’ordinateur portable donc l’écran face à Keith. Regardez cela? Que c’est-il passé. L’écran est blanc et le cercle bleu est simplement entrain de tourner, et je ne peux rien faire. Je dois donner cet article à mon éditeur— Elle regardait vers son téléphone portable. Dans les prochaines 22 minutes. Normalement si mon ordinateur se verrouille, je le tourne simplement, et lorsque je le tourne il se rallume, c’est bon, mais je ne peux pas perdre cet article. Si je le fais, je perdrais également mon travail.

Quelle chance, pensait Keith. Une belle demoiselle en détresse dont le bien-être et les moyens de subsistance était menacée par une bête technologique, et tuer de telles bêtes était sa spécialité.

Elle se leva et vint de son côté de la table, se tenant si près de lui que son bras gauche toucha son bras droit. Elle s’est penché et à appuyé plusieurs fois sur le bouton de la souris, lui démontrant que son ordinateur ne répondait pas.

Regardez?

Ouais. Keith pouvait à peine parler avec elle se tenant si proche, le faisant nager dans son parfum. Il avait envie de fermer les yeux et de respirer profondément, savourer le moment. Il se gifla mentalement pour sortir de l’enchantement qui emportait son esprit comme dans un trou noir « laissez-moi essayer quelque chose."

Kendra le regardait, réalisant rapidement qu’elle n’aurait pas pu demander à une personne autant qualifié. Et quelles chances étaient que le plus beau gars du Starbucks soit aussi assistant en informatique. Mais ensuite, elle a presque paniqué quand il a commencé à taper sur les touches et sa barre de tâche à disparu. Elle était certaine qu’il avait fait quelque chose pour rendre son ordinateur inutilisable, même si elle venait de lui dire qu’elle ne pouvait perdre ce document. Son travail dépendait de cela. Mais lorsqu’il tapait, la souris, et tapait un peu plus la barre des tâches et revenue et maintenant WORD semblait plus délavé et le cercle bleu tournant est devenu une flèche blanche, et voila, le curseur clignotait, ce qui signifiait qu’elle pouvait reprendre l’écriture et peut être finir son article avec expiration du délai.

Comment est-ce que vous avez fait cela? Elle souriait brillamment et Keith était sûr qu’il n’avait jamais vu personne d’aussi beau. Il était si reconnaissant que quelque chose de si simple pouvait générer une telle joie pure chez un autre humain. Elle rayonnait de soulagement et son cauchemar n’était plus une préoccupation.

Je pourrais vous dire, et je le ferais un jour si vous êtes vraiment intéressé mais pour l’instant vous avez moins de vingt minutes pour envoyer votre article à votre rédacteur en chef Vous feriez mieux de travailler. Il fit tourner son ordinateur pour qu’il face à la chaise vide en face de lui. Il prenait son café, se pencha en arrière et prit une gorgée, regardant son ordinateur portable par dessus le bord de la tasse et haussant les sourcils pour lui dire « au travail »."

Merci beaucoup! Elle se pencha pour lui donner un rapide bisou sur les lèvres, mais dès que leurs lèvres se touchèrent quelque chose vint en elle. Elle laissa le baiser s’attarder même si elle savait que cela était complètement fou. Elle s’écarta de lui et reprit sa respiration « Je vous remercie ».

Keith ne pouvait pas parler. Son cerveau bourdonnait et il ne pouvait plus sentir son corps. D’une manière ou d’une autre, il a réussit à sourire, puis a pointé son ordinateur portable.

Oh, bien! Elle s’assit rapidement et commençait à taper après avoir regardé la page pendant quelques secondes pour ramener son esprit là ou il était lorsque son ordinateur s’est verrouillé. Tandis qu’elle tapait, elle regardait périodiquement le haut de l’écran pour jeter de petits regards à Keith. Chaque fois qu’elle le faisait il l’a regardait. Elle avait du mal à resté concentrer mais elle réussit à terminer son article avec plusieurs minutes d’avance.

Elle ouvrait son navigateur web et était sur le point de rédiger un email lorsque son téléphone à sonné.  Elle l’a regardé, puis à regardé Keith et fit une grimace simulée.

"Salut, c’est Kendra.

Oui je vous l’envoyais juste par email en ce moment.

Euh, je ne suis pas trop loin en fait, je peux être là dans environ 5 minutes.

D’accord à plus tard.

Elle finit l’appel et me fis un visage marrant à son téléphone comme si quelque chose de bizarre s’était juste produit. Elle a utilisé le pave tactile pour fermer son document et a rabattu le couvercle.

Je suppose que ne n’enverrais pas mon article par email. Je le livrerais en personne. Elle fronça les sourcils comme elle ramassait son ordinateur portable et son café. Elle fit le tour de la table à côté de Keith et se pencha, lui donnant un rapide baisé sur les lèvres. « Merci beaucoup encore une fois’ tu n’a aucune idée...

Elle se précipita vers la porte et entra dans le parking. Keith retourna la chaise pour la regarder partir, incapable de croire qu’elle le laissait là, pris dans un sort qu’elle lui avait jeté. Il l’a regarda marcher vers une Matia rouge décapotable. Elle est montée, les feux stops se sont allumés et les feux de recul blanc se sont allumés. Elle a reculé hors de l’espace de stationnement, et quand sa voiture était parallèle à l’avant du Starbucks elle a tourné la tête et a regardé Keith.

A trente mètres de là leur regard se croisa et elle a prononcé le mot, Bye et ses dents tombaient sur sa lèvre inférieure. Puis elle a passé la première vitesse et est partie.

Keith fixa l’endroit ou elle venait d’être, la voyant toujours là dans son esprit.

Kendra, disait-il tout haut. Il prit une profonde inspiration et soupirait comme un home qui avait juste trouvé quelque chose qui lui avait échappé pendant des années

Deux

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Keith était conscient du fait que Kendra venait juste de partir lui ayant donné aucune information ni même son nom de famille. Il était également conscient que comme c’était étrange qu’il ne se soucie pas de n’avoir aucun moyen d’entrée en contact avec elle. Pour certaines raison, il semblait certain qu’il allait voir de nouveau Kendra. Il ne savait pas comment, mais il savait que cela se passerait. Il était sur de cela.

La semaine prochaine, il ne pouvait pas s’arrêter de penser à elle; au travail, à la maison, tout en cuisinant, tandis qu’il promenait son chien, tout en prenant sa douche, quand il était allongé sur son lit tombant de sommeil. Elle dominait ses pensées comme un chèque post date d’un million de dollars.

Quand le samedi suivant est finalement arrivé, il a terminé sa routine matinale et a fait une machine. Puis à emmener son golden retreiver Laci pour une promenade avant de se diriger vers le Starbucks ou il avait rencontré Kendra.

Bien qu’il ne soit pas certain de la revoir, il ne savait pas si ce serait nécessairement aujourd’hui. Et il était fort probable qu’ils se croiseraient au même endroit ou ils s’étaient rencontrés, le même jour de la semaine.

Il commanda son Frappuccino comme d’habitude et s’assit à sa table fétiche et essayait de lire son journal qu’il avait emporté avec lui, mais il découvrait qu’il ne pouvait pas rentrer dans l’histoire. Il n’avait pas été capable de lire toute la semaine. Chaque fois qu’il essayait, habituellement avant d’aller dormir, il ne pouvait pas se perdre dans l’histoire. Ses pensées dérivaient toujours vers Kendra. Il pouvait voir son visage et son fabuleux sourire qui l’illuminait de l’intérieur comme un arbre de Noël.

Après quelques minutes, il ne pouvait rester assis le dos à la porte donc il changea de chaise où Kendra s’était assise. Maintenant il pouvait voir quiconque approcher de la porte, et il pouvait voir la majorité du parking. Il gardait un œil pour voir la  Miata rouge, attendant qu’elle rentre. Il était dans un état heureux d’anticipation – pendant un moment. Puis il finit son café, essayait encore de lire, prit un autre café, et finit celui-ci. Puis il commençait à penser à l’heure. A quelle heure avait-elle été là la semaine dernière? Comment de temps devrait-il attendre? Serait-il ringard de laisser un mot au cafetier? Le lui donnerait-il même, où serait-il réticent à aider dans quelque chose qui pouvait ressembler à un comportement de harcèlement effrayant.

Il a finalement et un contre cœur décider de partir. Peut être que cela signifiait juste que cela ne devait pas se faire aujourd’hui. Il allait à sa voiture et différa son départ en rassemblant ses tickets de caisse, emballage de pailles et autres chose qu’il n’avait même pas réalisé était dans sa voiture et les mit dans un sac vide qui déposa dans un dépôt. Il retourna lentement vers l’entrée pour déposer le sac dans la poubelle, donnant à Kendra une dernière chance de se présenter avant de partir.

Mais elle ne vint pas.

Le samedi suivant était une répétition du premier où elle ne s’était pas montrée. Le sentiment de Keith de certitude à commencer à s’estomper, et le doute de soi et l’anxiété s’y sont glissés. Avait-il juste imaginé la connexion qu’il était si sur qu’il partageait? Etait-ce son sentiment qu’ils étaient destinés à être ensemble rien de plus que sa croyance en quelque chose qui voulait être vrai?

Peut être il avait besoin de trouver une autre manière. Peut être de revenir aux Starbucks et juste l’attendre pour se présenter à la fille de ses rêves livrée sur un plateau d’argent. Peut être qu’il fallait qu’il fasse un peu plus d’efforts pour la retrouver.

Il connaissait seulement trois choses à son sujet. Son nom, le type de voiture qu’elle conduisait, et qu’elle était une sorte d’écrivaine. Qu’avait-elle dit sur son écriture? Keith essayait de se rappeler la référence qu’elle avait faite. Il se rappelait qu’elle avait une date limite, et qu’elle était entrain d’écrire un article. Elle avait reçu un coup de fil de son éditeur. Elle travaillait probablement pour un journal ou un magazine.

Il saisit son téléphone  et fit une recherche Goolge pour voir l’ article de Kendra. La plupart des résultats de recherche qui revenait était un modèle nue de playboy nommée Kendra. Il voulait les articles rédigés par Kendra – pas à propos d’elle. Il changea sa requête pour écrire écrit par Kendra et obtient de meilleurs résultats, mais il était pour la plupart des auteurs de livres et aucune d’entre elles n’étaient même à Tusla, ni n’avais rien à voir avec sa Kendra.

Il était découragé et aigri après quelques minutes de recherche. Il ne savait pas comment il pouvait possiblement la retrouver avec le peu qu’il savait. Il attendit moins de temps ce Samedi que celui d’avant, et n’employait aucune technique de décrochage lorsqu’il est allé à sa voiture pour partir Il essayait de combattre une dépression croissante qui essayait de le submerger. Mais ce n’était pas une dépression née d’une pensée négative, ou d’une perte, telle qu’il l’avait combattu ces dernières années. Il était entrain de sentir cela dans son plexus solaire. C’était pareil à un sentiment physique et il ne savait pas ce que cela signifiait. Il doutait de lui-même même d’avantage et il commençait à penser qu’il avait été idiot, sachant que lui et Kendra se rencontrerait de nouveau.

Il ne savait rien. Il n’avait jamais confiance en ces sentiments lorsqu’il rencontrait une belle femme. La beauté embrouille l’esprit masculin. Le désir primordial prend le dessus, et les produits chimiques inondent le cerveau. Dans ce cas il avait simplement interprété la ruée de l’endorphine comme une sorte de signe, comme ne jamais croire qu’un rêve n’est plus qu’un rêve. Quel idiot il avait été.

Il arrêtait de penser à Kendra et se concentrait une fois encore sur les choses routinières dans sa vie. Il prêtait plus d’attention à Laci, et reprit la lecture avec voracité, pour lequel il avait des sentiments mitigés car il était amateur de livres de poche, depuis qu’il avait commencé à lire quand il était enfant. Il découvrait que c’était le moment et plaçait deux types de livres et il était heureux qu’il puisse l’acheter. 

Au cours de la semaine prochaine, il découvrait que Kindle lui ouvrait un monde de livres, et la facilité avec laquelle il pouvait les obtenir était un délice. Il aimait aller à la bibliothèque et chez Barnes & Noble, et il le ferait toujours mais la possibilité de naviguer en ligne, en un seul clic, plus de lire quelques secondes était géniales.

Le samedi suivant, il achetait son Kindle avec lui au Starbucks. Cette fois il y allait comme chaque samedi c’était la routine, se faire livrer un Frapucchino et avait un peu de temps libre pour son activité préférée. Il avait à peine pensé à Kendra. Il se remettait de ce qu’il semblait avoir été une rencontre magique. Et il s’assit même à se place normale dos à la porte. Il n’a même pas senti que quelqu’un lui tapait sur l’épaule. 

Trois

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Keith immédiatement reconnu le parfum et était déjà entrain de sourire lorsqu’il se tournait pour la regarder.

Salut, ma belle.

Elle lui souriait également, et il se sentait surprise de son urgence à l’embrasser. Elle pouvait voir que Keith était content de la voir, mais les sentiments qu’elle ressentait était si fou, elle ne pouvait pas agir sur eux. Elle avait besoin d’une confirmation extérieure en premier lieu sur ce qu’il s’était vraiment passé, et pas seulement une chose pleine d’espoir.

Etais-tu entrain de réserver cette place pour moi?

Keith sourit et disait, Oui. Pendant trois semaines à présent.

Qu’est-ce qu’il y a de si drôle? demanda-t-elle, comme elle s’assit.

Une vraie mauvaise blague.

Je veux entendre cela, disait-elle, tout en riant.

Ah... tu ne peux pas. C’est assez dégoutant.

Ok, maintenant tu as quelque chose à me dire.

Oh mon dieu, je vais regretter cela, mais ok. Qu’est ce que la mouche male célibataire à dit à la dame après avoir atterrit à côté d’elle dans un bar? Keith fit une pause. Excusez-moi, mais ce tabouret est pris?

Keith secouait sa tête avec regret comme il livrait la chute. Kendra plissa les yeux et grimaça: Beurk

Je te l’ai dit, dit-il. C’est assez dégoutant.Ils riaient tous les deux.

Waouh, tu sais vraiment comment faire une impression aux filles.

Hé! Ce n’est pas du jeu. Tu as fait cela pour moi.

Elle rit encore et sans même y penser, mis sa main sur le haut de sa.

Je sais. Je te taquine juste, comment ca a été?

Keith tournait sa main sur son autre paume ou il était touché et il saisit sa main.

Je vais bien. Un petit peu impatiente, mais assez bien. Maintenant à propos de toi?

Je vais bien, j’étais occupé, et impatient de retourner à Tulsa, mon avion a atterri il ya 30 minutes.

Waouh. Tu as un avion?

Oh, ferme-là, disait-elle, giflant sa main avec sa main libre. Tu vois ce que je veux dire.

S’il vient juste atterrir, cela signifie que tu es venu directement ici. Keith souriait de son implication.

Je l’ai fait. J’espérais que tu serais là. Je n’avais aucun moyen de te joindre, et je me suis vexé de ne pas avoir obtenu ton numéro lorsque nous nous sommes rencontrés.

J’étais assit ici encore entrain de t’attendre – pendant trois semaines. Je n’ai pas bougé d’un centimètre. Et maintenant j’ai peur d’avoir besoin de rentrer chez moi et de me prendre une douche et de manger, de dormir – tu sais, toutes les choses que j’ai négligé.

Kendra riait et souriait. Elle avait eut la confirmation qu’elle voulait Keith définitivement l’aime. Elle était heureuse qu’au moins leur amour était réciproque. Mais elle n’était pas encore sure au sujet de l’autre partie – ses folles pensées – que cet étrange sentiment quel avait rencontré était son prochain petit ami le jour où elle avait rencontré Keith.

"Je pense que cela signifie que tu était entrain de penser à moi ? »

Comme un gars avec un esprit unique.

Bien. J’espère que j’étais la seule à qui tu pensais?

Voyons. J’ai rencontré la plus belle des femmes que je n’ai jamais vues. Elle m’a embrassé avant même de connaitre son nom. Puis elle s’est évanouie comme Cinderella. Et juste après cette expérience incroyable je t’ai rencontré.

Kendra riait de nouveau. Je vais t’embrasser de nouveau si tu n’arrêtes pas de me faire rire.

Un gars marche dans un bar...

Elle rigolait. Ok, ça suffit. J’ai une question sérieuse.

Ok. Accouche.

Si tu voulais me revoir, pourquoi ne m’as tu m’as demandé mon numéro?

Bien, tu es parti tellement vite, et je n’en étais même pas aperçu.

Le sourire de Kendra apparemment permanent s’est évanoui. Elle baissa un peu les paupières et mordit sa lèvre inférieure. « Cela ne t’ai pas venu à l’esprit. »

Je ne veux pas dire que cela sonne bien mais oui tu es parti soudainement, mais... Je ne sais pas comment dire cela, ou si je devrais, mais j’ai le sentiment que cela n’avait pas d’importance je n’avais même pas ton numéro.

Qu’est ce que tu veux dire? demanda-t-elle, curieuse mais pleine d’espoir.

Eh bien, j’ai juste eu ce sentiment.

Vas-y... l’incitait-elle.

Je me sens comme si je n’avais d’inquiétude sur comment obtenir ton numéro. Elle pouvait voir qu’il avait d’avantage en tête mais elle ne pouvait le dire. Elle soupçonnait qu’ils ressentent la même chose...

Tu veux dire, comme si tu avais pensé que nous nous croisons à nouveau?

Ouais. Quelque chose comme cela. Bien plus que cela, pensait-il mais il n’allait pas en relever trop. Pas si tôt

How often do you come here?

Habituellement chaque samedi. A peu près le seul moment ou je ne viens c’est quand j’ai rendez-vous avec le vétérinaire

Tu n’aime pas voir les médecins régulièrement?

Keith riait. Je le fais, mais mon chien ne le fait pas. Et depuis que je travaille toute la semaine, je prends en réalité les rendez-vous chez le vétérinaire le week-end.

« Et depuis combien de temps viens-tu le samedi?"

« Depuis que j’ai déménagé à Tulsa il y a encore un an ».

Dans tous les cas, tu m’a vu ici seulement une fois. Pourquoi est-ce que nous nous reverrions ici?

Elle le regardait droit dans les yeux et attendait pour qu’il la regarde, hésistant à lui répondre directement. Il prit une respiration, souffla et frappa dans ses mains sur la petite table en eux, semblant être parvenu à une décision pour le meilleur et pour le pire.

"Ok, je vais juste dire cela et j’espère que tu paniqueras pas.

Attends! Elle démarrait Keith dans le silence. Puis-je avoir l’un de tes Frappuccino? Il souriait et le glissa à travers la table. Elle le prit et amena la paille dans sa bouche « continue »

Ok. Je n’étais pas inquiet pour avoir ton numéro car je sais que je te reverrais. Et tu avais raison. Cela n’avait pas de sens de supposer cela, car je n’avais jamais vu ici auparavant, mais j’étais sur de te voir quelque part et que Keith fit une pause sur la partie qu’il ne voulait pas révéler, mais décida qu’il ferait juste cela. S’il avait raison, il n’y avait pas de raison de faire cela. Et cela... nous finirons par être plus que des amis Il