Soumis Volontaire

Par Lecxia Fenrira

Sara était une enfant gâtée.

Choyé, sexy et protégé.

Trop protégé.

Vierge, à 18 ans.

Courbes de crise cardiaque.

Totalement innocent.

Totalement dépendant...

Une "fille à papa" à part entière.

Impossible de rester seul.

Mais son père, Joaquín, a dû partir.

Marcos était son meilleur ami.

Son partenaire commercial.

Et il a laissé sa fille avec lui...

… son trésor vierge…

… jusqu'à ce jour.

Avertissement : Un roman d'amour sombre et tabou interdit, avec des millionnaires dangereux, une jeune vierge et des transactions très risquées. Destiné à un public adulte et averti.

• Langue: Français
• Éditeur: Lecxia Fenrira
• Date de sortie: 16 mars 2023
• ISBN: 9781667452951

Aperçu du livre

Soumis Volontaire

Lecxia Fenrira

––––––––

Traduit par Paula Banda Rendón 

Soumis Volontaire

Écrit Par Lecxia Fenrira

Copyright © 2023 Lecxia Fenrira

Tous droits réservés

Distribué par Babelcube, Inc.

www.babelcube.com

Traduit par Paula Banda Rendón

Babelcube Books et Babelcube sont des marques déposées de Babelcube Inc.

Soumis volontaire

Romance sombre

Par Lecxia Fenrira

© Lecxia Fenrira 2022.

Tous droits réservés.

Publié en Espagne par Lecxia Fenrira.

Première édition.

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La Bête Traquée  Romance interdite, érotisme et action avec le motard Bad Boy

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LIBRE

Indice

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

1

— Sara, tu vas beaucoup me manquer. — Lui a dit Candace, sa meilleure amie depuis qu'ils ont sept ans.

— Tu me manqueras aussi. — Répondit Sara, sur le point de pleurer.

Tous deux préparaient leurs valises pour rentrer dans leurs maisons respectives, bien qu'en réalité pour eux la luxueuse école en Suisse était leur maison. Ils étaient arrivés à l'Institut Le Rosey à l'âge de sept ans, l'âge minimum pour entrer dans l'institut élitiste.

C'était à Rolle, en Suisse, à une vingtaine de minutes de Genève. Il s'appelait le Collège des Rois et ce n'est pas par hasard, puisqu'une grande partie de la noblesse européenne y était passée, dont le roi Juan Carlos Ier, le prince Rainier III de Monaco, Albert II de Belgique entre autres. Le Rosey était considéré comme l'un des plus prestigieux au monde.

Les filles s'étaient rencontrées quand elles étaient enfants et sont immédiatement devenues de bonnes amies. Elles avaient beaucoup de choses en commun, elles n'étaient que des enfants, toutes deux avaient perdu leur mère quand elles étaient très jeunes, et elles étaient les filles d'hommes immensément riches.

Candace était originaire de Londres, son père possédait une société de télécommunications, l'une des plus importantes du pays. La fille irait à Cambridge, elle allait étudier le droit.

Sara, pour sa part, était la fille de Joaquín Vega, un homme d'affaires qui se consacrait à la sécurité privée. Elle avait décidé d'étudier le commerce, mais à Harvard, donc elle et son meilleur ami et confident devraient se séparer.

Le jour de la remise des diplômes, Joaquín était présent, malgré le fait qu'il avait de nombreuses affaires inachevées, mais Sara était la lumière dans ses yeux, sa fille gâtée. La jeune fille allait recevoir une mention honorable pour être la meilleure de sa classe.

L'homme était fier de sa fille unique, elle était belle, intelligente, obéissante, responsable, une fille exemplaire. Avant d'entrer dans le lieu où la remise des diplômes aurait lieu, ils se sont salués avec un câlin, père et fille s'aimaient beaucoup malgré qu'ils se voyaient peu.

Joaquín et Sara sont allés à Genève pour se rendre à l'aéroport, l'homme avait un avion privé qui les attendait qui les emmènerait à New York, où la famille Vega avait sa résidence.

Ils n'ont pas beaucoup parlé pendant le vol d'un peu plus de huit heures, Sara était triste de dire au revoir à ses compagnons, en particulier Candace, et, d'ailleurs, Joaquín dès qu'il est monté dans l'avion, il a cherché son ordinateur portable et a commencé à travailler .

La jeune fille a mis ses écouteurs et s'est endormie, elle était épuisée, ils n'avaient pratiquement pas dormi ces derniers jours, discutant jusqu'à l'aube, faisant des projets pour les prochaines vacances et promettant qu'ils continueraient à être des confidents malgré la distance.

Sara aimait New York, mais elle ne s'y sentait pas à l'aise, c'était compréhensible, pendant plus de dix ans elle n'y a vécu que pour les vacances, pendant les mois de juillet et août, et une petite saison en décembre pour les vacances.

Joaquín avait décidé qu'elle devait aller à Harvard, bien qu'elle aurait préféré aller à Cambridge ou à Oxford, mais cela dépendait entièrement de son père. Ce qu'elle avait gagné, c'était dans la course, Vega avait insisté pour qu'elle étudie le droit, mais elle avait refusé, elle était déterminée à étudier le commerce.

Lorsqu'ils arrivèrent à l'aéroport, une énorme Bentley les attendait, escortée de deux SUV noirs aux vitres teintées, un devant et un derrière. Sara fut surprise par cet étalage de sécurité. Lors de leur dernière visite il y a un an, ils n'avaient eu que quelques gardes du corps.

En moins d'une heure, ils entraient dans l'immeuble où Joaquín Vega possédait un luxueux appartement, situé au 5ème. Avenue devant Central Park. C'était un immense appartement de six chambres sur deux étages, avec un grand salon où se trouvaient un beau piano, une salle à manger formelle, une immense cuisine, un bureau et une salle de sport.

L'homme avait déménagé il y a trois mois, c'était donc la première fois que Sara mettait les pieds dans l'appartement.

Sara salua Rose, la cuisinière, qui avait été avec eux toute leur vie. Il travaillait pour Joaquín depuis son adolescence. Son mari Peter travaillait également pour eux, il était chargé de faire les courses et de s'occuper de tout ce qui était nécessaire, tous deux étaient totalement dignes de confiance pour Vega.

— Viens voir la maison, princesse ! — Joaquin a dit à sa fille. Il l'emmena dans toutes les pièces du luxueux appartement. Finalement, il l'emmena dans ce qui serait sa chambre. — Vous pouvez le redécorer comme bon vous semble ! parlez à Peter et il vous mettra en contact avec le décorateur.

— Merci papa. Tout est parfait! — Sara lui a dit, et elle le pensait.

La chambre était spacieuse avec un immense dressing et une salle de bain digne d'un spa. Mais le plus impressionnant était la vue, de sa fenêtre il pouvait voir tout Central Park. La jeune fille la regarda fascinée, il était huit heures du soir et les nuances que le coucher de soleil donnait étaient précieuses.

— Ce n'est pas la Suisse, mais je savais que ça te plairait. — Joaquín lui a dit, dans son dos.

— C'est beau! —  La fille a répété.

— Rafraîchissez—vous un peu et descendez dîner. Rose est pointilleuse quand il s'agit de manger, c'est à 9h précises, ni plus, ni moins. — Son père lui a dit, l'a embrassé sur le dessus de la tête et a quitté la pièce.

Sara ouvrit une de ses valises, et en sortit le nécessaire pour prendre une douche rapide, elle ne voulait pas faire attendre Rose le premier jour.

Lorsque Joaquín est descendu, il était assis dans le salon, avec l'ordinateur portable sur ses genoux et un verre de vin devant lui. Il sourit à sa fille bien—aimée, se leva et ils allèrent manger ensemble dans la cuisine, quand il n'y avait pas d'invités ils préféraient y manger. La salle à manger était inconfortable pour eux car la table était pour quatorze personnes, quelque chose de grand pour eux deux.

Vega l'a mise au courant de la famille, lui a dit que les grands—parents faisaient actuellement une croisière en Méditerranée, et qu'ils iraient ensuite dans les Caraïbes. Ils profitaient de leur âge d'or, sa tante Amparo était à Barcelone, en Espagne, elle était une chirurgienne pédiatrique renommée et elle avait déménagé dans la ville natale de son père pour donner des conférences, elle serait de retour dans quelques mois.

La famille Vega était originaire d'Espagne, Salvador le père était un diplomate de ce pays, il est arrivé à New York très jeune et est tombé amoureux d'une fille américaine, alors qu'il était sur le point de terminer sa mission, il lui a proposé, le couple voyagé pendant une dizaine d'années.

Les deux enfants sont nés en Espagne, mais ils sont allés vivre à New York dès leur plus jeune âge. Lorsque Salvador a démissionné du travail diplomatique, il s'est consacré aux affaires, il savait que sa femme voulait s'installer et que les enfants grandiraient avec une certaine stabilité.

Salvador Vega a amassé une fortune considérable en faisant des investissements, la plupart dans l'immobilier. Joaquín pour sa part, quand il a eu dix—huit