Pas n'importe quelle vieille histoire de famtome: Une Conte De La Mer

Par Steve Vernon

Certains secrets ne doivent pas être dévoilés...

Tommy est rentré à la maison de la ville pour visiter son Papa pour une dernière fois. Il est déterminé à aller au fond de tous les secrets que son Papa s’est caché derrière un écran de fumée de contes et de charme.

Il s’avère que certains secrets ne doivent pas être dévoilés.

PAS N'IMPORTE QUELLE VIEILLE  HISTOIRE DE FANTÔME est une petite histoire calme sur le retour à la maison et les fantômes que vous ne pourrez jamais échapper et un amour qui ne meurt jamais. C’est une histoire qui vous mènera au cœur même de la narration elle-même.

• Langue: Français
• Éditeur: Steve Vernon
• Date de sortie: 2 déc. 2020
• ISBN: 9781071577769

Steve Vernon

Everybody always wants a peek at the man behind the curtain. They all want to see just exactly what makes an author tick.Which ticks me off just a little bit - but what good is a lifetime if you can't ride out the peeve and ill-feeling and grin through it all. Hi! I am Steve Vernon and I'd love to scare you. Along the way I'll try to entertain you and I guarantee a giggle as well.If you want to picture me just think of that old dude at the campfire spinning out ghost stories and weird adventures and the grand epic saga of how Thud the Second stepped out of his cave with nothing more than a rock in his fist and slew the mighty saber-toothed tiger.If I listed all of the books I've written I'd most likely bore you - and I am allergic to boring so I will not bore you any further. Go and read some of my books. I promise I sound a whole lot better in print than in real life. Heck, I'll even brush my teeth and comb my hair if you think that will help any.For more up-to-date info please follow my blog at:http://stevevernonstoryteller.wordpress.com/And follow me at Twitter:@StephenVernonyours in storytelling,Steve Vernon

Aperçu du livre

PAS N'IMPORTE QUELLE VIEILLE 

HISTOIRE DE FANTÔME

Une

Conte

De

La

Mer

Par

Steve Vernon

––––––––

Table des matières

Chapitre 1 Dans Lequel Je me Fais Conduire  5

Chapitre 2 Le traçage des Figures dans le Sable  10

Chapitre 3 Adieu Sheila est tout ce qu’elle a écrit  13

Chapitre 4 Jusqu’à cette Rivière sans Pagaie 18

Chapitre 5 Le Vieux Grincheux de L'hameçon s’en Prends Presque Chaque Fois à Eux    21

Chapitre 6 Rien ne Change Jamais  25

Chapitre 7 Il y a de la vérité dans les Bières Bon Marché  27

Chapitre 8 Jason Voorhees Lance un Sonnet Moyen 32

Chapitre 9 Le prendre à l'écart Sebastian Cabot 42

Chapitre 10 Écouter L’eau qui Parle 44

Chapitre 11 Hanter les livres 48

Chapitre 12 L’Anneau Creux de la Vérité Solitaire 56

Chapitre 13  L'Histoire de ma Mère 57

J’avais entendu beaucoup d’histoires et j’ai même raconté quelques-uns et presque chaque histoire que je n’ai jamais entendue ou dite est né de mon père. Je suppose que celle-ci n’est pas différente et pourquoi serait-il? Mon père m’avait dit presque tout que je n’ai jamais appris et deux fois plus que je ne pourrai jamais oublier.

Et même maintenant je me souviens du tout.

Il m’avait dit sur les serpents de neige et les truites de boue. Il m’avait dit comment les rêves n’étaient pas rien de plus que des histoires en attendant d’être nées. Il m’avait dit que l’océan était fait de larmes pleurées par une femme qui s'assoit sur le fond en sanglotant et en tremblant si fort que les vagues remuent et se retournent dans leur partage de son chagrin. Il m’avait dit comment ma province d’origine, la Nouvelle-Écosse qui a autrefois servi de lit à Glooscap et Île-du-Prince-Édouard était le coussin de sa tête.

«Mais le Cap-Breton était le canot du vieux fou noir, vous pariez», papa me dirait. «La chasse ou la pêche, quand Glooscap a voulu se rendre utile à n’importe quel endroit intéressant, il est venue directement à la vieille Île du Cap-Breton.»

Mon père m’avait dit comment le corbeau a volé le soleil du coeur d’hiver et a échangé sa chanson pour la garder. Il m’avait dit que les glaçons ne sont rien de plus que des larmes d’anges de neige pleuraient pour tous les flocons de neige qui n’ont jamais atteint la langue d’un enfant. Il prétend que la limande a dû être si laide-face un poisson après avoir perdu une course de natation mal planifiée avec un patin rapide se déplaçant.

«Cette vieille plie a tiré un visage dégoûtant et elle est restée coincée», Papa m’a dit. «Crois-moi, rien ne colle plus fort que le regret.»

Et c’est peut-être vrai.  

Je veux dire, pensez-y.

Nous apprenons tous à porter tant de regrets inutiles. Nous le traînons derrière nous et le portons cousus dans la doublure intérieure de notre ombre. Je pense que le coeur de chaque histoire de fantôme jamais racontée est inondé avec la douce couleur automnale fanée de pur regret irrémédiable.

«Pourquoi vous me direz autant d’histoires?» J’ai demandé une fois Papa.

«Un homme n’est rien de plus que les histoires qu’il connaisse, Papa a répondu. Et ici en Nouvelle-Écosse, nous cultivons des histoires longues, décousues et profondes. La vie n’est pas seulement sur le câble de télévisions, téléphones portables et journaux. Il y a des silences que les chuchotent parmi les mots, ces secrets qui ne sont pas partagés longtemps après n’importe quelle histoire jamais racontée. Croyez-moi, monsieur homme, il y a un conte d’être dit pour chaque vague qui s'échoue sur les côtes de la Nouvelle-Écosse.»

L’histoire est l’un d’eux.

Chapitre 1 Dans Lequel Je me Fais Conduire

«Montez, » dit le camionneur, alors je suis arrivé.

J’étais debout sur le bord de la route juste avant l’extrémité et du limites de ville Toronto, mon pouce était accroché au contraire-le vent de l’ouest, souhaitant juste faire un tour quand ce gros semi-remorque s’est arrêté.

Quand il a sifflé à une halte J’étais à moitié perdu dans un rêve de jour, vagabondage et me dire moi-meme d’une sorte de silence lent de l’histoire de rien-pensée, regardant au loin le long de l’autoroute et en pensant de comment absolument merveilleux c’était que cette seule parcelle de route pouvait relier une extrémité de notre pays à l'autre et devait, par nature, toucher presque toutes les autres routes d'Amérique du Nord. C’est comme mon père a toujours dit-les flux sanguins et les éléments constitutifs –un corps se demande parfois justement si une grande partie du monde et ne fait rien de plus qu'il a lui-même fait grandir.

Donc j’ai grimpé dans le camion avant que le conducteur ne puisse penser à changer d’avis.

« Attachez-vous», m’a dit le camionneur. «Je ne ralentis pas à partir de maintenant. »

Le camionneur a été construit grand, même assis. Il était tout épaules et bras ressemblant comme s’il avait assez du pouvoir pour arracher le volant du tableau de bord et le nouer en un nœud d’oubli sur mon cou béant. Il avait l’air d’avoir été