Belligérante: Guerriers déchaînés, tactiques, stratégie et triomphes dans les conflits modernes

Par Fouad Sabry

Qu'est-ce qu'un belligérant

Un belligérant est un individu, un groupe, un pays ou une autre entité qui agit de manière hostile, par exemple en s'engageant dans un combat. Le terme vient du latin bellum gerere. Contrairement à l'utilisation du mot belligérant comme adjectif signifiant « agressif », son utilisation comme nom n'implique pas nécessairement qu'un pays belligérant est un agresseur.

Comment vous en bénéficierez

(I) Informations et validations sur les sujets suivants :

Chapitre 1 : Belligérant

Chapitre 2 : Guerre civile américaine

Chapitre 3 : États confédérés d'Amérique

Chapitre 4 : Guerre civile

Chapitre 5 : Pays neutre

Chapitre 6 : Marine des États confédérés

Chapitre 7 : Hamilton Fish

Chapitre 8 : Affaire Trent

Chapitre 9 : Reconnaissance diplomatique

Chapitre 10 : Insurrection

(II) Réponse les principales questions du public sur les belligérants.

À qui s'adresse ce livre

Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs et ceux qui veulent y aller au-delà des connaissances ou informations de base pour tout type de belligérant.

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 3 juin 2024

Aperçu du livre

Belligérant

Warriors Unleashed : tactique, stratégie et triomphes dans les conflits modernes

Fouad Sabry est l'ancien responsable régional du développement commercial pour les applications chez Hewlett Packard pour l'Europe du Sud, le Moyen-Orient et l'Afrique. Fouad est titulaire d'un baccalauréat ès sciences des systèmes informatiques et du contrôle automatique, d'une double maîtrise, d'une maîtrise en administration des affaires et d'une maîtrise en gestion des technologies de l'information de l'Université de Melbourne en Australie. Fouad a plus de 25 ans d'expérience dans les technologies de l'information et de la communication, travaillant dans des entreprises locales, régionales et internationales, telles que Vodafone et des machines commerciales internationales. Actuellement, Fouad est un entrepreneur, auteur, futuriste, axé sur les technologies émergentes et les solutions industrielles, et fondateur de l'initiative One billion knowledge.

Un milliard de connaissances

Belligérant

Warriors Unleashed : tactique, stratégie et triomphes dans les conflits modernes

Fouad Sabry

Copyright

Belliqueux © 2024 par Fouad Sabry. Tous droits réservés.

Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit ou par quelque moyen électronique ou mécanique que ce soit, y compris les systèmes de stockage et de récupération d'informations, sans l'autorisation écrite de l'auteur. La seule exception est celle d'un critique, qui peut citer de courts extraits dans une critique.

Couverture conçue par Fouad Sabry.

Bien que toutes les précautions aient été prises dans la préparation de ce livre, les auteurs et les éditeurs n'assument aucune responsabilité pour les erreurs ou omissions, ou pour les dommages résultant de l'utilisation des informations contenues dans ce livre.

Table des matières

Chapitre 1 : Belligérant

Chapitre 2 : Guerre civile américaine

Chapitre 3 : États confédérés d'Amérique

Chapitre 4 : Guerre civile

Chapitre 5 : Pays neutre

Chapitre 6 : Marine des États confédérés

Chapitre 7 : Poisson Hamilton

Chapitre 8 : L'affaire Trent

Chapitre 9 : Reconnaissance diplomatique

Chapitre 10 : Insurrection

Appendice

À propos de l'auteur

Chapitre 1 : Belligérant

Cherchez combatif dans le dictionnaire gratuit Wiktionnaire.

Un belligérant est une personne, un groupe, une nation ou une autre entité qui se livre à un comportement agressif, comme le combat. L'expression vient du latin bellum gerere (« faire la guerre »). Contrairement à son utilisation comme adjectif signifiant « agressif », l'utilisation de belligérant comme nom n'implique pas nécessairement qu'un pays belligérant est un agresseur.

En temps de conflit, les nations belligérantes peuvent être comparées aux nations neutres et non belligérantes. L'application des lois de la guerre aux pays neutres et les obligations des belligérants ne sont affectées par aucune distinction entre pays neutres, puissances neutres et non-belligérants.

En droit international, la « belligérance » fait référence à la position de deux entités ou plus, généralement des États souverains, engagées dans un conflit armé. Souvent, les parties à une guerre invoquent leur droit à la légitime défense en vertu de l'article 51 de la Charte des Nations Unies ou combattent sous les auspices d'une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies (comme la résolution 678 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui a donné une autorité légale à la guerre du Golfe).

Si les forces rebelles sont reconnues comme belligérantes, un état de belligérance peut également exister entre un ou plusieurs gouvernements souverains et les forces rebelles. S'il y a une rébellion contre une autorité établie (telle qu'une autorité reconnue par les Nations Unies) et que les individus participant au soulèvement ne sont pas reconnus comme belligérants, la rébellion est une insurrection.

{Fin du chapitre 1}

Chapitre 2 : Guerre civile américaine

La guerre de Sécession (12 avril 1861 - 26 mai 1865) est une guerre civile aux États-Unis. Elle a été menée entre l'Union (« le Nord ») et la Confédération (« le Sud »), qui était composée d'États sécessionnistes. La principale raison de la guerre civile était le débat sur la question de savoir si l'esclavage serait autorisé à s'étendre dans les régions occidentales, entraînant la création de plus d'États esclavagistes, ou s'il serait empêché de le faire, ce qui était largement considéré comme mettant l'esclavage sur la voie de l'extinction.

La victoire d'Abraham Lincoln à l'élection présidentielle américaine de 1860, au cours de laquelle il s'opposa à l'expansion de l'esclavage dans les territoires de l'Ouest, mit fin à des décennies de conflit politique sur l'esclavage. Sept des premiers États esclavagistes du Sud ont réagi à la victoire de Lincoln en faisant sécession des États-Unis et ont formé la Confédération en février 1861. À l'intérieur de ses frontières, la Confédération a capturé des forts américains et d'autres biens gouvernementaux. La Confédération, dirigée par le président confédéré Jefferson Davis, a pris le contrôle de près d'un tiers de la population américaine dans onze des 34 États qui existaient à l'époque. Quatre années de conflit violent s'en sont suivies, principalement dans le sud.

En 1861 et 1862, l'Union remporta d'importantes victoires permanentes sur le théâtre occidental de la guerre, tandis que le théâtre oriental restait non résolu. L'élimination de l'esclavage est devenue un objectif militaire de l'Union le 1er janvier 1863, lorsque Lincoln a publié la Proclamation d'émancipation, libérant plus de 3,5 millions des 4 millions d'esclaves du pays. À l'été 1862, l'Union détruisit la marine fluviale de la Confédération et une grande partie de ses forces occidentales avant de s'emparer de la Nouvelle-Orléans. Le siège réussi de Vicksburg par l'Union en 1863 divisa la Confédération sur le fleuve Mississippi. Lors de la bataille de Gettysburg en 1863, l'invasion du général Robert E. Lee dans le nord s'arrêta. En 1864, le général Ulysses S. Grant commandait toutes les armées de l'Union en raison des victoires occidentales. Infligeant un blocus naval de plus en plus serré aux ports confédérés, l'Union mobilisa des ressources et du personnel pour frapper la Confédération de tous les côtés. Cela a abouti à la capture d'Atlanta par le général de l'Union William Tecumseh Sherman en 1864, suivie de sa marche vers la mer. Les derniers grands combats ont eu lieu pendant le siège de dix mois de Petersburg, la porte d'entrée de la capitale confédérée. Les Confédérés abandonnèrent Richmond et, le 9 avril 1865, après la bataille d'Appomattox Court House, Lee se rendit à Grant, mettant fin au conflit.

Une vague ultérieure de redditions confédérées s'ensuivit. Cinq jours après la reddition de Lee, le 14 avril, Lincoln fut tué. En pratique, la guerre s'est terminée avec la reddition du département du Trans-Mississippi le 26 mai, mais il n'y a pas de date de fin historique claire et définitive pour la guerre de Sécession. À la fin de la guerre, la plupart des infrastructures du Sud, en particulier ses chemins de fer, avaient été détruites. La Confédération est tombée, l'esclavage a été aboli et quatre millions d'esclaves africains ont été libérés. La nation a ensuite lancé la période de reconstruction dans le but de reconstruire le pays, de réintégrer les anciens États confédérés et d'accorder des droits civils aux esclaves libérés.

La guerre civile américaine est l'un des événements les plus étudiés et les plus écrits de l'histoire américaine. C'est toujours le sujet de controverses culturelles et historiques. Le mythe persistant de la cause perdue de la Confédération est d'une importance particulière. La guerre de Sécession a été l'un des premiers conflits à employer la guerre industrielle. Pendant le conflit, les chemins de fer, le télégraphe, les navires à vapeur, les navires de guerre cuirassés et les armements produits en série ont été largement utilisés. La guerre a entraîné la mort de 620 000 à 750 000 soldats et d'un nombre indéterminé de civils, ce qui en fait le conflit militaire le plus sanglant de l'histoire américaine. La technologie et la sauvagerie de la guerre civile prédisaient les guerres mondiales imminentes.

Historiquement, les raisons de la décision des États du Sud de faire sécession ont été contestées, mais la plupart des historiens identifient aujourd'hui la préservation de l'esclavage comme la raison principale, ne serait-ce que parce que les documents de sécession des États sécessionnistes le disent. Certains révisionnistes historiques ont proposé une série d'explications pour la guerre, ce qui complique encore la situation.

Les désaccords entre les États concernant l'avenir de l'esclavage ont été la principale cause de la désunion et de la guerre qui a suivi.

Dans les décennies précédant la guerre civile, les abolitionnistes – ceux qui prônaient l'abolition de l'esclavage – étaient actifs. Ils font remonter leurs origines intellectuelles aux puritains, qui considéraient l'esclavage comme immoral. La Vente de Joseph, écrite par Samuel Sewall en 1700, est l'un des premiers ouvrages puritains sur ce sujet. Dans ce livre, Sewall critiquait l'esclavage et la traite des esclaves et démystifiait de nombreux arguments répandus en faveur de l'esclavage à l'époque.

Dans les décennies précédant la guerre civile américaine, des abolitionnistes comme Theodore Parker, Ralph Waldo Emerson, Henry David Thoreau et Frederick Douglass ont utilisé l'arrière-plan puritain du pays pour soutenir leur cause. Plus d'un millier de fois, la publication anti-esclavagiste la plus radicale, The Liberator, a fait référence aux puritains et aux vertus puritaines. Parker exhorta les membres du Congrès de la Nouvelle-Angleterre à soutenir l'abolition de l'esclavage en écrivant : « Le fils du puritain est envoyé au Congrès pour défendre la vérité et le droit. »

La question entourant l'esclavage a été exacerbée par la destinée manifeste. Chaque région nouvellement acquise a dû prendre la décision difficile d'autoriser ou non l'« institution particulière ».

En 1860, quatre idéologies avaient évolué pour répondre à la question du contrôle fédéral dans les territoires, et chacune prétendait être tacitement ou explicitement autorisée par la Constitution.

La mesure dans laquelle les droits des États ont précipité la guerre civile américaine a fait l'objet d'un long débat. Les historiens sont d'accord pour dire que la guerre civile n'a pas été menée pour les droits de l'État. McPherson écrit sur la souveraineté de l'État et d'autres justifications non esclavagistes :

Bien qu'une ou plusieurs de ces interprétations continuent d'être populaires parmi les Fils des vétérans confédérés et d'autres groupes du patrimoine sudiste, peu d'historiens professionnels les acceptent à l'heure actuelle. La plus pauvre de ces interprétations est peut-être l'argument des droits de l'État. Il ne soulève pas la question : « Pourquoi les États ont-ils des droits ? » Les droits des États, ou la souveraineté, ont toujours été plus un moyen qu'une fin, un outil pour atteindre un certain objectif plutôt qu'un concept directeur.

Les droits des États étaient une idéologie développée et utilisée pour promouvoir les intérêts des États esclavagistes via l'autorité fédérale.

Les différentes économies du Nord et du Sud, les structures sociales, les coutumes et les croyances politiques ont conduit au sectionnalisme.

Les propriétaires d'esclaves préféraient le travail manuel à faible coût sans machines. Les intérêts manufacturiers du Nord favorisaient les tarifs douaniers et le protectionnisme, mais les planteurs du Sud plaidaient pour le libre-échange.

Au début du XIXe siècle, le nationalisme était une force puissante, avec des défenseurs éminents tels qu'Andrew Jackson et Daniel Webster. Les Sudistes étaient divisés entre ceux qui étaient fidèles aux États-Unis dans leur ensemble (appelés « unionistes du Sud ») et ceux qui étaient principalement fidèles à la région du Sud, puis à la Confédération.

L'élection d'Abraham Lincoln en novembre 1860 a été le catalyseur ultime de la sécession.

L'élection de Lincoln a incité la législature de Caroline du Sud à convoquer une conférence d'État pour envisager la sécession. Avant la guerre, la Caroline du Sud a travaillé plus que tout autre État du Sud pour promouvoir l'idée qu'un État pourrait annuler les lois fédérales et même faire sécession des États-Unis. Le 20 décembre 1860, la conférence décida à l'unanimité de faire sécession et adopta une déclaration de séparation. Il défendait les droits des États pour les propriétaires d'esclaves dans le Sud, mais il contenait également une plainte contre les droits des États du Nord sous la forme d'une opposition à la loi sur les esclaves fugitifs, affirmant que les États du Nord ne remplissaient pas leurs obligations constitutionnelles. En janvier et février 1861, les « États cotonniers » du Mississippi, de la Floride, de l'Alabama, de la Géorgie, de la Louisiane et du Texas firent sécession.

Trois des ordonnances de sécession de chaque État – le Texas, l'Alabama et la Virginie – traitaient spécifiquement de la condition des « États esclavagistes » aux mains des abolitionnistes du Nord. Les autres ne font aucune mention de la