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Alexis dans la peau
Alexis dans la peau
Alexis dans la peau
Livre électronique222 pages3 heures

Alexis dans la peau

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À propos de ce livre électronique

Alexis dans la peau par Anaïs Wilde

Second livre sur le beau multimillionnaire grec, Alexis.

Alexis dans la peau

Alba et Alexis sont tombés amoureux... Mais le Karma continue de s’immiscer dans sa vie. Pourront-il passer l’épreuve ?

Découvre le dénouement de cette histoire entre l’artiste peintre espagnole et le beau grec aux yeux couleur de la mer.

Alexis dans la peau est le deuxième livre de la série Alexis. Sa lecture est recommandée pour les majeurs de 18 ans en raison de son contenu sexuel.

LangueFrançais
Date de sortie3 juin 2019
ISBN9781547590575
Alexis dans la peau

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    Aperçu du livre

    Alexis dans la peau - Anaïs Wilde

    CHAPITRE UN

    Ma première nuit avec Alexis fut magique, beaucoup plus que ce que mon imagination débordante n’avait osé imaginer. Lorsque nos corps finirent par se retrouver, aussi bien lui que moi, nous brisâmes le voile d’étrangeté qui s’était installé entre nous deux.

    L’attraction est faite ainsi, parfois elle fait en sorte que deux adultes se comportent comme deux enfants. La chimie mélange les sens et la communication de la peau s’impose sur celle des mots. Après notre premier assaut, deux autres firent leur apparition. Beaucoup plus doux, plus pausés. Des moments au cours desquels nous prenions notre temps pour nous regarder dans les yeux, pour que nos mains s’unissent paume contre paume pendant que nos corps dansaient au rythme de la mer.

    Alexis.

    Mon grec, mon homme à moi.

    Contre toute logique, c’est ce que moi, je ressentais, comme faisant partie de moi, comme quelque chose qui m’appartenait vraiment. 

    –Moment de plus grande honte ? –demandai-je.

    Nous avions mangé des biscuits pour reprendre des forces, c’était la seule chose qu’on pouvait trouver dans le garde-manger de ce loft impressionnant. Ensuite, nous nous mirent à parler, laissant enfin sortir tous ces mots qui nous bloquaient, ce que nous aurions voulu partager depuis le début et que nous ne nous étions pas dit. Alexis m’avait parlé de son enfance et moi, je lui avais raconté la mienne. Je lui expliquai comment s’était passé ma vie à Albacete et la façon dont une folie s’était emparée de moi et m’avait conduite à acheter un billet aller-simple pour Athènes. Il me caressa le visage en écoutant cette histoire et me regarda, il pensait probablement la même chose que moi, qu’une force occulte s’était chargée de nous unir car notre histoire devait tout simplement exister.

    Les heures passaient, nous étions épuisés, mais aucun de nous deux ne voulaient cesser de parler. Sans savoir qui avait commencé, nous commençâmes des questions aléatoires.

    –Le moment le plus honteux de ma vie... –Alexis leva son regard vers le plafond pour réfléchir.  Nous étions embrassés, allongés sur le lit, moi je le regardais utilisant son bras comme oreiller –. Je suppose que c’était quand j’avais huit ans. Oui. A la fête de fin d’année scolaire. Huit ans. Quelqu’un d’inhumain eut l’idée de nous déguiser en petits soldats pour nous faire danser devant tous les parents. De petits soldats en vestons et en collants blancs et avec un chapeau très haut, de ceux qui se terminent avec un pompon jaune, tu peux t’imaginer cela ?   

    –Mumm, je peux parfaitement bien me l’imaginer. Mon Dieu, comme tu as dû te sentir de bizarre dans un uniforme !

    Alexis sourit et m’embrassa.

    –tu es incorrigible.

    –Ce n’est pas de ma faute si tu es bien roulée. A huit ans, tu devais certainement en rendre plus d’une folle de toi.

    –Penses-tu ! Enfin... Nous étions tous en train de danser et dans l’une de nos figures, je me baissai et je sentis que l’une des coutures de mes collants se défit de haut en bas. Le tissu déchiré et les fesses en l’air.

    Je me mis à rigoler.

    –Vraiment ?

    Alexis acquiesça rougissant légèrement.

    –Et que fis-tu ? –demandai-je.

    –Continuer de danser, qu’allais-je faire d’autre ? Celui-ci fut de loin, mon plus grand moment de honte de ma vie. Bon, c’est mon tour –Alexis me regarda fixement, tout à coup les traits de son visage avait changé, c’était comme si ce qui allait suivre était quelque chose de très sérieux –. Premier amour.

    –Comment ça ? –Je levai ma tête légèrement.

    –Oui, parle-moi de ton premier amour.

    Je fermai mes yeux pour réfléchir.

    Panique. Je ne trouvais pas un seul garçon dont j’étais tombée amoureuse. J’étais sortie avec plusieurs, mais de l’amour ? Personne, à part....

    –Allez –insista-t’il, me pinçant les côtes d’une manière joueuse avec un

    doigt –, dis-moi qui a été ton premier amour.

    –Changement de question –je proposai.

    –Pourquoi ?

    –Parce que je ne peux pas répondre.

    –C’est un piège –dit-il en souriant.

    –Ce n’en est pas un, on n’a pas dit qu’il était obligatoire de répondre.

    –Bon, obligatoire, obligatoire... Si je l’avais su, je ne t’aurais pas raconté l’histoire de mes collants déchirés.

    Je rigolai pour cacher ce qui commençait à m’inquiéter. Étais-je tombée amoureuse d’Alexis ? Peut-être ? Ma petite tête folle me répondait qu’oui, j’étais tombée amoureuse de lui bien avant maintenant. Sans doute, depuis cette nuit où sa voiture était apparue par hasard sur ce chemin vicinal où ma moto Rosa m’avait lâchée. Je cachai mon visage contre sa poitrine.

    J’étais coincée, j’étais tombée amoureuse. Et oui il était le premier. Alexis était mon premier vrai amour.

    –Alors ? –insista-t’il–. Le premier amour ?

    –Comme s’appelle ta fiancée ? –je contre-attaquai–. Tu sais bien, la blonde si splendide –Ces mots sortirent de ma bouche sans en demander l’autorisation à mon cerveau. Lorsque je m’en rendis compte, je les avais déjà prononcés.

    Alexis s’assit sur le lit et me regarda en fronçant les sourcils.

    –Une fiancée ? Tu dis ça sérieusement ?

    J’acquiesçai. La rigidité de mon visage faisait apparaître clairement que pour moi, le jeu était fini. Je parlais tout à fait sérieusement.

    –Je ne sais pas pourquoi tu demandes ça. Je ne sors avec personne. Ou plutôt mieux encore, je sors avec toi... si tu le veux bien. Je sais que c’est un peu tôt pour...

    –La blonde, oui. La blonde, tu sais, cette parfaite-là ? –J’insistai, l’interrompant.

    Il faut savoir que personne n’est capable de me dépasser en matière de têtue. Ni en matière de  têtue, ni de paranoïaque.

    –Quelle blonde ? –Alexis haussa les épaules tout en parlant. Vraiment, il semblait qu’il n’y avait aucune blonde dans sa vie.

    Mais moi, j’insistai.

    –Je vous ai vu au Pirée. Il y a quelques mois. J’attendais le ferry pour retourner à Egine. Toi, tu marchais à quelques mètres de moi. Tu étais en costume cravate. Il y avait une blonde en robe moulante et en talons. Vous étiez montés dans un coupé sportif dans lequel...

    –Marion !

    Alexis se mit à rire comme si je venais de lui raconter la meilleure blague du monde. En réalité, moi, je ne comprenais pas ce qui lui paraissait d’aussi amusant que ça. Mon cœur était en jeu. Je m’étais sentie dévastée pendant des mois rien qu’en pensant à cette maudite blonde. Même en rentrant dans le loft où nous nous trouvions maintenant, mon regard avait cherché des signes qui montraient qu’elle habitait là, avec mon grec à moi. Et maintenant, lui, il rigolait sans arrêts. Les muscles de son abdomen ne cessaient de bouger.

    –Je ne vois pas ce qui est de drôle –dis-je finalement.

    Alexis prit mon visage entre ses mains et m’embrassa une tendresse qui aurait pu faire fondre le pôle nord.

    –Donc, tu m’as vu avec Marion –ses dents très blanches montraient encore comme il trouvait ce sujet-là amusant –. C’est pour cela que tu étais aussi bizarre avec moi, hein ?

    –Ça te semble peu de chose que toi, tu sois en couple et que moi, je me trouve là ?

    –Tu ne peux pas être plus adorable –dit-il, se mordillant la lèvre inférieure et en remuant la tête sans cesser de me regarder –. Marion est mon assistante personnelle. Elle est anglaise, ça fait de nombreuses années qu’elle habite à Athènes, avec son mari et ses enfants. Son mari est grec.

    Mari et deux enfants ? Deux ?

    Cher Karma : rappelle-moi d’apprendre la sculpture pour te faire un monument.

    –Elle est si jolie... –Je me justifiai.

    –Oui, Marion est une belle femme. Mais elle ne m’a jamais plu. Ça fait dix ans qu’elle est mon assistante personnelle. Je lui fais entièrement confiance pour les affaires. Que ce soit clair : pour les affaires. Je le dis, parce que nous commençons à nous connaître et je trouve que tu as une imagination très vive.

    –Oui –Je l’admis–, nous commençons à nous connaître. Mais ce n’est pas une question d’imagination. Elle a sa logique, non ? –Alexis pencha sa tête, pensif –. Du moins, moi, j’avais une justification pour vouloir me maintenir à l’écart de toi. Je m’imaginais que tu étais fiancé ou marié ou quelque chose comme ça.

    –Ou quelque chose comme ça... –Alexis n’arrêtait pas de sourire.

    Maintenant ou jamais, c’était le bon moment pour mettre fin à tous les mystères.

    –Et toi, pourquoi tu m’évitais ? Quelle était cette bêtise selon laquelle tu ne pouvais pas tout me donner ?

    Le sourire s’effaça sur son visage et je craignis le pire. Peut-être que mon intuition était comme un fusil de foire, avec le viseur très, mais très tordu. Je commençai à suspecter qu’une éventuelle fiancée soit une meilleure raison que celle obscure qu’Alexis cachait. Il resta muet. Ensuite, il se leva, enfila un slip et ouvrit la porte de la terrasse. Lorsque je le vis sortir, je mis la chemisette qu’il m’avait prêtée et le suivit.

    Là-bas dehors, l’Acropole nous regardait de haut, avec l’éclaira nocturne allumé, même si la couleur du ciel avait déjà commencé à changer. L’aube était proche. J’avalai ma salive, mais le nœud qui s’était formé dans ma gorge ne disparaissait pas. Et si je perdais Alexis ? Et si je ne l’avais jamais eu pour moi ?

    Un hamac se trouvait dans un coin, accroché sur un support en bois en forme de demi-lune.

    Alexis regarda derrière lui et tendit son bras pour m’offrir sa main. Je sentis comme si ma main était minuscule à l’intérieur de la sienne. Il s’allongea dans le hamac et je m’allongeai à côté de lui, dans ses bras. Alexis tendit ce tissu de fils entrecroisés pour qu’il nous enveloppe. Soufflait un vent légèrement frais qui me donna des frissons. Les bras d’Alexis et ce coton qui nous séparait du monde me servirent de refuge alors que le soleil commençait à apparaître.

    CHAPITRE DEUX

    –Ne me prends pas pour un fou, d’accord ? –dit Alexis avant de commencer à parler.

    Je me collai à lui, tout ce que je pus, prête à l’écouter sans émettre aucun jugement. Alexis semblait disposé à me raconter l’étrange secret qui nous avait maintenus séparés et je n’osais prononcer de mots qui puissent couper sa bonne disposition.

    –Tu te souviens du tableau que je t’ai offert ? –demanda-t’il.

    Comment ne pas m’en souvenir ! Pensai-je. C’est moi qui l’avais peint ! Ce qui me fit me rappeler que je n’avais pas encore raconter à Alexis la façon dont je gagnais ma vie, d’où provenait l’argent pour les réparations de la maison que j’avais achetée et, le plus important (et en réalité ce qui m’effrayait le plus), que je peignais exclusivement pour son cousin qu’il détestait.

    –Mhhm –Je me limitai à faire un petit bruit pour indiquer que je savais de quel tableau il me parlait.

    –Il est le compagnon d’un autre que j’ai chez moi à la maison. –Il se fit un silence insupportable–. Ces tableaux sont réalisés par une artiste peintre qui me plait beaucoup.  –Alexis laissa s’échapper un soupir lourd et je sentis le mouvement brusque de sa poitrine –. Bon c’est fait, je l’ai dit, ce peintre me plait beaucoup. Non pas pour son travail, mais pour elle-même. Ou mieux encore, pour son travail et pour elle. Ou elle, à cause de son travail... Il semble que je m’embrouille et de fait, j’ai été confus, mais ce n’est plus le cas. Ne t’effraie pas, je ne l’ai jamais vue, je ne sais même pas comment elle s’appelle car elle signe ses œuvres avec un signe étrange au lieu d’utiliser son nom. –Alexis fit une pause–. Peut-être que je gâche tout et que tu t’effraies davantage en écoutant cette histoire-là. Je ne le sais pas, mais même moi je ne comprends pas ce qu’il m’arrive avec ce peintre ou avec ses tableaux. Ou l’ensemble.

    Je restais muette, comme électrisée en sachant que j’étais la personne dont Alexis était en train de parler.

    –Depuis quelques mois, j’ai décidé de travailler tant que je le peux depuis ma maison à Egine. Je suis plus tranquille là-bas qu’ici à Athènes. J’ai un portefeuille de clients stable et je peux déjà me le permettre, ils n’ont plus besoin de ma présence en permanence. Je peux dessiner d’où je veux et rencontrer les gens pour voir les projets et les plans. Marion est l’efficacité en personne... Mais bon, ce n’est pas la question. En fait, en pensant que j’allais passer davantage de temps à Egine, j’ai voulu décorer un peu ma maison. Je connais un garçon qui a découvert une nouvelle artiste peintre, il m’a raconté des merveilles sur elle et je lui ai commandé un tableau assez grand pour l’un des murs de mon salon.  Moi, je n’étais pas chez moi lorsque le tableau est arrivé à la maison, je l’ai d’ailleurs beaucoup regretté, même si maintenant en étant là avec toi, je pense qu’il vaut mieux qu’il en ait été ainsi. Comme je te le dis, je suis très confus sur ce sujet-là. J’ai pensé de nombreuses fois que peut-être que si je m’étais retrouvé là-bas à ce moment-là, j’aurais vu que le peintre est une personne en chair et en os et je ne l’aurais pas idéalisée. Mais bon, je ne m’étais pas trouvé là-bas. J’étais descendu prendre un bain à la plage, j’avais fait votre connaissance à Dafni et à toi, nous avions passé un moment dans ce bar, tu t’en souviens ? Et lorsque j’étais rentré à la maison, je m’étais retrouvé avec le tableau appuyé contre un sofa.

    Je fus incapable de décoller mon regard de cette peinture pendant un long, un très long moment. J’aime l’art, tu le sais déjà, mais ce tableau a quelque chose de plus, quelque chose qui dépasse les matériaux et qui se connecte avec moi. Je partis à Paris pour m’occuper d’un client et, tous les jours que j’ai passés dehors, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ce tableau ... Liberté. C’était bizarre, car même si en effet, la toile dégageait de la liberté, même si je pouvais m’imaginer parfaitement l’artiste sans aucune attache, les ailes déployées sur sa vie, le tableau m’attacha, moi. La liberté pour l’artiste, une attache pour moi. Au fil des jours, je finis par l’accrocher dans ma chambre à coucher, je voulais qu’il soit la dernière chose que je voie chaque jour et la première lorsque je me lève. Je commençai à ressentir sa présence comme celle d’un être vivant. J’en vins à me demander si je ne devenais pas fou.  Mais, d’une certaine manière, ce tableau me connectait à sa créatrice. C’est la seule chose que je savais sur l’artiste. De fait, aujourd’hui, je sais seulement qu’il s’agit d’une femme et qu’elle est étrangère. Personne n’est au courant de rien, il n’y a rien sur internet.

    –Et si l’artiste était âgée de soixante-dix ans ? –demandai-je.

    –J’y ai pensé, n’imagine pas le contraire. Mais ça ne changerait absolument rien à ce que ce tableau me transmet. Ce n’est pas que je me sois créé une histoire fantaisiste où le peintre est une femme sexy, spectaculaire, jeune et avec un corps scandaleux.

    –Pourquoi pas ? –demandai-je amusée.

    –Et ben... –Alexis baissa son regard sur moi et je m’efforçai de dissimuler mon sourire. Le sujet était sérieux.

    Au fond, si moi, je n’étais pas le peintre dont on parlait, je ne sais pas ce qu’elle aurait pensé de lui. Peut-être qu’elle serait partie en courant.

    –Tu veux faire connaissance du peintre ? –demandai-je.

    Alexis resta muet quelques secondes.

    –Plus maintenant. C’a été une torture, Alba, tu ne peux même pas de l’imaginer. Le tableau et toi, vous êtes apparus dans ma vie le même jour. Toi, avec ton sourire tendre, avec ta façon d’être qui me gagnait à pas de géant chaque fois que nous nous retrouvions. Avec ce mystère, car tu étais un mystère, tu ne vas pas le nier. Ce mystère qui piquait ma curiosité. Tu étais différente de toutes les autres, vivant dans une maison sans électricité, tu me parlais en ne me racontant rien en réalité. Et ensuite, ton petit corps à toi... –il laissa sortir son air peu à peu par la bouche –. Zut ! Cette nuit-là que je t’ai heurtée dans la mer...

    –Cette nuit-là, quoi ?

    – Quoi ? Et tu oses me le demander ?

    Le visage magnifique d’Alexis, ses yeux couleur mer, ils me regardaient fixement et en totale transparence. Je voyais sur son visage combien je lui plaisais et ça me provoquait des gazouillements dans mon estomac depuis le jour où je l’avais aperçu pour la première fois sur plage.

    –Oui –J’insistai, je voulais le lui entendre dire, qu’il me raconte ce qu’il avait ressenti cette nuit-là –.

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