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Commissaire Marquanteur et l'appel de la personne assassinée : France polar
Commissaire Marquanteur et l'appel de la personne assassinée : France polar
Commissaire Marquanteur et l'appel de la personne assassinée : France polar
Livre électronique144 pages1 heure

Commissaire Marquanteur et l'appel de la personne assassinée : France polar

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À propos de ce livre électronique

Un homme appelle la police judiciaire de Marseille. Il se trouve dans le Parc Borély et pense être suivi. Il demande donc une aide urgente. Lorsque le commissaire Marquanteur et ses collègues le rejoignent, l'inconnu est mort depuis longtemps. Mais ce n'est que le début d'une série de meurtres perfides que le commissaire Marquanteur et ses collègues de la section spéciale FoPoCri devront élucider.

Alfred Bekker est un auteur renommé de romans fantastiques, de romans policiers et de livres pour la jeunesse. Outre ses grands succès de librairie, il a écrit de nombreux romans pour des séries à suspense telles que Ren Dhark, Jerry Cotton, Cotton Reloaded, Commissaire X, John Sinclair et Jessica Bannister. Il a également publié sous les noms de Jack Raymond, Robert Gruber, Neal Chadwick, Henry Rohmer, Conny Walden et Janet Farell.
LangueFrançais
ÉditeurAlfredbooks
Date de sortie17 avr. 2024
ISBN9783745237375
Commissaire Marquanteur et l'appel de la personne assassinée : France polar

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    Commissaire Marquanteur et l'appel de la personne assassinée - Alfred Bekker

    Copyright

    Un livre CassiopeiaPress : CASSIOPEIAPRESS, UKSAK E-Books, Alfred Bekker, Alfred Bekker présente, Casssiopeia-XXX-press, Alfredbooks, Uksak Sonder-Edition, Cassiopeiapress Extra Edition, Cassiopeiapress/AlfredBooks et BEKKERpublishing sont des imprints de

    Alfred Bekker

    Roman par l'auteur

    COUVERTURE A.PANADERO

    © de cette édition 2023 by AlfredBekker/CassiopeiaPress, Lengerich/Westphalie

    Les personnes imaginées n'ont rien à voir avec des personnes réellement vivantes. Les homonymies sont fortuites et non intentionnelles.

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    Tout ce qui concerne la fiction !

    1

    Un vent frais pour Marseille venait de la mer et courbait les arbustes dans sa direction. Mais l'homme à l'imperméable beige avait quand même des perles de sueur sur le front. Ses cheveux clairsemés étaient ébouriffés. Le pouls lui montait jusqu'au cou. Sa main droite saisissait la poignée d'un automatique, sa main gauche tenait un téléphone portable. Du pouce, il composa un numéro.

    Je m'adresse au FoPoCri ?

    Oui. Que pouvons-nous faire pour vous ?

    Ils veulent me tuer ! Venez vite ! Sinon, il sera trop tard !

    Bonjour, qui êtes-vous et où êtes-vous ?

    Je m'appelle Charles Piton. Je me trouve ici, dans le parc Borély, au sud du monument à Charles Baudelaire ... Au secours.

    Puis un coup de feu a suivi.

    2

    Nous nous trouvions sur la voie rapide A 507 et nous nous dirigions vers la pointe sud de Marseille. C'était une journée claire et ensoleillée avec une bonne visibilité. Nous venions de passer devant le Parc Borély et nous pouvions voir une partie de la zone d'escalade.

    L'appel nous est parvenu juste avant le départ.

    C'était Monsieur Jean-Claude Marteau, commissaire général de police, notre chef de la police judiciaire ici à Marseille. Il dirigeait la section spéciale, dont mon collègue commissaire François Leroc et moi-même faisions partie.

    Et qui suis-je ?

    Pierre Marquanteur, commissaire à la Force spéciale de la police criminelle, en abrégé FoPoCri.

    Je fais tout mon possible pour que Marseille reste en sécurité.

    Nous venons de recevoir un appel d'urgence par téléphone portable, nous a expliqué M. Jean-Claude Marteau. Un certain Charles Piton a déclaré être suivi et menacé dans le parc Borély. Un coup de feu a ensuite été entendu et la conversation s'est interrompue. Vous ne devriez pas être trop loin.

    Nous sommes déjà presque arrivés, ai-je promis, tandis que François baissait la vitre et plaçait le gyrophare sur le toit de la voiture de service.

    Piton a d'ailleurs pu nous envoyer une photo qu'il a apparemment prise au dernier moment avec son téléphone portable, a rapporté Monsieur Marteau.

    Pour identifier le coupable ?

    C'est possible. Je vous le transmettrai, Pierre. Mais ne vous faites pas trop d'illusions. Elle est très floue et on ne peut presque rien y voir.

    Quelques instants plus tard, nous avions l'image sur l'écran TFT installé avec un ordinateur dans la console centrale de la voiture de fonction. La résolution de l'écran était bien sûr beaucoup plus grande que celle d'un téléphone portable.

    On ne pouvait vraiment pas y voir grand-chose. En arrière-plan, il y avait quelque chose de vert qui se décomposait en pixels carrés. Il s'agissait apparemment d'arbustes d'ornement, comme on en trouvait dans les différents parcs de la ville. Au premier plan, il y avait quelque chose de sombre.

    Juste une ombre ?

    Ou l'image d'un tueur ?

    Nous ne pouvions qu'espérer que nos collègues du laboratoire nous apporteraient un peu de lumière.

    Mon collègue François Leroc avait mis le haut-parleur à fond pour que nous puissions tous les deux parler à Monsieur Marteau. J'ai appuyé à fond sur l'accélérateur. La sirène a hurlé.

    Le Parc Borély est un espace vert qui s'étendait au sud du nouveau quartier résidentiel.

    Nous avons alerté le service compétent de la police, nous a entre-temps informés Monsieur Marteau. Un large périmètre de sécurité doit être établi autour du parc.

    Si des coups de feu ont déjà été tirés, nous arriverons probablement trop tard d'une manière ou d'une autre, ai-je fait remarquer.

    Oui, mais il se peut que le coupable se prenne dans les mailles du filet que nous jetons en ce moment même sur la région, a répondu Monsieur Marteau. Que l'affaire atterrisse effectivement chez nous dépend des circonstances du crime. Si ce n'est pas le cas, considérez qu'il s'agit d'une aide administrative à la police.

    Oui, a dit François.

    Bonne chance, nous a souhaité notre chef. Il a ensuite coupé la communication.

    Nous avons pris la sortie qui contournait le parc en direction du sud. De là, nous avons ensuite pris le boulevard Champollion pour arriver à proximité de l'étang.

    Nous sommes arrivés à la frontière du Parc Borély. En principe, il était interdit de circuler sur les chemins. Dans cette situation d'urgence, nous avons décidé d'ignorer purement et simplement le code de la route. Pour l'homme qui s'était adressé au FoPoCri pour demander de l'aide, il s'agissait probablement de chaque seconde.

    J'ai donc continué à rouler et j'ai laissé la voiture de service emprunter l'étroite voie réservée aux piétons et aux cyclistes. Bien entendu, une seule trace de pneu pouvait rester sur le chemin pavé, tandis que les pneus de l'autre côté laissaient une vilaine trace dans le gazon entretenu à l'anglaise et taillé à la brosse.

    Il ne nous a fallu que quelques instants pour parcourir les cent mètres de verdure qui nous séparaient de l'étang.

    Il n'y avait presque pas de passants. Une joggeuse s'est arrêtée et nous a regardés avec stupéfaction.

    J'ai arrêté la voiture. François en a sauté et lui a tendu sa carte d'identité.

    François Leroc, FoPoCri ! Attendez un instant !

    La joggeuse avait une vingtaine d'années, les cheveux noirs et était plutôt menue. Elle portait un bandeau portant l'inscription SPORTIVE ENERGY et regardait François avec méfiance. Ce n'est que lorsqu'elle a pu voir de plus près la carte d'identité qu'elle s'est un peu détendue.

    Un homme aurait été menacé ici. Un coup de feu a été tiré. Avez-vous remarqué quelque chose à ce sujet ?

    J'ai entendu deux coups de feu, a-t-elle rapporté. Elle a désigné un front d'arbustes décoratifs d'environ deux mètres et demi qui masquaient la vue d'un endroit de l'étang. Derrière les arbustes, il y a un petit chemin qui longe directement la rive. C'est là que ça a dû se passer.

    Quel est votre nom ?

    Sarah Dercette. J'habite rue Saint-Jacques, à environ trois cents mètres d'ici.

    Nous avons encore besoin de votre déclaration par écrit. Attendez ici ! Les collègues vont arriver d'un moment à l'autre.

    Comme pour le confirmer, des sirènes ont retenti au loin.

    Les collègues ...

    François est revenu à la voiture de service et y est monté. J'ai appuyé sur l'accélérateur et j'ai traversé la pelouse en direction de l'endroit qui nous avait été indiqué. Nous sommes descendus et nous sommes dirigés vers la rive couverte de grands arbustes. C'est là que nous avons trouvé le petit chemin.

    Nous avons saisi nos armes de service et avons regardé autour de nous.

    Il n'y avait rien à voir nulle part.

    Ce type ne peut pas s'être évaporé, ai-je dit.

    Quelqu'un a peut-être jeté le corps dans l'étang, a supposé François.

    Nous avons suivi le chemin.

    Au nord, on pouvait voir un autre petit étang, qui était adjacent à celui où nous nous trouvions. Plus au nord, on pouvait voir le plus grand étang du moulin. Tous les étangs sont entourés par le parc. Un grand ensemble de jardins familiaux bien entretenus se trouvait sur la droite.

    En tout cas, il y avait suffisamment de végétation à proximité pour y cacher un corps, au moins temporairement.

    Nous avons longé la rive en direction du sud pour faire le tour du petit étang. Entre-temps, François a informé par téléphone portable ses collègues de la police que nous n'avions rien trouvé.

    L'inspecteur de police Doberte, qui dirigeait l'opération, a promis que toutes les routes menant au lieu du crime seraient fermées dès que possible afin de procéder à des contrôles de véhicules et de personnes.

    Tout cela a dû aller sacrément vite, ai-je déclaré. Je fixais le sol. Le chemin était pavé de pierres grises. De l'herbe poussait dans les interstices. J'ai remarqué quelque chose qui clignotait de façon métallique au soleil. Je me suis penché et j'ai découvert une douille. Regardez-moi ça !, dis-je en rangeant mon arme de service, en sortant un gant en latex et en ramassant la douille.

    Il semble que quelqu'un ait tiré ici, ai-je constaté.

    La femme a parlé de deux coups de feu, a fait remarquer François. Ce qui signifie qu'il devrait aussi y avoir une deuxième douille.

    Peut-être que l'auteur a ramassé la deuxième douille et n'a simplement pas trouvé l'autre dans la précipitation.

    J'ai soigneusement emballé la douille, puis j'ai regardé à nouveau autour de moi.

    Il y a un parking près des jardins, ai-je dit. De là, vous pouvez rejoindre l'A 507.

    "Vous pensez que le coupable a

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