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Commissaire Marquanteur et l'affaire de la rue de Piot : France Polar
Commissaire Marquanteur et l'affaire de la rue de Piot : France Polar
Commissaire Marquanteur et l'affaire de la rue de Piot : France Polar
Livre électronique155 pages2 heures

Commissaire Marquanteur et l'affaire de la rue de Piot : France Polar

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À propos de ce livre électronique

Roman policier de Peter Haberl & Chris Heller



Une nouvelle enquête pour le commissaire Marquanteur et ses collègues marseillais.

Une rue entière d'immeubles en ruine, à peine habitables. Et pourtant, des gens y vivent. Tout change lorsque quelqu'un tente d'expulser ces locataires en les menaçant, voire en les tuant. Le commissaire Marquanteur et son collègue Leroc se perdent en conjectures jusqu'à ce qu'ils trouvent l'instigateur de ce stratagème perfide, mais ils n'ont pas encore mis fin à ses agissements.
LangueFrançais
ÉditeurAlfredbooks
Date de sortie15 févr. 2024
ISBN9783745236590
Commissaire Marquanteur et l'affaire de la rue de Piot : France Polar

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    Aperçu du livre

    Commissaire Marquanteur et l'affaire de la rue de Piot - Peter Haberl

    Copyright

    Un livre CassiopeiaPress : CASSIOPEIAPRESS, UKSAK E-Books, Alfred Bekker, Alfred Bekker présente, Casssiopeia-XXX-press, Alfredbooks, Uksak Sonder-Edition, Cassiopeiapress Extra Edition, Cassiopeiapress/AlfredBooks et BEKKERpublishing sont des imprints de

    Alfred Bekker

    Roman par l'auteur

    © de cette édition 2024 by AlfredBekker/CassiopeiaPress, Lengerich/Westphalie

    Les personnes imaginées n'ont rien à voir avec des personnes réellement vivantes. Les homonymies sont fortuites et non intentionnelles.

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    Tout ce qui concerne la fiction !

    1

    Cinq terroristes fous ont pris d'assaut la cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille et ont commencé à tirer sauvagement. Il était évident qu'il s'agissait d'islamistes fanatiques dont le seul objectif était de tuer le plus de chrétiens possible. Au milieu du chaos et du désespoir, mes braves collègues de l'unité spéciale FoPoCri et moi-même avons décidé de nous engager pour arrêter ces tueurs.

    Lorsque nous avons pénétré dans l'église, nous avons été confrontés à une image d'horreur. Des cadavres étaient éparpillés un peu partout - des personnes qui voulaient simplement pratiquer leur foi en paix et qui ont été sauvagement assassinées. Les paroles de l'un des terroristes ont résonné dans la pièce : Mort aux chrétiens ! Mort à tous les infidèles ! Ils n'ont cessé de tirer sur nous, mais nous ne nous sommes pas laissés intimider.

    Dans une riposte courageuse, nous avons riposté avec détermination. Une lutte acharnée s'est engagée entre la vie et la mort. Chacun d'entre nous savait pertinemment que ce jour-là, il n'y aurait plus de prisonniers - il en allait de notre propre survie et de celle de nombreux innocents.

    Mais un événement inattendu s'est produit : l'un des terroristes a ouvert sa veste et a découvert une dangereuse ceinture d'explosifs. Sans hésiter, il l'a allumée et s'est fait exploser en mille morceaux, ainsi que l'autel. La détonation était assourdissante et le sang ainsi que la matière cérébrale ont giclé jusque sur les premiers bancs de l'église. C'était un spectacle choquant qui nous a rappelé la brutalité de la situation.

    Cependant, à la fin de la journée, nous avons pu ressentir un certain soulagement - tous les terroristes ont été éliminés. Aucun d'entre eux ne s'est rendu ou n'a montré le moindre remords pour leurs actes odieux. Notre mission a été un succès, mais le prix à payer a été élevé.

    Nous avons quitté la Cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille le cœur lourd et attristés par la souffrance causée par ces islamistes fanatiques. Mais en même temps, nous étions fiers d'être intervenus courageusement et d'avoir sauvé tant de vies. Mais nous savions aussi que la lutte contre le terrorisme était loin d'être terminée et qu'elle nécessitait toujours notre détermination et notre engagement sans faille en faveur de la paix et de la sécurité dans notre société.

    *

    Marseille la nuit. La ville semble endormie, mais la vie fait rage dans les ruelles et les clubs. Les gens sont en quête de plaisir et d'aventure et laissent tomber toutes leurs inhibitions.

    Marseille la nuit dégage une atmosphère fascinante. Alors qu'en surface, la ville semble endormie, elle cache dans ses ruelles tortueuses et ses clubs animés une vie nocturne trépidante qui dépasse toutes les attentes. Ici, les rues s'animent et offrent aux gens d'innombrables possibilités de s'amuser et de vivre des aventures.

    Dans ce décor nocturne, les Marseillais sont à la recherche du plaisir ultime. Ils laissent tomber leurs inhibitions et se lancent avec passion dans l'effervescence de la nuit. Les clubs sont remplis d'une énergie contagieuse, de musique forte et d'une ambiance survoltée. Les pistes de danse sont remplies de gens qui dansent, tandis que les DJs font en sorte que personne ne puisse rester immobile avec leurs rythmes.

    Mais ce n'est pas seulement dans les clubs que l'on retrouve l'effervescence de la vie nocturne marseillaise - les ruelles étroites sont également animées jusque tard dans la nuit. Les petits bars vous invitent à faire de nouvelles connaissances ou à retrouver vos anciens amis. Les rires résonnent dans les rues ; ici, on fait la fête, on boit et on rit jusqu'à des heures tardives.

    Les Marseillais ont compris qu'il était important de s'évader de temps en temps du quotidien et de se laisser porter par le rythme de la nuit. Dans ces moments-là, les soucis ou les angoisses de la journée disparaissent dans l'ombre de l'obscurité - à la place, il règne une atmosphère libératrice, pleine de joie de vivre et d'esprit d'aventure. La nuit à Marseille est une invitation à embrasser la vie et à se laisser envoûter par la magie de cette ville.

    Que vous soyez à la recherche d'une expérience de fête endiablée ou que vous souhaitiez simplement profiter de l'énergie vibrante des rues nocturnes, Marseille a quelque chose de spécial pour tous les goûts. Ici, on peut se laisser aller, s'amuser et oublier le quotidien.

    La rue d'Acoste est aussi un lieu de criminalité. Dans les coins sombres, les criminels attendent leurs victimes et guettent les touristes ou les fêtards inconscients. La police est constamment occupée à maintenir l'ordre, mais parfois les criminels parviennent tout de même à s'emparer de leur butin.

    Donc, si vous vous promenez dans Marseille la nuit, vous devez faire attention et être prudent. Mais si vous êtes prudent et que vous réfléchissez bien à ce que vous faites, vous pouvez vous amuser beaucoup et faire de la nuit un jour !

    La nuit à Marseille est bruyante et colorée. Partout, les gens se promènent, à la recherche de plaisirs et d'aventures. La rue d'Acoste est le centre de la vie nocturne à Marseille. Les clubs, les bars et les discothèques se succèdent et les gens dansent jusqu'au petit matin.

    Mais la nuit a aussi son côté sombre. La criminalité et la violence augmentent pendant les heures sombres. Certaines personnes entrent en contact avec la drogue et tombent dans le cercle vicieux de la dépendance et de la violence.

    Marseille est une ville passionnante qui ne dort jamais. Une nouvelle découverte - positive ou négative - vous attend à chaque coin de rue. Ceux qui s'aventurent dans le côté obscur de la ville doivent savoir ce qu'ils risquent. Mais pour beaucoup, le risque fait simplement partie des sensations fortes.

    Il est déjà tard et je suis au club. Au loin, j'aperçois les silhouettes des docks, le scintillement des lumières accentue l'ambiance. Un verre de champagne à la main, je me laisse emporter par la musique et je danse. À un moment donné, je sens une main sur mon épaule.

    Excusez-moi, pouvons-nous parler un instant ? La voix appartient à un homme séduisant d'une trentaine d'années. Il a les cheveux noirs et une cicatrice au menton. Son regard est perçant, mais aussi triste d'une certaine manière.

    Je m'apprête à dire quelque chose quand je vois soudain des dizaines de paires d'yeux fixés sur moi. Les personnages qui m'entourent sont grands et musclés - aucun d'entre eux ne dit un mot. C'est seulement maintenant que je remarque que le club est complètement désert - à part nous. L'homme à mes côtés reprend la parole : Je ne sais pas ce que vous savez de nous, mais votre place n'est pas ici !

    Mais...

    Nous n'aimons pas les flics. Et vous en êtes un.

    L'instant d'après, deux des personnages m'attrapent et m'emportent dans la nuit. Je reçois un coup et la lumière s'éteint pour moi.

    Je n'aurais pas dû partir seul.

    Mais aujourd'hui, je l'ai été.

    En général, mon collègue François Leroc est toujours présent.

    Je m'appelle Pierre Marquanteur. Je suis commissaire et je fais partie d'une unité spéciale basée à Marseille, qui porte le nom un peu compliqué de Force spéciale de la police criminelle , en abrégé FoPoCri, et qui s'occupe principalement du crime organisé, du terrorisme et des criminels en série.

    Les cas graves, justement.

    Cas nécessitant des ressources et des compétences supplémentaires.

    Avec mon collègue François Leroc, je fais de mon mieux pour résoudre les crimes et démanteler les réseaux criminels. On ne peut pas toujours gagner, a souvent l'habitude de dire Monsieur Jean-Claude Marteau, Commissaire général de police. Il est le chef de notre service spécial. Et malheureusement, il a raison de dire cela.

    *

    Qu'est-ce qui s'est passé ? m'a demandé M. Marteau le lendemain matin.

    Si je le savais, ai-je marmonné.

    Il a toujours mal à la tête, me dit mon collègue François Leroc. Je peux vraiment compter sur lui à tous les niveaux et dans toutes les situations. Que ce soit avec le patron ou avec une bande de gangsters. On peut tout simplement compter sur François. Et c'est bien ainsi. Il assure mes arrières.

    Mais hier soir, il n'était tout simplement pas là.

    On peut dire que c'est idiot.

    Mais le dommage était maintenant là.

    Et il n'y avait rien à faire.

    Ce qui est fait est fait.

    C'est irréversible.

    Malheureusement.

    Mais c'est l'une des réalités fondamentales de la vie, et nous devons nous y conformer.

    Mieux vaut l'accepter.

    Vous n'en avez donc aucune idée ?, a répété M. Marteau.

    Non, je ne l'ai pas fait.

    Il y a tellement de gens à Pointe-Rouge qui ne supportent pas Pierre, dit François. Et à juste titre, de leur point de vue. Après tout, Pierre n'a cessé de se mettre en travers de la route des voyous et de perturber leurs activités malhonnêtes.

    Nous tous, dit M. Marteau, un peu indigné.

    Je suggère de continuer, ai-je dit.

    Comme s'il ne s'était rien passé ?, a insisté M. Marteau et la façon dont il l'a fait.

    J'ai hoché la tête.

    Comme si de rien n'était, ai-je confirmé.

    Je ne sais pas si je dois dire que c'est une bonne idée, a déclaré M. Marteau.

    Qu'est-ce que je peux faire d'autre ?, ai-je répondu. Me faire craindre à l'avenir ? Me faire transférer dans les services internes ? Prendre ma retraite ? C'est ce qu'ils veulent. Je suis une épine dans leur pied parce que je dérange leur trafic de drogue et tout ce qui s'y rapporte. J'ai secoué énergiquement la tête. Non, je continue comme avant.

    Alors, promettez-moi au moins de prendre soin de vous, a dit M. Marteau.

    François Leroc a pris la parole. Je suis là pour ça, Monsieur Marteau.

    Oui, mais il semble que cela ne suffise pas, a dit M. Marteau.

    Si j'avais été là hier, cela ne serait pas arrivé.

    Vous croyez ?

    C'est ma conviction, Monsieur Marteau.

    Monsieur Marteau soupira. Je compte sur vous, dit-il à François.

    Je sais, a répondu mon collègue.

    *

    Un peu plus tard, nous avons mangé une baguette de poisson dans un bistrot mobile sur la promenade du port. Avec la baguette de poisson, j'ai eu le problème habituel : trop de rémoulade. Je me demande pourquoi ils en mettent toujours autant que ça déborde de la baguette.

    Peut-être que les fabricants de baguettes de poisson veulent simplement économiser du poisson ou des crevettes ou tout ce qui doit être placé entre

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