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Commissaire Marquanteur et la femme mystérieuse : France Polar
Commissaire Marquanteur et la femme mystérieuse : France Polar
Commissaire Marquanteur et la femme mystérieuse : France Polar
Livre électronique260 pages3 heures

Commissaire Marquanteur et la femme mystérieuse : France Polar

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À propos de ce livre électronique

de Alfred Bekker



Marseille 1998 : tout commence par l'attaque d'un transport de sécurité. Le butin : des plaques d'impression pour la fabrication de billets en francs. Le commissaire Pierre Marquanteur et son équipe mènent l'enquête et découvrent un incroyable complot.


Alfred Bekker est un auteur renommé de romans fantastiques, de romans policiers et de livres pour la jeunesse. Outre ses grands succès de librairie, il a écrit de nombreux romans pour des séries à suspense telles que Ren Dhark, Jerry Cotton, Cotton Reloaded, Commissaire X, John Sinclair et Jessica Bannister. Il a également publié sous les noms de Neal Chadwick, Jack Raymond, Jonas Herlin, Dave Branford, Chris Heller, Henry Rohmer, Conny Walden et Janet Farell.
LangueFrançais
ÉditeurAlfredbooks
Date de sortie23 avr. 2024
ISBN9783745237450
Commissaire Marquanteur et la femme mystérieuse : France Polar

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    Aperçu du livre

    Commissaire Marquanteur et la femme mystérieuse - Alfred Bekker

    Copyright

    Un livre CassiopeiaPress : CASSIOPEIAPRESS, UKSAK E-Books, Alfred Bekker, Alfred Bekker présente, Casssiopeia-XXX-press, Alfredbooks, Uksak Sonder-Edition, Cassiopeiapress Extra Edition, Cassiopeiapress/AlfredBooks et BEKKERpublishing sont des imprints de

    Alfred Bekker

    Roman par l'auteur

    © de cette édition 2023 by AlfredBekker/CassiopeiaPress, Lengerich/Westphalie

    Les personnes imaginées n'ont rien à voir avec des personnes réellement vivantes. Les homonymies sont fortuites et non intentionnelles.

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    Tout ce qui concerne la fiction !

    1

    Marseille, 1998 ...

    Le fourgon blindé s'est arrêté à la barrière à bandes rouges. Cela ressemblait à un barrage complet. Cela pouvait être amusant.

    Bon sang, pourquoi personne ne nous a rien dit ?, a grogné l'un des gardes. Il était assis sur le siège du passager. Qu'est-ce que c'est que ça ?

    Peut-être un accident, Jérôme, a déclaré l'homme au volant.

    Je vais quand même me renseigner auprès du siège.

    Une Renault s'est arrêtée à leur gauche et une Mercedes à leur droite. Derrière eux se trouvait une camionnette. La camionnette blindée était coincée.

    Jérôme a pris la radio.

    Mais avant même qu'il n'ait prononcé un mot, des hommes cagoulés, armés jusqu'aux dents, ont surgi de la voiture à gauche et à droite. Les cagoules sombres ne laissaient pas plus d'une bande étroite à hauteur des yeux. Ils portaient des mitraillettes, des fusils à pompe et des fusils d'assaut. Et des gilets pare-balles. On aurait presque pu penser à une équipe d'intervention spéciale de la police de Marseille, vu l'équipement.

    Mais ce n'était pas des policiers.

    Jérôme l'a presque crié dans la radio.

    Agression ! Environ deux kilomètres après la sortie du tunnel de la ville en direction d'Aubagne. Douze à quinze malfaiteurs lourdement armés.

    Comportez-vous calmement et ne prenez pas de risques !, a-t-on entendu dans le haut-parleur de la radio.

    Compris, a marmonné Jérôme.

    Essayez de faire patienter les auteurs ! Nous faisons ce que nous pouvons.

    Un merveilleux réconfort, a rétorqué Jérôme, bilieux.

    Où est notre escorte ?

    Je ne sais pas. Pas là quand on a besoin d'eux.

    L'un des gangsters a agité le canon court de son pistolet mitrailleur Uzi. Il a fait signe aux deux gardes de sortir.

    Nous restons assis tranquillement ici, a expliqué Jérôme. Ils ne peuvent pas nous faire de mal avec leurs armes.

    Le fourgon était équipé d'une vitre blindée si solide que même des salves entières de tirs de mitrailleuses ne présentaient aucun danger pour les occupants. Et l'on pouvait compter sur le blindage de la carrosserie. Les portes étaient fermées de l'intérieur.

    L'un d'entre eux l'a déchiré de l'extérieur. Mais il n'avait aucune chance.

    Jérôme a souri.

    Ils sont maintenant comme le fameux singe qui essaie d'atteindre l'intérieur tendre d'une noix de coco !

    Les gardes attendraient simplement que toute la machinerie de la police et du FoPoCri se mette en branle. La zone serait largement bouclée. Les gangsters n'avaient aucune chance. Chaque seconde signifiait pour eux que leurs chances diminuaient considérablement.

    Les deux gardes ont saisi les pistolets automatiques qu'ils avaient dans leurs étuis de ceinture.

    Vous ne pouvez rien faire, a déclaré l'homme au volant, satisfait.

    Mais ensuite, ses yeux se sont écarquillés de terreur.

    L'un des gangsters s'était mis en position avec un bazooka. Les projectiles de ce dernier ont facilement transpercé les plaques d'acier des véhicules blindés.

    Les deux gardes ont pâli.

    Ils ont compris que leur jeu de retardement était maintenant terminé. Définitivement !

    Ils ont baissé leurs armes et ont levé les mains. Mais apparemment pas assez vite.

    Le bazooka a été tiré. Le projectile a traversé la vitre blindée. La cabine de la camionnette s'est transformée en enfer. Des flammes s'élevaient. Le bruit de la détonation était assourdissant et couvrait les cris de mort des occupants. Ceux-ci n'avaient aucune chance.

    Si elles n'avaient pas été littéralement déchirées par l'explosion, les flammes les brûlaient.

    Les rangs des gangsters ont commencé à bouger.

    Deux extincteurs ont été utilisés pour circonscrire les flammes.

    Une mousse gris-blanc a étouffé le feu en quinze ou vingt secondes.

    L'un des hommes masqués a aidé un complice à entrer dans la cabine du conducteur par l'avant, à travers le pare-brise détruit. Il y avait une odeur de corps brûlés et de plastique fondu.

    La clé !, s'est exclamé le type.

    Il l'a jeté dehors, directement dans la main d'un complice.

    Celui-ci s'est précipité vers l'arrière de la camionnette.

    La porte a été ouverte.

    Et puis, enfin, ce qu'ils voulaient était devant eux.

    Il s'agissait d'une caisse en acier, bien fixée par plusieurs supports.

    Deux minuscules charges d'explosifs plastiques les ont fait exploser.

    La boîte était lourde.

    Deux hommes les ont portés dehors et les ont chargés dans le coffre de la Renault.

    Dix secondes plus tard, les hommes encagoulés sont partis en trombe dans leur voiture. Les pneus se sont emballés et ont grincé. Ils conduisaient comme des diables, car ils savaient très bien que tous les policiers à cinq cents kilomètres à la ronde seraient à leurs trousses.

    Mais leur butin en valait la peine.

    Croyaient-ils.

    2

    Comme l'attaque du fourgon blindé a eu lieu dans l'un des arrondissements de Marseille, elle relevait de la compétence de la FoPoCri de Marseille. Mais c'était loin d'être la seule raison pour laquelle c'était notre affaire.

    Lorsque je suis arrivé sur les lieux avec mon ami et collègue François Leroc, c'était le chaos total. La police avait établi un large périmètre de sécurité. L'accès à l'autoroute vers Aubagne était fermé.

    J'ai fait glisser la vitre latérale de ma voiture de sport lorsqu'ils nous ont arrêtés au premier barrage routier.

    Un agent de police en uniforme et lourdement armé a salué de justesse.

    Je lui ai tendu mon badge.

    Pierre Marquanteur du FoPoCri Marseille, ai-je marmonné à ce sujet.

    Mon interlocuteur a simplement hoché la tête et m'a fait signe de passer.

    J'ai garé la voiture de sport quelque part. Nous sommes sortis.

    Le fourgon attaqué était dans un état épouvantable. Les enquêteurs étaient déjà en train de fouiller partout.

    Notre service de police judiciaire avait également envoyé une bonne poignée de spécialistes de l'identification pour aider les forces locales.

    De plus, il y avait un inspecteur plutôt stressé, dont la compétence s'étendait déjà à cet acte.

    L'inspecteur s'appelait Girard, avait les cheveux gris et était un peu trapu. Ses épaules étaient larges et lui donnaient une allure très trapue. Il a regardé ma carte d'identité avec intérêt.

    Vous souhaiter une bonne journée après ce qui s'est passé ici me semblerait déplacé, Monsieur Marquanteur, grommela Girard entre ses dents. Venez, je vais vous montrer ce que nous avons fait jusqu'à présent.

    Nous avons fait le tour du téléporteur.

    Une odeur désagréable nous est montée au nez.

    En regardant dans la cabine du conducteur, j'ai failli être malade.

    J'ai consacré ma vie à la lutte contre le crime. Et mon travail de commissaire m'amène à rencontrer la mort sous de nombreuses formes. Et pourtant, il y a toujours des choses que l'on emporte dans son sommeil. Des images comme celle des deux gardes de la camionnette, horriblement mutilés, par exemple.

    Je suis dur à la tâche - mais pas blasé.

    Les gangsters étaient très bien organisés, a expliqué Girard d'une voix sans ton. Ils ont utilisé un bazooka ou quelque chose comme ça. Les deux pauvres types n'avaient pas l'ombre d'une chance.

    Girard a serré les poings.

    Un collègue l'a contacté par radio. Il a sorti l'appareil de la poche de son manteau et s'est manifesté. Apparemment, il n'y avait toujours aucune trace des malfaiteurs. Et ce, bien qu'une vaste chasse à l'homme ait été lancée. Cela ne pouvait que signifier qu'ils avaient une très bonne organisation en arrière-plan qui les aidait à se cacher.

    Je m'attendais à ce que nous tombions bientôt quelque part sur des voitures qu'ils avaient utilisées puis abandonnées quelque part. Si nous avions de la chance, cela nous donnerait quelques indices.

    Si nous avons eu de la chance.

    Mais les chances étaient minces, compte tenu du sang-froid avec lequel ils avaient agi.

    Chaque détail semblait avoir été pensé et organisé avec précision.

    Alors que Girard continuait à nous expliquer la scène du crime, cela devenait de plus en plus clair pour moi.

    Vous voyez cette poudre blanche et grise, Monsieur Marquanteur ?

    Oui. Ça doit venir d'un extincteur. Ils ont éteint l'incendie. Pourquoi ont-ils fait ça ?

    Pour s'emparer de la clé. La serrure de la porte arrière est dotée d'un mécanisme de protection spécial contre les explosions. Sous l'effet de la chaleur, quelque chose fond et il est alors difficile de souder la porte. C'est pourquoi ils n'ont pas simplement pointé leur bazooka sur la façade arrière ou tenté de faire sauter la porte. Non, ils devaient atteindre la clé.

    Vous voulez dire qu'ils connaissaient ces détails ?, intervient maintenant François Leroc.

    Girard a haussé les épaules.

    Vous avez une meilleure explication ? D'ailleurs, l'utilisation du bazooka avait un autre avantage pour ces tueurs. Vous voyez cette masse noire fondue là-haut ?

    Je le vois.

    C'était autrefois le système de vidéosurveillance.

    Même si les auteurs étaient masqués, ces images permettent souvent de tirer de précieuses conclusions. Même si les visages n'étaient pas visibles.

    Aux Penn-Mirabeau, un braqueur masqué a récemment été confondu par ses collègues en raison du motif de délavage distinctif de son jean.

    Mais nous ne pouvions pas espérer une telle aide dans ce cas.

    Je me suis détourné de l'horrible spectacle de la cabine brûlée et j'ai désigné les barrières à rayures rouges qui avaient été placées au milieu de la route.

    On ne dirait pas qu'il y a eu beaucoup de travaux sur le site, ai-je constaté.

    Girard a hoché la tête.

    Vous avez tout à fait raison, Monsieur Marquanteur. C'est ce que les gangsters ont mis en scène pour arrêter le transport.

    Cela signifie qu'ils étaient également parfaitement au courant du calendrier qui s'appliquait au téléporteur.

    C'est aussi ce que je pense.

    J'aimerais bien voir l'intérieur de la voiture, dit François.

    Girard a hoché la tête.

    Pas d'objection.

    Il nous a conduits à la porte arrière. La clé était encore sur la porte. Elle était carbonisée. On voyait déjà qu'elle avait été prise dans la cabine du conducteur.

    Girard a sorti un gant en latex de la poche de son manteau avant d'ouvrir la porte. Il est entré et, de sa main tendue, a désigné un endroit sur le sol. Des supports éclatés indiquaient que l'on n'avait pas fait preuve de beaucoup de délicatesse à cet endroit.

    C'est là que se trouvait la boîte contenant les plaques d'impression, a expliqué le fonctionnaire. Plus qu'un simple permis d'imprimer de la monnaie ! Celui qui a ces choses peut fabriquer des billets de banque originaux en francs autant qu'il le veut. Girard a pointé son index tendu autour de la soute du fourgon. Les supports ont sauté... Le transport était d'ailleurs accompagné d'une escorte civile qui devait suivre discrètement le transport proprement dit. Mais celle-ci a été stoppée par un carambolage - probablement provoqué.

    François m'a regardé. Son visage était grave.

    "Il était convaincu qu'il y avait un très gros requin derrière tout ça. Je ne pouvais qu'être d'accord avec lui.

    3

    Nous étions assis dans le bureau de Monsieur Jean-Claude Marteau, commissaire général de police, chef de la Force spéciale de la police criminelle, ou FoPoCri, notre service ici à Marseille et donc notre supérieur direct.

    Outre François Leroc et moi-même, une demi-douzaine d'autres collègues étaient présents. Parmi eux, Mathieu Doisans, un spécialiste de la fausse monnaie du service interne, et Maxime Valois, de notre service de recherche.

    Valois vient de nous expliquer où en était la grande chasse à l'homme qui avait été lancée pour toute la France. Malheureusement, le résultat a été nul jusqu'à présent, si l'on peut dire.

    Le camion était parti de Bompard. Le point de départ était le site de Dorman Sarl, une petite entreprise de haute technologie dont la gamme de produits comprend, entre autres, ce type de plaques d'impression de haute qualité. Le point d'arrivée était une imprimerie à Reims qui travaille pour le compte de la Banque centrale.

    Nous devrons faire des recherches très approfondies pour savoir dans quelle mesure il y a des points faibles dans l'imprimerie ou chez Dorman Sarl, a déclaré Monsieur Marteau.

    Il doit y en avoir, a déclaré Valois avec conviction. Les auteurs étaient tout simplement trop bien informés pour cela.

    Et les gardes ?, ai-je demandé.

    D'après ce que nous savons, ce sont des agents de sécurité fiables qui semblent être au-dessus de tout soupçon, a répondu Valois. Tant ceux qui ont eu le malheur d'être dans le téléporteur que les gens de l'escorte semblent au-dessus de tout soupçon.

    Nous devrons également vérifier cela de près, annonça Monsieur Marteau. Il regarda autour de lui, passant de l'un à l'autre. Cette affaire est une priorité absolue. Car, si le FoPoCri n'est pas très rapide et très bon, les coupables nous fileront entre les doigts. Et ce ne sera plus qu'une question de temps avant qu'une usine à fric ne commence à fonctionner quelque part pour produire des billets en francs que personne ne pourra distinguer des vrais billets !

    Nous étions tous conscients de la gravité de la situation.

    Je vais faire le tour de nos informateurs, dit Stéphane Caron. Il se gratta l'arrière de la tête. Ce serait dommage que l'un ou l'autre n'ait pas entendu parler de ce coup d'État !

    Vous pariez sur la mafia ?, a demandé M. Marteau.

    Caron a haussé les épaules.

    On a toujours parlé ici d'une organisation puissante. La mafia a peut-être pris un coup de vieux, mais en termes d'organisation, elle est toujours à des kilomètres des autres syndicats.

    La fausse monnaie n'est pas vraiment le domaine d'activité traditionnel de la mafia, a fait remarquer Monsieur Marteau.

    Caron s'est légèrement penché en avant.

    Leur champ d'action se situe toujours là où il y a de gros bénéfices.

    Et peu de risques, ai-je ajouté. Si la mafia était vraiment derrière tout ça, nous aurions probablement entendu quelque chose à l'avance. Des indices, des rumeurs... n'importe quoi.

    Monsieur Marteau m'a regardé d'un air pensif, puis il s'est tourné vers Caron : Essayez, Stéphane ! Après tout, la mafia est l'une des rares organisations susceptibles de mettre sur pied une telle opération. Et puis, bien sûr, il faut faire le tour des adresses connues dans le milieu de la fausse monnaie.

    C'est alors que son collègue Boubou Ndonga, qui se distingue par sa tenue vestimentaire raffinée, prend la parole. Si nous examinons tous ceux qui se sont déjà fait remarquer dans ce domaine et qui sont actuellement en liberté, il nous faudra beaucoup trop de temps pour être en mesure de menacer les criminels.

    Pas de vérification aléatoire, a corrigé le spécialiste de la fausse monnaie Doisans. J'ai fait une présélection selon certains critères. Il se pourrait bien que les plaques d'impression soient proposées dans le milieu à un moment donné, et nous devrons alors être sur place. Après tout, elles n'ont pas été volées pour être laissées à l'abandon dans un coffre-fort.

    J'espérais seulement que Doisans avait raison sur ce point. Il y avait aussi un peu d'optimisme de circonstance. Car si quelqu'un décidait vraiment de mettre les disques sous clé pendant quelques années, cela pourrait ne pas être bon pour nous.

    Mais nous avons peut-être eu de la chance et l'un des criminels est tombé dans le vaste réseau que la FoPoCri a mis en place en collaboration avec les services de police judiciaire d'autres villes. Les contrôles routiers sur les autoroutes et les routes nationales en faisaient partie, tout comme la surveillance des aéroports.

    Un réseau que Maxime Valois, spécialiste des enquêtes, nous

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